CinéFrance ...

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Matrix II au Festival de Cannes 16.05.2003

Un des événements le plus attendu du Festival, Matrix Reloaded des frères Wachowski s?Test abattu sur la Croisette. Visuellement supérieur au premier, le deuxième épisode de la trilogie Matrix a malheureusement tendance à s?Tempêtrer dans sa propre mythologie.
L?TEurope sur la table, l?TAmérique sur les écrans. Pendant que les ministres de la culture de la future Europe des vingt-cinq profitaient du festival de Cannes pour se réunir, jeudi, la machine Matrix s?Temparait des projecteurs.





Le deuxième volet de la trilogie de science fiction des frères Andy et Larry Wachowski, Matrix Reloaded, était présenté, hors compétition, comme un des événements les plus attendus. A Cannes, comme dans le monde entier où il sort pratiquement en même temps (il est programmé dans près de 700 salles en France à partir de vendredi). Ce film n?Tavait pourtant nul besoin de rampe de lancement. Propulsé par le succès du premier opus, entretenu par le jeu vidéo conçu comme le prolongement de la saga, Matrix est devenu un film culte. Plusieurs raisons à cela. Entre autres, parce qu?Til imbrique un traitement technologique de l?Timage qui tient de l?Texploit et une densité narrative inespérée dans le genre. Ce que son producteur Joel Silver résume par « un film d?Taction intelligent ». Malheureusement, Martix Reloaded rompt cet astucieux équilibre : alors que la surenchère visuelle explose somptueusement, le scénario perd en quotient intellectuel. Il n?Test pas creux mais moins stimulant et plus obscur que le premier, moins cérébral et plus mystique.
Il est conseillé d?Tavoir vu le précédent pour bien prendre le train en marche. Pas le temps de faire les présentations : on sait déjà que l?Tespèce humaine est menacée par la matrice, sorte de super-ordinateur qui s?Tannexe tout sous forme de programmes informatiques. Neo (Keanu Reeves) a accepté de devenir l?TElu d?Tune poignée d?Thumain encore libres réfugiés à Zion, sous la terre, à l?Técart du monde soit-disant réel. Mais cette dernière enclave humaine va être prise d?Tassaut par l?TArmée des Machines. Avec sa compagne Trinity (Carrie-Anne Moss) et son mentor Morpheus (Laurence Fishburne), Neo décide de s?Tintroduire de nouveau dans la matrice pour percer son secret. S?Tensuit une série de missions de combats de haut vol en trois dimensions : séances de kung-fu fou contre l?Tinfatigable agent Smith (Hugo Weaving) qui a également progressé et a trouvé l?Tatroce moyen de se dupliquer, poursuites dans un bâtiment-labyrinthe dont chaque porte ouvre sur des ailleurs différents, cascades sur-audacieuses sur une autoroute?
Toutes ces stupéfiantes séquences ont été créées par ordinateur mais à partir d?Timages réelles. Par exemple, conformément aux tra***ions cinématographiques de HongKong, les vedettes livrent elles-mêmes leurs combats (elles ont d?Tailleurs passé quatre mois à s?Tentraîner avec un maître de kung-fu). Autre exemple, la scène de quatorze minutes sur l?Tautoroute a été tournée en sept semaines sur une portion d?Tautoroute construite pour le film. Mais les prouesses des concepteurs de Matrix ne s?Tarrêtent pas là : « Bullet time » (prise de vues virtuelles) et « Universal Capture » (répliques virtuelles des personnages), à chaque nouvelle opus sa nouvelle invention. Matrix ou l?Texposé d?Tun paradoxe : dénoncer l?Taliénation technologique tout en faisant progresser les outils technologiques.

