1. Tuyển Mod quản lý diễn đàn. Các thành viên xem chi tiết tại đây

"DE" et "A"

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi phanthanhthuy, 10/07/2003.

  1. 0 người đang xem box này (Thành viên: 0, Khách: 0)
  1. phanthanhthuy

    phanthanhthuy Thành viên mới Đang bị khóa

    Tham gia ngày:
    15/06/2003
    Bài viết:
    470
    Đã được thích:
    0
    Có lẽ cái này là một trong những cái rắc rối, làm đau đầu dân học tiếng pháp nhất. [​IMG]
    Tớ trước giờ nói chỉ theo thói quen, nói nhiều thì có cảm giác như cảm nhận được sự khác nhau giữa 2 từ này ( nhiều khi cảm nhận sai [​IMG], bị mụ chienne sửa liên tục ). Tớ cũng không quan tâm đến lắm
    Câu chuyện bắt đầu từ hôm tớ nghe được bài "Si jamais" của em Natasha. Em hát " Si la terre continue de tourner". Tớ thấy lạ, rõ ràng hồi bé, bà cô từng thịt tớ vì tội dám nói continuer de, bây giờ natasha hát tiếng mẹ đẻ, sao sai được ? Tớ đem hỏi mụ chienne, mụ móc cuốn từ điển to đùng ra, thì là "continuer à" . Bữa sau, mụ đi hỏi bạn mụ, tớ đi hỏi con mụ của tớ ( hai đứa tây 99%, 1% lai OVNI ). Hai người lại được câu trả lời trái ngược. Bạn mụ chienne kêu "continuer de" đúng hơn, mụ của tớ lại kêu "continuer à" đúng hơn [​IMG]. Tớ loạn mất luôn
     
    Bây giờ, chắc chỉ còn mong các đại cao thủ tình trường, pháp trường ra tay chỉ giáo. Các bác nói tiếng pháp nhiều, chắc cũng có một cái gì cảm nhận sự khác nhau, cách xử dụng giữa 2 từ, các bác gửi lên đây cho anh em học hỏi luôn.
    Cám ơn nhiều
  2. jied

    jied Thành viên quen thuộc

    Tham gia ngày:
    16/04/2002
    Bài viết:
    185
    Đã được thích:
    0
    Mới tậu được cái này... Các bạn chịu khó đọc nha...
    Bạn có thể đọc toàn bộ article "l'Analyse des prépositions 'à' et 'de' dans le cadre d'une syntaxe opérative" tại đây :
    http://www.fl.ulaval.ca/fgg/articles/prof/lowe/art_1a.htm
    Bonne lecture...

    LE SIGNIFIÉ GRAMMATICAL DE L'INFINITIF
    En vue d'expliquer la distribution des prépositions à et de avec les verbes commencer, continuer et cesser, il nous reste à introduire un dernier point ayant trait au signifié grammatical de l'infinitif. La forme infinitive partage certaines propriétés avec deux autres formes du système verbal français : le participe *** « présent » et le participe *** « passé ». En effet, ces trois formes verbales se distinguent des autres formes du système verbal français par l'absence de la personne ordinale dans leur morphologie. Elles sont par ailleurs toutes trois inhabiles à situer la durée d'un procès dans une époque déterminée. Ce qui justifie leur regroupement sous un seul et même mode verbal appelé mode « quasi-nominal » en psychomécanique du langage. Il existe enfin entre ces trois formes verbales un rapport sémantique étroit en raison du fait qu'elles représentent, selon une ordination à la fois temporelle et logique, les trois états d'existence concevables de la durée de tout procès. En effet, l'existence d'un procès dans le temps peut être conçue comme une simple possibilité, comme une réalité imaginée, anticipée. À cet état premier en concevabilité succède un second état d'existence où le procès se présente au regard de la pensée comme une réalité en cours d'actualisation dans le temps. À ce second état succède enfin un troisième et dernier état d'existence où le procès apparaît comme une réalité révolue. L'existence d'un procès étant indissociable de la durée qui en définit l'étendue dans le temps, ce qu'évoquent en définitive les trois formes du mode quasi-nominal c'est le caractère soit virtuel (infinitif) soit actuel (participe présent) soit encore révolu de la durée d'un procès, et ce quelle que soit l'époque considérée. On pourrait figurer de la manière qui suit le rapport de successivité liant les trois formes du mode quasi-nominal :

