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Double meurtre d''Oyonnax: un suspect déféré au parquet
http://fr.biz.yahoo.com/15122007/5/double-meurtre-d-oyonnax-un-suspect-defere-au-parquet.html
sam 15 déc, 17h45
PARIS (AP) - Un homme placé en garde à vue jeudi soir dans le cadre de l''enquête sur le double meurtre d''un jeune couple mardi à Oyonnax (Ain) a été déféré samedi au parquet de Bourg-en-Bresse, a-t-on appris de source policière. Interrogé par les policiers de la Direction interrégionale de police judiciaire (DIPJ) de Lyon, le suspect nie les faits qui lui sont reprochés. L''homme avait été aperçu dans le quartier quelques minutes avant le drame et tenait des propos incohérents. Agé de 23 ans, le suspect en fuite avait été interpellé jeudi soir à La Rochelle (Charente-Maritime). Connu pour des violences, il est soupçonné d''avoir poignardé un jeune homme de 23 ans et sa compagne âgée de 21 ans, rue Voltaire à Oyonnax près de leur domicile. "Originaire de cette ville, le suspect connaissait le jeune homme et un contentieux pourrait être à l''origine de ce double homicide", précise-t-on de source policière. L''arme du crime, un couteau, avait été retrouvée dans un buisson situé à proximité. Ce double homicide est survenu dans une ville de 25.000 habitants où un autre meurtre à l''arme blanche avait eu lieu en août dernier. Une patronne de bar âgée de 53 ans avait été retrouvée poignardée dans son établissement. Un couteau de boucher avait été retrouvé à proximité de la scène de crime. Ce meurtre n''a toujours pas été élucidé et aucun lien formel n''est pour l''heure fait entre les deux affaires. AP

Incendie de pavillon dans le Loiret: quatre morts
http://fr.biz.yahoo.com/16122007/5/incendie-de-pavillon-dans-le-loiret-quatre-morts.html
dim 16 déc, 12h29
ORLEANS (AP) - Quatre membres d''une même famille ont péri dans un incendie qui s''est déclaré tôt dimanche matin dans un pavillon à Saint-Aignan-le-Jaillard (Loiret), a-t-on appris auprès des pompiers. Un jeune homme de 19 ans, fortement choqué, qui fait aussi partie de la famille, a été hospitalisé. C''est lui qui avait donné l''alerte peu après 6h15. Les quatre autres membres de la famille qui se trouvaient dans le pavillon sont décédés. Il s''agit des parents, âgés d''une quarantaine d''année, d''une adolescente de 14 ans et d''un adolescent de 16 ans, selon le capitaine Paul Malassigné, de la compagnie de pompiers de Gien. Le dernier corps, celui de la mère a été retrouvé dimanche peu avant midi dans les décombres du pavillon de 250m2, qui s''est partiellement effondré, a-t-il précisé. "On ne connaît pas encore l''origine du sinistre mais on a tout de même réussi à déterminer le départ de feu, il pourrait provenir d''une voiture à l''extérieur", a ajouté le capitaine Malassigné. La police scientifique devrait se rendre sur place dans l''après-midi, a-t-il encore indiqué. La maison était complètement embrasée quand les secours sont arrivés. Vingt-cinq pompiers ont participé aux opérations en vue d''éteindre le sinistre. Une enquête a été ouverte pour en déterminer la cause. AP

Une lampe vendue par Conforama peut-être à l''origine de la mort de deux enfants
http://fr.news.yahoo.com/afp/20071215/tfr-distribution-accident-incendie-f56f567.html
AFP - Samedi 15 décembre, 22h46
PARIS (AFP) - Une lampe du modèle "Némo" que Conforama a décidé de rappeler vendredi soir pourrait être à l''origine d''un incendie survenu près du Mans qui a coûté la vie à deux enfants, a-t-on appris samedi auprès de la DGCCRF et de l''enseigne.