Prêches obscurs

Matrix a été imaginé comme un système que le premier épisode installait. Le deuxième fait évoluer, comme sur des cartes à jouer, des personnages et leurs aptitudes. Pour Néo, c?Test l?Theure de la quête personnelle. Etre Elu lui pose des problèmes : assumer ses pouvoirs surnaturels, l?Tidée que la vérité peut être une source de terreur et l?Thorrible question du choix. A chaque étape, il subit une épreuve face à de nouveaux personnages comme le couple vampirique Mérovingien-Perséphone (Lambert Wilson, Monicca Bellucci). L?Tun, désopilant, jure en français parce que c?Test plus classe, bavarde sur le principe de cause et d?Teffet tout en contrôlant, à distance, les sensations d?Tune voisine. L?Tautre campe une femme ultra sophistiquée qui cherche désespérément à retrouver des émotions. La grande leçon, c?Test l?TOracle qui la distille pompeusement : « Tu as déjà fais ton choix, l?Timportant c?Test de savoir pourquoi ».
La saga est truffée d?Taphorismes de ce genre car un des principes du duo Wachowski est de soulever des questions « existencialo-philosophiques » en multipliant les références : melting-pot de christianisme, de zen, de bouddhisme, allusions aux comics et aux mangas ou à des auteurs comme Lewis Carroll ou Philippe K. Dick. C?Test ce qui lui donne du contenu et fait que tout le monde peut se sentir concerné, ou pas : ceux qui voudront se contenter du spectacle ne seront pas bannis pour autant.
Le problème dans Matrix Reloaded, c?Test que ces aphorismes se multiplient à l?Tenvi, traînant leur « touche mentale » comme un bagage trop lourd. Quand ils ne débouchent pas sur des prêches plus obscurs les uns que les autres. Comprenne (tout) qui pourra. Même les protagonistes semblent avoir du mal. C?Test parfois même tellement elliptique et sentencieux qu?Ton pense à ces fausses phrases fourre-tout qui peuvent aussi bien dissimuler des imprécisions, se prétendre clés de l?Ténigme ou expliquer n?Timporte quoi. Trop péremptoire, verbeux et parfois même lassant, le maître du jeu s?Tempêtre dans sa propre mythologie. Défaillance qu?Til abat avec des appels de gourou du type « Que nos âmes s?Télèvent des entrailles rouges de la terre vers le ciel noir ». C?Test pourtant l?Toccasion d?Tune des plus belles scènes du film, un magnifique tecknival tribal et sensuel dans la grotte mordorée. Plus qu?Tun clin d?T"il, un message : « rejoignez notre mouvement ». Prochain rendez-vous en novembre, pour le troisième et dernier épisode qui devrait « expliquer la totalité tout en laissant ouvert ». En espérant qu?Til se sera débarrassé de sa tendance nébuleuse.
Film américain de Andy Wachowski et Larry Wachowski avec Keanu Reeves, Laurence Fishburne, Carrie-Anne Moss, Hugo Weaving, Matt McColm.



Ingrid Merckx - Correspondance particulière

LẠC _ POKET​

And if we are oceans apart
You will always be here my heart
And I?Tll always wait for you
I?Tll always wait for you





Được Peanut sửa chữa / chuyển vào 20:52 ngày 17/05/2003

Được POKET sửa chữa / chuyển vào 04:33 ngày 19/05/2003

phim hay tuyệt tuy hơi khó hiểu, cực kỳ bạo lực và có 1 cảnh người lớn

em thích phần 1 hơn vì xem phần 1 nhiều phần gay cấn Phần 2 hơi thiên về tình cảm và ko hồi hộp bằng phần 1 ! Mà chim cú thế, cuối phần 2 lại có " à suivre " <~~ chột cả lớn ! Chả đâu vào đâu cả !
Même si les distances nous séparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgré tout,
Je t'attends plus que tout.

FANFAN LA TULIPE
Sortie le : 14 mai 2003
Durée : 1h 35 mn - France - 2003
Réalisateur : Gérard Krawczyk
Avec Vincent Perez , Penelope Cruz , Didier Bourdon , Hélène de Fougerolles
Scénario : Jean Cosmos, Luc Besson d'après le film "Fanfan la Tulipe" de Christian-Jacque
Photo : Gérard Simon
Musique : Alexandre Azaria
Production : EuropaCorp
CANNES 2003 - SELECTION OFFICIELLE HORS COMPETITION OUVERTURE
Distribution : EuropaCorp Distribution

En France, aux XVIIIe siècle. Fanfan, un jeune aventurier, s'engage dans l'armée poussé par Adeline, la fille d'un sergent recruteur, qui lui avait pré*** qu'il aurait la gloire sous les drapeaux et que la fille du Roi lui serait destinée. En route vers le campement, Fanfan fait fuir des brigands qui tentaient de dévaliser le carrosse royal de Madame de Pompadour et d'Henriette, la fille du Roi. Il y voit un signe du destin et tente de déjouer un complot historique, ce qui lui apportera effectivement la gloire, un amour inattendu et la certitude que l'homme peut prendre son destin en main.