    Ce que résume le schéma qui précède, c'est le fait que tout procès est nécessairement porté par une durée inscrite entre une limite de commencement (C) et une limite de fin (F), que cette durée peut être considérée sous trois modes d'existence distincts selon que l'on se situe en pensée avant l'existence effective du procès, pendant son existence ou encore après son existence. Ce qu'évoque donc la forme de l'infinitif en français, c'est l'image d'un procès dont la durée n'est envisagée qu'au titre de possibilité. D'où sa représentation sous la forme d'un vecteur en pointillé, orienté prospectivement en direction de sa limite de fin. Le caractère virtuel de la durée évoquée par l'infinitif est une conséquence de la position à partir de laquelle se trouve considérée la durée de l'événement, soit celle correspondant à sa limite de commencement (position 1 dans le schéma). Le participe présent évoque une durée en cours, c'est-à-dire vue en partie révolue et en partie susceptible de se poursuivre en raison de la position médiane--position 2 dans le schéma--à partir de laquelle se trouve cette fois considérée la durée du procès. La partie révolue de la durée est représentée par un trait plein orienté rétrospectivement en direction de la limite de commencement et la partie non révolue par un trait en pointillé qui en souligne le caractère virtuel, orienté prospectivement en direction de la limite de fin. Le participe passé évoque enfin l'image d'une durée considérée à partir de sa limite de fin (position 3 ) et vue en conséquence entièrement révolue.
    Une fois établies les impressions liées au signifié grammatical de l'infinitif, puis celles attachées à chacun des mouvements dont sont représentatives, dans l'inconscient de la langue, les prépositions à et de, il convient enfin de s'interroger sur la nature du signifié lexical des verbes commencer, continuer et cesser pour être en situation d'apercevoir les raisons qui motivent la distribution des prépositions à et de dans le cas de ces trois verbes. Le verbe cesser évoque lexicalement l'interruption de la durée d'un procès déjà engagé dans le temps. À travers son signifié lexical se trouve évoquée l'image d'une durée considérée à partir de sa limite de fin, ce qui confère au procès dont elle est porteuse un caractère révolu. C'est en conséquence à la faveur de la position même que le verbe cesser nous oblige à occuper dans la durée d'un procès que se trouve obtenue, par parcours rétrospectif, l'image d'une durée entièrement révolue. On aperçoit sans peine dans ces con***ions les raisons qui motivent le recours à la préposition de avec ce verbe et qui excluent du même coup l'emploi de la préposition à. Dans la phrase Il a cessé de pleuvoir, l'image d'un procès révolu résulte de la mise en rapport, à travers la préposition de, du signifié de l'infinitif apport pleuvoir avec celui du verbe support a cessé. Comment alors justifier opérativement ce résultat ? Si le propre de la forme infinitive est d'évoquer une durée vue comme possible, comment sa mise en rapport avec le contenu lexical du verbe cesser entraîne-t-elle l'image d'un procès interrompu en son cours et, conséquemment, révolu ? L'explication tient ici à ce que évoquer l'interruption d'un procès en cours équivaut à refuser de voir en pensée sa durée se poursuivre au-delà d'un certain point de repère, qui en marque alors le terme. En d'autres mots, un procès cesse d'exister dans le temps dès que se trouve interrompu la possibilité de sa continuation. C'est cette possibilité de continuation, déclarée par l'infinitif, que nie par son contenu lexical le verbe cesser. On pourrait résumer de la façon suivante les rapports établis, dans l'exemple qui précède, entre le signifié grammatical de l'infinitif apport, celui de la préposition de et celui du verbe support :