"La Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a informé vendredi le directeur du Conforama du Mans qu''une lampe avait été retrouvée dans une maison où il y avait eu un incendie qui avait causé la mort de deux enfants", a expliqué à l''AFP une porte-parole de Conforama.
"Nous n''avons pas d''informations sur ce qui s''est passé réellement. Une enquête est en cours, nous suivons cela de très près", a-t-elle poursuivi.
"Il y a une présomption que la lampe puisse être à l''origine de l''incendie. Une expertise judiciaire est en cours et des prélèvements ont été faits dont nous n''avons pas encore les résultats", a-t-on indiqué par ailleurs à la DGCCRF.
Les gendarmes du Mans ont confirmé samedi le bilan de deux morts, une fillette morte mercredi et un garçonnet mort vendredi, dans l''incendie qui s''est produit à La Quinte (Sarthe) mercredi.
Ils n''ont pas voulu donner plus de précisions sur les circonstances de l''accident compte tenu de l''enquête en cours.
La société Conforama avait annoncé vendredi soir dans un communiqué qu''elle avait décidé d''arrêter la vente de ce modèle et de rappeler les lampes déjà vendues après avoir "été informée d''un accident survenu récemment et dont l''origine pourrait être cette lampe".
Conforama avait indiqué agir "par mesure de précaution et sans attendre les conclusions sur les causes de cet accident". L''enseigne, interrogée par l''AFP, n''avait pas été en mesure vendredi soir de préciser la nature et la gravité de l''accident.
"Conforama a joué le jeu en prenant toutes les mesures qui étaient en leur pouvoir: retrait, rappel, information", juge-t-on à la DGCCRF.
La lampe "Némo" est un spot halogène muni d''une pince, en métal et plastique, de couleur bleue, orange, fuchsia ou anis et mesure environ 14 cm x 13,5 cm x 7 cm.

Un mort dans un incendie dans le XVIIe arrondissement de Paris
http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20071218/tts-france-paris-incendie-ca02f96.html
Reuters - Mardi 18 décembre, 07h12
PARIS (Reuters) - Un incendie, dans un immeuble d''habitation de six étages du XVIIe arrondissement de Paris, a fait un mort et dix blessés, dont trois dans un état grave, dans la nuit de lundi à mardi, rapporte la préfecture de police.
Le feu a pris rue des Dames peu avant minuit et s''est propagé par la cage d''escalier. Les pompiers ont évacué huit personnes pendant le sinistre, dont on ignore la cause exacte.
Le feu a pu être totalement éteint vers 01h40. Le directeur de cabinet de la préfecture de police, Christian Lambert, s''est rendu sur place.

Un TGV percute un camion dans l''Ain: un mort et 34 blessés, selon un nouveau bilan
http://fr.news.yahoo.com/afp/20071219/tfr-trn-3elead-f56f567_2.html
AFP - Mercredi 19 décembre, 13h15

LYON (AFP) - Un TGV Paris-Genève a percuté mercredi vers 09H30 un camion circulant en convoi exceptionnel sur un passage à niveau, à Tossiat (Ain), tuant le chauffeur du poids lourd et faisant dans la rame 34 blessés légers, selon un nouveau bilan de la gendarmerie.
Un précédent bilan de la gendarmerie faisait état d''un mort, le chauffeur du poids lourd, et 25 blessés dont un grave, le conducteur du train.
"Le TGV venait de repartir de la gare de Bourg-en-Bresse en direction de Genève et roulait à environ 100 km/h. Le camion s''est engagé sur le passage à niveau alors que la barrière était levée", a indiqué Pascal Gauci, directeur de cabinet à la préfecture de l''Ain.
"Le camion s''est immobilisé pour une raison indéterminée et les barrières se sont refermées avant qu''il n''ait pu se dégager", a-t-il poursuivi.
Le TGV Paris-Genève n°6561 circulait au moment de la collision sur une "ligne classique" à 160 km/h, vitesse maximale autorisée, et non sur une ligne TGV, a indiqué à l''AFP la direction régionale SNCF à Chambéry.