- "Fanfan la Tulipe" est un enchantement, une petite bombe d'humour et de mouvement qui fait passer comme une comète cette heure et demie de spectacle. (Pierre Vavasseur, Le Parisien)
- Un navet pathétique et raciste (Libération)
- Le début est un peu laborieux, on craint de se trouver dans une lourde parodie. Mais à l'apparition de Fanfan, tout s'envole, le récit prend du rythme et la mise en scène de l'éclat. (Marie-Noëlle Tranchant, Le Figaro)
- Dopé par un montage survitaminé (trop !), le film de Gérard Krawczyk est un divertissement honnête, mais parfois un peu désuet. (Jean-Luc Brunet, MonsieurCinéma.com)
- "Fanfan", c'est LE film type 'cape et épée' à la française : beaucoup de bons mots, de l'humour et de la répartie, de l'action en veux-tu en voilà, une trame historique présente mais pas écrasante, plus prétexte que contexte. (Eric Van Cutsem, Cinopsis.com)
- Revisitée, l?Thistoire aurait pu être passionnante, pleines d?Tenjeux dramatiques, presque romanesque. Il n?Ten est rien. (Vincy, Ecran Noir)
- C?Test dans la décontraction potache que Fanfan aurait pu trouver sa voie, dans une envie plus marquée d?Taller dans la blague, la parodie revendiquée. (Aurélien Ferenczi, Télérama)

Même si les distances nous séparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgré tout,
Je t'attends plus que tout.

X-men II
(INT.-12 ANS)
Sortie le : 30 avril 2003
Durée : 2h 05 mn - Etats-Unis - 2003
Réalisateur : Bryan Singer
Avec Patrick Stewart , Hugh Jackman , Ian McKellen , Halle Berry
Scénario : Michael Dougherty, Daniel P. Harris, David Hayter, Zak Penn, Bryan Singer
Photo : Newton Thomas Sigel
Musique : John Ottman
Production : 20th Century Fox, Marvel Entertainment, Donner/Schuler Productions
Distribution : UFD
Les mutants poursuivent leur lutte contre une société qui les craint et se méfie d'eux. Leur cause devient d'autant plus désespérée qu'un assaillant encore inconnu et qui possède des pouvoirs extraordinaires vient de commettre un incroyable crime. Cette attaque choquante relance la polémique sur l'Acte d'Enregistrement des Mutants, et le mouvement anti-mutant dirigé à présent par William Stryker, un ancien commandant de l'armée devenu riche, dont la rumeur *** qu'il a mené des expériences sur des mutants. Le travail de Stryker sur les mutants est en quelque sorte lié au mystérieux et lointain passé de Logan. Alors que Wolverine recherche des informations sur ses origines, Stryker met en route son programme anti-mutant en lançant une attaque sur le manoir de Xavier. Magneto, fraîchement sorti de sa prison de plastique, propose de s'associer avec les X-Men pour combattre leur redoutable ennemi commun : Stryker. Avec le sort de Xavier entre leurs mains, ainsi que celui de l'humanité - et de tous les mutants -, les X-Men font face à la plus dangereuse mission qu'ils aient jamais eu à remplir.

Même si les distances nous séparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgré tout,
Je t'attends plus que tout.