    En raison de sa valeur essentiellement rétrospective, la préposition de est seule ici à convenir, par affinité impressive, au contenu de signification du verbe cesser, tout comme elle convient aux impressions qu'évoquent, par référence à une limite de fin, le signifié lexical des verbes arrêter, finir et achever.
    Les con***ions de pensée que définit le verbe continuer sont celles d'un procès dont la durée est vue en partie révolue on ne peut continuer qu'une activité déjà commencée et dont la poursuite est envisagée comme possible on ne peut continuer qu'une activité qui n'a pas atteint son terme. C'est en conséquence dans le cadre d'un procès en cours d'existence que nous oblige à nous situer le verbe continuer, position à la faveur de laquelle la durée du procès considéré nous apparaît partagée en une partie déjà réalisée et une partie à réaliser. Ce qui explique le choix, offert à la pensée par la position occupée dans la durée du procès, de définir la continuation de celui-ci aussi bien par référence à la partie réalisée que par référence à la partie non encore réalisée. La nuance expressive obtenue, selon que se trouve retenue l'une ou l'autre préposition, n'est pas toujours aisée à décrire. Dans l'exemple Les réfugiés continuent à affluer, la préposition à semble privilégier la phase dynamique de l'affluence. Elle définit la continuation du procès par référence au flux ininterrompu des arrivants. La préposition de privilégierait la phase résultative du même procès en définissant la continuation par référence à la progression constante des arrivés. Ce que tente de suggérer la figure qui suit :

    À l'instar du verbe continuer, le verbe commencer peut se construire avec l'une ou l'autre préposition. Ce qui laisse supposer deux manières de concevoir le commencement d'un procès. Rappelons tout d'abord que pour qu'un procès soit déclaré commencé, il faut nécessairement que celui-ci se soit minimalement matérialisé dans le temps. Cette matérialisation minimale peut faire l'objet d'une représentation dynamique et correspondre alors à l'inscription dans le temps des premiers instants de la durée du procès. L'impression d'un procès à peine engagé est obtenue dans ce cas par approche minimale de la limite de fin de sa durée. C'est à cette représentation dynamique et essentiellement prospective du commencement d'un procès que convient la préposition à en raison de la forme du mouvement auquel correspond son signifié lexical. On pourrait résumer comme suit cette première façon de concevoir le commencement d'un procès :

    La matérialisation minimale d'un procès dans le temps peut également être représentée résultativement, par la prise en considération de la distance qui sépare la partie accomplie de la durée de la limite de commencement du procès. L'impression d'un procès à peine engagé dans le temps est cette fois obtenue par éloignement minimal de sa limite de commencement. C'est à cette représentation résultative et essentiellement rétrospective du commencement d'un procès que convient la préposition de en raison de la forme du mouvement auquel est associé son signifié lexical. un éloignement minimal de la limite de commencement de la durée du procès. Le schéma qui suit résume cette seconde manière de se représenter le commencement d'un procès :