La collision a provoqué le déraillement de l''avant du TGV, qui a sans doute freiné juste avant l''accident, a ajouté la SNCF.
Le plan rouge a été déclenché, a indiqué à l''AFP Lamine Sadoudi, responsable de la communication de la préfecture de l''Ain en confirmant que le camion à l''origine de l''accident était "un convoi exceptionnel".
L''accident s''est produit sur la route départementale 64, qui a été coupée dans les deux sens à la circulation, au lieu *** "la Vavrette" sur la commune de Tossiat, a précisé le Centre régional d''information routière Rhône-Alpes et Auvergne.
Aucune précision n''a été apportée sur les causes de l''accident, notamment sur un éventuel dysfonctionnement du passage à niveau ou des possibles problèmes rencontrés par le convoi exceptionnel, en raison de son gabarit, lors de la traversée de ce passage à niveau.
La commune de Tossiat se situe à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Bourg-en-Bresse.
Les voyageurs qui n''ont pas été blessés seront acheminés en autocar vers Bellegarde (Ain) où il leur sera proposé de poursuivre leur voyage vers Genève ou de repartir vers Paris, a indiqué la SNCF.
Un numéro vert a été mis en place pour les familles des victimes: 0800 120 821.

Le directeur de cabinet de Mme Boutin loue un appartement à loyer modéré
http://fr.news.yahoo.com/afp/20071219/tpl-logement-social-exclusion-gouverneme-ee974b3_1.html
AFP - Mercredi 19 décembre, 11h10
PARIS (AFP) - Le directeur de cabinet de la ministre du Logement, Christine Boutin, loue un appartement à loyer modéré appartenant à la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris) depuis 1981, a-t-on indiqué au ministère du Logement confirmant une information du Canard Enchaîné.
Interrogé par l''AFP, le ministère a expliqué que Jean-Paul Bolufer louait un logement à la RIVP depuis 1981 et qu''il payait ses loyers depuis cette date au tarif fixé par la Régie.
Le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a jugé mercredi le cas "profondément choquant".
"Il y a des choses scandaleuses. Je ne sais pas si c''est vrai, mais en tous cas on va demander à Mme Boutin", a déclaré M. Ayrault sur Canal+.
Selon l''hebdomadaire satirique daté de mercredi, M. Bolufer, préfet hors cadre, bénéficie d''un appartement de 190m2 dans le quartier de Port-Royal (Vème arrondissement), avec vue sur la chapelle du Val-de-Grâce, au prix de 6,30 euros le m2. Les prix du secteur, remarque l''hebdomadaire satirique, se situe généralement dans le parc privé entre 20 et 30 euros le m2.
M. Bolufer se serait vu attribuer ce logement en 1981 quand il était directeur adjoint du cabinet de Jacques Chirac, alors maire de Paris.
Selon le Canard, il l''aurait même sous-loué entre 1989 et 1996, alors qu''il avait été nommé à Toulouse puis de 1997 à 2007, alors qu''il bénéficiait d''un logement de fonction à Paris comme directeur des Journaux officiels.
Dans un communiqué transmis en début de soirée à l''AFP, le ministère du Logement "s''étonne du contexte dans lequel ces allégations apparaissent s''agissant d''une situation locative bien connue".
"Le directeur de cabinet tient à faire savoir qu''il est titulaire du bail de son actuel appartement depuis 1981 sans avoir bénéficié à aucun moment d''un privilège personnel (...) Si des erreurs ont été commises, elles ne peuvent être imputées qu''à une mauvaise gestion du bailleur à qui il appartient d''exiger, le cas échéant, de ses locataires toutes les justifications requises", ajoute le communiqué.
"Tout autre commentaire qui revêtirait un caractère diffamatoire relèverait désormais de l''intervention de son avocat", conclut le ministère.

Jamais dans son histoire la France n''a connu une présidence aussi pitoyable...