Được POKET sửa chữa / chuyển vào 04:44 ngày 19/05/2003

Super Papa
Titre original : JOE SOMEBODY
Un film de John Pasquin, avec Tim Allen, James Belushi, Julie Bowen, Patrick Warburton et Wolfgang Bodison.
SYNOPSIS :
Joe Scheffer est un homme sans histoire. Il travalle dans une grande entreprise à Minneapolis, il a une fille adorable... Mais un jour, il se fait humilier devant cette dernière par un de ses collègues. Il décide alors de se venger avec l'aide de Chuck Scarett, un ancien acteur de séries B. Pour se faire, il séduit Meg Harper, une jeune femme que son collègue convoite.
L'AVIS DE LA REDACTION :
Que dire de cette énième comédie familiale à la sauce américaine ? Outre le sempiternel débordement de bons sentiments à la limite de l'indigestion, cherchant à déclencher (artificiellement bien sûr) la petite larme du spectateur, et les sourires à foison dévoilant un émail clinquant, pas grand-chose !
En revanche, les clichés à gogo du genre "le pauvre type ignoré de tous qui, en prenant confiance en lui, va devenir le mec le plus sollicité" se succèdent. L'intrigue, qui pourrait avoir lieu dans une cour d'école, se démarque, quant à elle, par sa pauvreté pathétique : le cadre "gentil" ridiculisé par un collègue "méchant" propose à ce dernier de régler le litige par un combat à mains nues devant la quasi-totalité des employés de l'entreprise qui se réjouissent à l'idée d'y assister et qui prennent les paris (? mais quel âge ont-ils, au fait ?).
Sans oublier la musique redondante niaisissime et la morale américaine habituelle bien connue du style "il faut croire en soi et rester tel qu'on est, il ne faut pas se battre, il faut préférer plaire aux gens qui comptent vraiment plutôt qu'au plus grand nombre, etc."
Une "gentille" comédie donc avec des acteurs qui, certes, ne surjouent pas, mais sont plus que prévisibles : Tim Allen, dans la digne lignée de la série "Papa Bricole" et de SUPER NOEL, Jim Belushi, assez drôle même si son rôle aurait gagné à être davantage exploité, les autres, facilement oubliables.
SUPER PAPA ressemble à certains téléfilms (je dis bien "certains" car la plupart le supplantent allègrement)? Les moins difficiles apprécieront sûrement, les autres : rebroussez chemin !
FICHE ARTISTIQUE :
Joe Scheffer : Tim Allen
Meg Harper : Julie Bowen
Callie Scheffer : Kelly Lynch
Natalie Scheffer : Hayden Panettiere
Chuck Scarett : Jim Belushi
Jeremy : Greg Germann
Pat Chilcutt : Robert Joy
Mark McKinney : Patrick Warburton
Rick Raglow : Ken Marino
Bill : James Cada
Valérie Berthoule ( site M6 )
Même si les distances nous séparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgré tout,
Je t'attends plus que tout.