    À la lumière de ce qui vient d'être exposé, la distribution des prépositions à et de dans les constructions qui nous intéressent ici n'apparaît plus être le fruit du hasard. Et dans les cas où il peut y avoir alternance des deux prépositions avec un même verbe, cette distribution n'obéit pas non plus, contrairement à ce que suggère Grevisse (1) à une loi d'euphonie. Sa justification repose en grande partie sur une analyse fine du contenu de signification des verbes en fonction de support dans ces constructions.
    L'idée que le signifié lexical du verbe support puisse déterminer le choix de la préposition dans les constructions en cause n'a rien en soi d'étonnant. C'est du reste sur une analyse fine du signifié lexical de nombreux verbes que sont redevables les explications produites par Gustave Guillaume pour rendre compte de la variation modale observable notamment dans les subordonnées complétives. C'est en effet en raison de la nature de son signifié lexical que le verbe espérer impose le recours à l'indicatif (espérer qu'il fera beau) alors que le verbe souhaiter, de sens assez voisin, impose l'emploi du subjonctif (souhaiter qu'il fasse beau), tout comme l'idée de probable se construit avec l'indicatif (il est probable qu'il viendra) alors que celle de possible se construit avec le subjonctif (il est possible qu'il vienne). Ce n'est en conséquence qu'au terme d'une analyse fine du signifié lexical de chacun des verbes qui se construisent avec la prépositions de et d'une analyse non moins fine du signifié lexical de chacun des verbes qui se construisent avec la préposition à que l'on pourra espérer, moyennant la découverte d'un dénominateur commun sous chacune des séries de verbes analysés, expliquer la distribution de ces deux prépositions. Ce dénominateur commun nous est déjà indirectement suggéré par la valeur générale que propose Guillaume du signifié propre à chacune de ces prépositions. Il s'agit donc, pour chaque verbe examiné, d'établir en quoi les impressions qu'il évoque sont en affinité avec celles attachées à l'un ou l'autre des mouvements que représentent dans la langue les prépositions à et de.
    (1) Au §877 du Bon Usage (op. cit.), l'auteur fait en effet remarquer qu'à côté de commencer à, la construction commencer de est d'un usage très fréquent dans la langue écrite, au point que l'on peut considérer qu'elle a le libre « choix » et que c'est l'oreille qui « décide » dans ce cas.
    May The Force Be With You
    Que La Force Soit Avec Vous
    Được jied sửa chữa / chuyển vào 12:16 ngày 10/07/2003
  3. username

    username Thành viên rất tích cực

    Tham gia ngày:
    19/07/2001
    Bài viết:
    1.672
    Đã được thích:
    0
    Il aurait mieux valu que tu ecrive en francais, puisque tu est a l'aise d'ecrire en francais, et, en plus, il y a un gentil Francais dans ce club qui peut t'aider mais qui ne comprend surement rien si tu ecris en vietnamien.
    D'ailleurs, j'ai remarque que tu n'etais pas fort en vietnamien non plus en voyant ce que tu ecris : "xử dụng ". Si tu veux maitriser une langue etrangere, sois d'abord respectueux de ta langue maternelle.
    Được username sửa chữa / chuyển vào 12:45 ngày 10/07/2003
  4. phanthanhthuy

    phanthanhthuy Thành viên mới Đang bị khóa

    Tham gia ngày:
    15/06/2003
    Bài viết:
    470
    Đã được thích:
    0
    Oui oui, mon maitre, tu te ressembles à un compere, je vais le recrire en francais.
  5. phanthanhthuy

    phanthanhthuy Thành viên mới Đang bị khóa

    Tham gia ngày:
    15/06/2003
    Bài viết:
    470
    Đã được thích:
    0
    C'est peut-etre un des plus compliqués trucs de la langue francaise, et ça nous énerve
    Je parle comme mon habitude. Et en parlant souvent en francais, je sens les différences entre eux ( parfois, je les utilise mal, et Mme chienne corrige souvent mes fautes ). Mais, je m'en fous.
    L'histoire commence des le jour ou j'écoute la chanson "Si jamais" de la belle Natasha. Elle chante : " Si la terre continue de tourner". C'est étrange, J'ai été puni par ma prof en raison de dire "continuer de", Natasha chante en francais, sa langue maternelle, comment elle se trompe? Je demande à Mme chienne, elle regarde sur son gros dictionnaire, et c'est "continuer à" . Apres ce jour là, elle va demander à sa copine, moi, je vais demander à la mienne ( toutes les 2 sont 99% francaise, et 1% OVNIienne ). Nous avons les 2 réponses contraires. L'amie de mme chienne *** que c'est mieux "continuer de", la mienne *** que c'est "continuer à" . Je suis broullé
    Maintenant, c'est vous, les maitres de la langue francaise, qui nous enseignez les différences entre "à" et "de", et nous ***es vos expériences
    Merci beaucoup
    Được phanthanhthuy sửa chữa / chuyển vào 18:47 ngày 10/07/2003
  6. Paris_latino

    Paris_latino Thành viên mới

    Tham gia ngày:
    08/06/2003
    Bài viết:
    1.161
    Đã được thích:
    0
    OK c aussi mon problème
    Được Paris_latino sửa chữa / chuyển vào 18:28 ngày 10/07/2003
  7. Parsifal