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Lâcher de salopes au Vatican
Par Lilian Massoulier
Agoravox - Vendredi 21 décembre, 15h30
http://fr.news.yahoo.com/agoravox/20071221/tot-lacher-de-salopes-au-vatican-89f340e_1.html
L''année 2007 conclue en fanfare par Nicolas 1er : gros raout au Vatican, avec le prêtre des « loubards » Guy Gilbert, l''historien du troisième âge Max Gallo et le très sévèrement membré comique de chez Patrick Sébastien Jean-Marie Bigard, bigot de la biroute, venu sans doute dérider le Saint Père.
Le nouveau chanoine honoraire ne s''est pas déplacé en terre vaticane en tenue d''apparat, comme Chirac l''avait fait à l''époque, et n''a peu droit à la messe, parce que divorcé, alors que Chirac, lui, avait glissé dans ses bagages une Bernadette plus enflammée et envoilée que jamais, ce qui lui avait valu les honneurs des textes sacrés. Sarkozy, un chanoine honoraire presque au rabais, en quelque sorte, vu que Cécilia s''est enfui depuis quelques temps déjà et que Carla, trop fraîche et très peu épousée, n''avait apparemment pas daigné mener ses longues jambes jusqu''à Saint-Pierre de Rome. Qu''importe : Bigard, lui, en était, de quoi combler les objectifs des caméras, des appareils photos.
Jean-Marie Bigard, immense auteur, immense comique, à côté duquel Frank Dubosc semblerait bien être une sorte d''obscur théologiste abscons (surtout con), Jean-Marie Bigard, humoriste anal, qui a fait l''essentiel de sa carrière autour du kangourou, le slip, pas l''animal. Bigard, jaune devant, marron derrière, génie devant l''absolu capable de « bourrer » le Stade de France avec ses histoires de bites, de salopes et de gland. Mais derrière tout cela, nous jure-t-on, se cache un homme, le côté triste du clown, si l''on peut dire, narré récemment dans un livre déballage comme en réservent les stars graveleuses, pour rappeler aux mauvaises critiques que derrière tout ce tralala poilu se cache un homme, avec un c"ur, des souffrances et des malheurs censés forcer les respect et l''admiration. Jean-Marie Bigard est de cette espèce de comiques coluchisés à mort : ces faiseurs de vannes, raconteurs de blagues potaches qui rêvent d''un Tchao Pantin, ou d''un Resto du C"ur, pour exister auprès des méchants intellectuels de la rive gauche, ou droite, qui les détesteraient « a priori ». Saltimbanques, oui, mais aussi capables de parrainer des associations « épatantes », on connaît la chanson. Jean-Marie Bigard serait donc beaucoup moins couillon qu''on ne le croit. En même temps, on s''en moque un peu. Jean-Marie Bigard, combien de divisions ? Pas des tonnes, mais l''homme a depuis le mois de mai dernier une qualité flagrante : il est l''ami (lui aussi) de Nicolas Sarkozy, maître du monde hexagonal. Notons, il a pire comme ami, Nicolas, il a aussi Didier Barbelivien. Pourquoi ce Didier-là, bon cabot, n''était pas du voyage chez Benoît XVI ? Sans doute allait-il moins à la messe que Bigard.