Được POKET sửa chữa / chuyển vào 05:48 ngày 19/05/2003

Rien que du Bonheur ( sortie le 14/05 )
Un film de Denis Parent, avec Bruno Solo, Jean-Baptiste Iera, Michel Scotto Di Carlo, Geneviève Page, Alexandra Lamy et Barbara Schulz.
SYNOPSIS :
Désiré Loncle, critique de cinéma travaillant au Sunlight Magazine et réputé pour son ton corrosif, se fait larguer, un soir, par sa compagne. Désabusé, il trouve refuge chez un ami-comédien, où il rencontre, Eduardo, un producteur italien qui a connu les mêmes déboires que lui. Le triptyque décidera d'écrire le scénario d'un film intitulé La Reine de Vénus et Désiré, grâce aux conseils d'Eduardo, se mettra à la reconquête de la gent féminine.
L'AVIS DE LA REDACTION :
RIEN QUE DU BONHEUR évoque les vicissitudes de l'existence de Désiré Loncle, un jeune quadragénaire qui a toujours été spectateur de sa propre vie, une sorte d' "acteur passif". Renfermé dans son monde "virtuel" de critique cinéma, rongé par le cynisme et avide de sentiments, il prend (enfin) son destin en main avec l'aide d'un producteur et d'un acteur, après avoir perdu la seule lumière dans sa vie : sa femme. Tous les coups qu'il prend dans la figure lui donneront des velléités pour se sortir de la léthargie. Désiré connaît alors une véritable crise existentielle : il écrit le scénario d'un long-métrage, renoue de véritables liens affectifs avec sa mère et vibre à nouveau pour une femme : bref, il "vit" enfin !
Outre cette trame pourvue d'un intérêt certain, le film comporte d'autres bonnes notes. Tout d'abord, un Bruno Solo plutôt inspiré dans le rôle du mec désabusé, cynique, qui n'aime personne (lui-même n'étant pas vraiment aimé). Il incarne avec justesse l'anti-héros par excellence. L'émotion est également au rendez-vous à travers le rôle touchant de la mère de Désiré Loncle (interprétée par Geneviève Page), une comédienne vieillissante mais passionnée par son art, qui se rend compte qu'elle est en fin de carrière et qu'elle n'est plus à la hauteur. De même, le choix des rôles secondaires est judicieux avec, entre autres, les apparitions "clins d'"il" de Kad (sans Olivier), de Jacky Berroyer, celles de Smain et d'Elise Larnicol (des Robins des Bois) : leurs interventions donnent ainsi du dynamisme à l'ensemble.
Notons enfin les bonnes répliques fustigeant le métier de critique cinéma : vanité, parisianisme... mais aussi la solitude qu'il s'impose. Denis Parent se moque ici gentiment de ses pairs et de la mentalité du métier.
Hélas, le film souffre de plusieurs points noirs : des scènes comiques-clichés (le quiproquo habituel dans les toilettes : une tiers personne entend un dialogue équivoque entre deux hommes? très original !), deux acteurs têtes à claques qui en font un peu trop à mon goût : le producteur (Michel Scotto Di Carlo) et le comédien (Jean-Baptiste Iera).
RIEN QUE DU BONHEUR est également desservi par un excès d'intrigues: certaines sont inutiles et tirent en longueurs (le comédien interné, la femme médecin entrant dans la vie du personnage principal) d'où l'ennui qui vient nous habiter par moments. D'autres sont malheureusement survolées : elles auraient gagné à être mieux exploitées (comme celles de la mère et du quotidien d'un critique cinéma).
Un film en demi-teinte en somme. Rien que du bonheur? pas vraiment ! Et c'est bien dommage.
Valérie Berthoule (site M6 )
NOTES :
Cette comédie est le premier long-métrage, en partie autobiographique, de Denis Parent, critique de cinéma à Studio Magazine.
Denis Parent avoue que Rien que du Bonheur fait référence à sa vie mais moins dans les péripéties que dans les états d'âmes : "C'est un film qui répond à une crise de solitude et de mélancolie d'un homme de 45 ans que j'ai moi-même connue."
Le réalisateur et néanmoins scénariste a voulu introduire dans sa comédie un humour noir afin de se démarquer des comédies habituelles. "J'ai voulu prendre la parti pris de l'introversion de la comédie, explique-t-il.Du coup, le film est beaucoup plus en train d'un humour que je dirais britannique. Plus froid, plus détaché, plus marqué dans l'ironie."
C'est Bruno Solo qui campe le rôle de ce critique de cinéma complètement désabusé, à qui il n'arrive que des tuiles. Le réalisateur et son acteur avaient une idée bien précise dans la manière d'aborder ce rôle : "Bruno aurait pu le jouer beaucoup plus comédie, note Denis Parent (?) On aurait pu en rajouter dans les mimiques, dans l'accablement. Mais je souhaitais un personnage réaliste, pour lequel on puisse éprouver de la compassion."
FICHE ARTISTIQUE :
Désiré Loncle : Bruno Solo
Eduardo : Michel Scotto Di Carlo
Alex : Jean-Baptiste Iera
Manu : Alexandra Lamy
Sandra : Barbara Schulz
Martha : Geneviève Page
Jean-Marc : Olivier Saladin
Pierre 1 : Jackie Berroyer
Pierre 2 : Kad
FICHE TECHNIQUE :
Réalisateur et scénariste : Denis Parent
Producteurs : Leonardo de la Fuente, Jean-François Geneix
Distributeur : CTV International
Montage : Vincent Tabaillon
Musique : Reinhardt Wagner
Même si les distances nous séparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgré tout,
Je t'attends plus que tout.