    Parsifal Thành viên mới

    Tham gia ngày:
    18/06/2003
    Bài viết:
    4
    Đã được thích:
    0
    Ouh la la, c''est une question bien difficile! En fait, je me la suis déjà posée en lisant un jour dans un livre: "le sentier continuait de monter"; ça m''avait choqué car j''aurais plutôt ***: "le sentier continuait à monter"...
    En tout cas, cet exemple montre que ce n''est pas faux d''employer "continuer de". Je ne sais pas pourquoi ta prof te l''a barré, phanthanhthuy. Mais, c''était quoi, la phrase exacte?
    Je pense qu''il y a une différence entre "continuer à" et "continuer de".
    Quand on emploie "continuer à", j''ai l''impression qu''on introduit une notion de volonté dans la phrase: le sujet accomplit l''action grâce à sa volonté. Mais, quand on emploie "continuer de", on enlève l''idée de volonté: le sujet subit l''action.
    Par exemple, je dis: "la terre continue de tourner" car ce n''est pas une action que la terre fait volontairement. Si je disais "la terre continue à tourner", ça voudrait dire que la terre tourne parce qu''elle le veut: c''est faux car la terre n''a pas de volonté!
    C''est pourquoi dans le premier exemple, on *** "le sentier continuait de monter" car le sentier subit l''action, il ne monte pas volontairement...
    Voilà, c''est comme ça que je le ressens... En fait, je ne sais pas s''il y a une règle précise. J''irai voir dans un livre de grammaire et je vous donnerai une reponse plus complète!
    Bonne soirée!
    (à username: tu es bien dur avec tes compatriotes, et puis, tu ne veux pas que j''apprennes le viêtnamien?
    Parsifal
  8. phanthanhthuy

    phanthanhthuy Thành viên mới Đang bị khóa

    Tham gia ngày:
    15/06/2003
    Bài viết:
    470
    Đã được thích:
    0
    Oops, vous etes tous francais, mais maintenant, j''ai recu 4 réponses différentes. Chacun a son idée. Je suis vraiment énervé a cause de cela
  9. jied

    jied Thành viên quen thuộc

    Tham gia ngày:
    16/04/2002
    Bài viết:
    185
    Đã được thích:
    0
    Salut à tous,
    Qu''est-ce que vous pensez de l''article que j''ai posté ? Il a l''air sérieux, non ?
    Si vous avez la flème de le lire, je peux vous remettre que le paragraphe concernant le verbe "continuer". C''est un peu abstrait, mais au moins on a l''explication.
    Les con***ions de pensée que définit le verbe continuer sont celles d''''un procès dont la durée est vue en partie révolue on ne peut continuer qu''''une activité déjà commencée et dont la poursuite est envisagée comme possible on ne peut continuer qu''''une activité qui n''''a pas atteint son terme. C''''est en conséquence dans le cadre d''''un procès en cours d''''existence que nous oblige à nous situer le verbe continuer, position à la faveur de laquelle la durée du procès considéré nous apparaît partagée en une partie déjà réalisée et une partie à réaliser. Ce qui explique le choix, offert à la pensée par la position occupée dans la durée du procès, de définir la continuation de celui-ci aussi bien par référence à la partie réalisée que par référence à la partie non encore réalisée. La nuance expressive obtenue, selon que se trouve retenue l''''une ou l''''autre préposition, n''''est pas toujours aisée à décrire. Dans l''''exemple Les réfugiés continuent à affluer, la préposition à semble privilégier la phase dynamique de l''''affluence. Elle définit la continuation du procès par référence au flux ininterrompu des arrivants. La préposition de privilégierait la phase résultative du même procès en définissant la continuation par référence à la progression constante des arrivés. Ce que tente de suggérer la figure qui suit :

    May The Force Be With You
    Que La Force Soit Avec Vous
    Được jied sửa chữa / chuyển vào 12:39 ngày 11/07/2003

Chia sẻ trang này