Quoi qu''il en soit, la poignée de mains Bigard-XVI restera comme l''image symbole de la première partie frénétique de règne de notre président adoré. Parce qu''entre l''humoriste poilu et le pape germanique, Sarkozy apparaît comme un chaînon manquant évident. Tout Sarkozy est dans cet espace-là, entre ces deux destins-là, il se situe quelque part entre un comique de corps de garde et un pape conservateur et sombre. On ne saurait trouver mieux pour résumer le sarkozysme. Ce lâcher de salopes au Vatican aura au moins servi à cela. Alors que l''année, la première année sarkozienne, touche à sa fin, et que tout un chacun suppute sur la forme forcément atypique que prendront les v"ux du 31 décembre (Carla Bruni chantera-t-elle un texte de Max Gallo ? Ingrid Betancourt sera-t-elle invitée surprise aux bras de Bernard Kouchner ? Christian Clavier se déguisera-t-il en François Fillon ? Jean-Louis Borloo plongera-t-il sous la banquise qui fond ?), ce voyage à Rome, entre tra***ionalisme et show-bizisme illustre avec précision, sans trait forcé ni caricature ce qu''auront été ces six derniers mois. Et préjuge de ce que seront les quatre années à suivre. On devrait se régaler, s''enthousiasmer ou se fâcher comme jamais, ne pas en croire ses yeux, ne pas en revenir ou rester sans voix face aux surprises à venir en Sarkoland. Le chanoine honoraire de l''Elysée n''a dévoilé qu''une petite partie de son jeu, trop peu pour savoir s''il faut suivre, déjà assez pour comprendre que la partie sera longue, et difficile. Qu''il sera compliqué de savoir si l''homme bluffe ou pas. Sarkozy ou l''art de brouiller les cartes et, non, cher Jean-Marie Bigard, ce n''est pas une contrepétrie.
Chez Mickey avant-hier, en papauté hier, avec une mannequin miauleuse au bras, ou un comique beauf devant l''autel, Nicolas Sarkozy poursuit son show, sans effroi, sans honte, sans retenue. Et cette comédie-là, comme l''a si bien *** Chabrol dans Libération, fait rire dans les chaumières. On ne se lasse pas. C''est du Boulevard, pas du Shakespeare, et si les caisses de l''Etat sont vides, la salle, elle, est toujours pleine.

Hai bé trai bị chó dữ tấn công trong vòng 12 tiếng đồng hồ tại tỉnh Rhône : một bé chết, một bé phải vào viện cấp cứu
Un petit garçon hospitalisé après avoir été mordu par un chien dans le Rhône
http://fr.news.yahoo.com/ap/20080110/tfr-rhone-agression-chien-enfant-8d303c5_1.html
AP - Jeudi 10 janvier, 13h19
LYON - Un garçon de sept ans a été hospitalisé à Villefranche-sur-Saône (Rhône) après avoir été sérieusement mordu à la joue mercredi après-midi par un bouledogue anglais à Chenas, dans le Beaujolais, a-t-on appris jeudi auprès de la préfecture, alors qu''un autre petit garçon de deux ans et demie a été tué mercredi soir dans le même département par un rottweiler.
"Le bouledogue anglais, qui n''appartient pas à la catégorie des chiens dangereux, était celui d''amis de la famille et l''enfant a voulu le caresser quand le chien l''a attaqué. Les jours du petit garçon ne sont pas en danger", a précisé Xavier de Furst, le préfet délégué à la sécurité et à la défense.
"Nous allons demander que les deux chiens soient euthanasiés, mais ce sont les maires sous contrôle d''un vétérinaire qui prendront la décision finale", a-t-il ajouté.
"On ne peut pas se permettre d''avoir des accidents répétés de ce type-là. Nous avons demandé aux services de police et de gendarmerie de renforcer les contrôles sur les chiens dangereux de catégories 1 et 2 à la ville et à la campagne et de faire un recensement pour connaître exactement leur nombre dans le département", a expliqué Xavier de Furst.
Mercredi soir, un petit garçon de deux ans et demi, agressé par un rottweiler à Charnay, dans le Rhône, a succombé à ses blessures.
Vers 19h30, l''enfant qui sortait de voiture a été attaqué par le chien de la famille, un rottweiller, chien de deuxième catégorie. La mère du garçonnet a essayé d''intervenir en vain. Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers n''ont pas réussi à réanimer l''enfant en arrêt cardiaque.