Ciao, Federico !
Sortie en salles le 18 Mai 2003
Un film de Gideon Bachman.
SYNOPSIS :
Comment nađt un film de Fellini? Dans le chaos, la dâmesure, la passion et lõ?Tacharnement. Tour à tour patron, sâducteur, manipulateur ou gânie, le mađtre italien est filmâ au travail.
Lõ?Tannâe : 1969. Le film : SATYRICON. Action!
NOTES :
En 1969, Fellini nõ?Ta pas tournâ depuis Juliette des esprits quatre ans plus tôt ; à lõ?Texception du sketch TOBY DAMMIT dans la sârie des Histoires Extraordinaires. Il se lance dans un tournage âpique qui sõ?Tâtalera sur sept mois et dont nađtra une fresque ambitieuse, baroque, chaotique, dâmesurâe : SATYRICON. Le film annonce le passage du râalisateur de LA DOLCE VITA vers ses chefs-dõ?T"uvre des annâes 70. Il y met en scăne une Antiquitâ dâcadente, barbare et luxuriante, hantâe par des visions surrâalistes qui, bien quõ?Texacerbâes, laissent une vaste pace à lõ?Timaginaire.
Ce tournage haut en couleurs est suivi par Gideon Bachmann, ami fidăle du râalisateur et âcrivain de cinâma. Fellini lui avait âcrit des 1965 pour accepter lõ?Texclusivitâ dõ?Tun "film de tâlâvision dõ?Tune heure sur moi et mon travail"
Outre le portrait dõ?Tun gânie au travail, dans lequel lõ?Tanecdotique rejoint souvent lõ?Tessentiel, cõ?Test aussi lõ?Thommage dõ?Tun ami de longue date, puisque les deux hommes se connaissent depuis 1956.
FICHE TECHNIQUE :
Râalisation : Gideon Bachman
Même si les distances nous sâparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgrâ tout,
Je t'attends plus que tout.

Les Aventures De Naica
Sortie en salles le 14 Mai 2003

Un film de Elisabeta Bostan.
SYNOPSIS :
Les aventures d?Tun petit paysan de huit ans, Naïca, vivant dans la campagne roumaine, dont les amis et les ennemis sont les animaux de la basse-cour, de la forêt, de la mare et du vent.
Naïca et la cigogne
Naïca se bagarre avec d?Tautres enfants, il veut un grand frère pour le défendre. Il lui faudrait une cigogne pour amener ce grand frère. A coup de stratagèmes plus coquins les uns que les autres, ce frère tant attendu arrive? Ce n?Test qu?Tun petit frère que sa maman met au monde, cela ne fait rien pour Naïca, et il est même convaincu que c?Test grâce à tous ses efforts et à la cigogne que cet enfant est arrivé.
Naïca et l?Técureuil
C?Test l?Thiver, il fait froid, les enfants font de la luge.
Pendant ce temps, dans la forêt, le renard est sorti de sa tanière pour venir chasser les poules du village. Les enfants prennent peur et rentrent chez eux. Naïca n?Técoutant que son courage, sous l?T"il de l?Técureuil, s?Ten va chasser le renard jusque dans la forêt. Naïca s?Tapprête à donner ne leçon au renard lorsque le petit écureuil déjoue son plan?
Naïca et le poisson
C?Test l?Tété, Naïca veut retourner se baigner au bord de l?Tétang. Sur le chemin, il rencontre un petit poisson qui frétille encore, impuissant. Naïca, enfant au grand c"ur, retourne vite à la maison pour le mettre dans un récipient avec de l?Teau, mais les dangers sont nombreux pour le petit poisson Naïca comprend alors que le seul endroit ou son copain sera en sûreté, c?Test l?Tétang.
NOTES DE PRODUCTION :
Trois petits films tournés il y a près de quarante ans dans de nombreux festivals, adorés par les jeunes enfants roumains. Ils n?Tétaient jamais sortis dans un pays d?TEurope Occidentale. Ils nous racontent dans un style de l?Tépoque les petites aventures d?Tun jeune paysan dans un décor campagnard, ou quarante ans plus tard rien n?Ta changé.
L?Tunivers animal qui entoure l?Tenfant est sans dialogue, les trois films sont presque sans paroles, accompagnés de musique.
Elisabeta Bostan a réalisé plusieurs films sur l?Tenfance et pour les enfants.

resource : site cinema.m6.fr
Même si les distances nous séparent,
Je saurai continuer notre histoire,
Je t'attendrai malgré tout,
Je t'attends plus que tout.

ua, nhưng mà đông quá nên mấy hum rùi chưa coi đươc ! để cuối tuần này đi coi cho đỡ phải chen chúc !