L''animal avait été déclaré en mairie et jusqu''ici, il n''était pas connu comme un chien dangereux. L''enfant et l''animal étaient habitués à vivre ensemble. Les faits s''étant déroulés à l''intérieur de la propriété, le chien n''avait donc pas à être muselé et à être tenu en laisse. AP

Theo Bộ Nội vụ Pháp, có gần 900 xe hơi các loại bị đốt cháy trong đêm giao thừa vừa qua
878 voitures brûlées en France dans la nuit du passage à 2008, selon l''Intérieur
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080110/tfr-nouvel-an-securite-police-lead-f56f567_1.html
AFP - Jeudi 10 janvier, 10h21
PARIS (AFP) - Quelque 878 véhicules ont été brûlés au cours de la nuit du 31 décembre 2007 au 1er janvier 2008, selon un bilan actualisé à la hausse jeudi par le ministère de l''Intérieur après la révélation de nouveaux chiffres par Europe 1.
Selon le ministère, ce bilan est en "baisse de 9,7%" par rapport à l''année précédente, contrairement à ce qu''indique la radio, qui évoque une hausse de 10%.
Le ministère n''avait toutefois jamais publié de bilan définitif des incendies de véhicules pour la nuit du 31 décembre 2006 au 1er janvier.
Concernant la Saint-Sylvestre 2007-2008, le mardi 1er janvier, la Direction générale de la police nationale (DGPN) faisait état d''un bilan "arrêté à 06h00" de "372 véhicules incendiés contre 397 l''année précédente (-6,72%) dont 273 volontairement et 99 autres par propagation".
La DGPN s''est ensuite systématiquement refusée à compléter son bilan, estimant que ce ne serait "pas significatif".
Or, jeudi matin, sur son site internet, la radio Europe 1 avançait que "au moins 746 véhicules" avaient été incendiés au cours de cette nuit de la Saint-Sylvestre.
Les chiffres donnés par la DGPN, arrêtés à 06h00 le 1er janvier, "ne peuvent prendre en compte que les incidents constatés à cette heure par les forces de sécurité", convient le ministère de l''''Intérieur jeudi.
"Dans les heures et les jours qui suivent, de nouveaux sinistres sont découverts et déclarés par les propriétaires des voitures concernées, ce qui entraîne logiquement une modification à la hausse du bilan global (qui) s''établit cette année à 878 véhicules détruits, en baisse de 9,7% par rapport à l''an dernier (973 véhicules)", a-t-on précisé de même source.
Aucun bilan définitif du nombre des véhicules brûlés au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre 2006-2007 n''avait été communiqué par le ministère de l''Intérieur ou une de ses directions, celui de "973 véhicules" avancé officiellement jeudi n''apparaissant qu''un an plus tard.
A plusieurs reprises, différents media dont l''AFP ont demandé au ministère d''avoir un bilan définitif, et se sont heurtés à une fin de non-recevoir, notamment de la part de la DGPN.
Cette dernière estimait en effet que des chiffres complémentaires ne seraient pas "significatifs", arguant du fait que tous les véhicules ayant brûlé dans ce laps de temps ne relevaient pas nécessairement du même phénomène.
Ce que confirme l''Intérieur jeudi: "l''ensemble des incendies de voitures ne peut pas être systématiquement assimilé à des manifestations de violences urbaines: un certain nombre d''entre eux sont dus à des propagations ou concernent des fraudes à l''assurance, des destructions de voitures volées, voire d''épaves".
Une polémique identique avait déjà éclaté l''année précédente entre le ministère de l''Intérieur et les media.

Đọc tin này giựt hết cả mình, hôm nọ vừa ở Grenoble may mà trở về lành lặn, nguyên vẹn, ko hề hấn j
Un homme écroué dans le cadre de l''enquête sur les règlements de comptes à Grenoble
http://fr.news.yahoo.com/ap/20080110/tfr-grenoble-fusillade-56633fe_1.html
AP - Jeudi 10 janvier, 13h47
GRENOBLE - Un homme âgé d''une vingtaine d''années a été interpellé et mis en examen pour "assassinat" mercredi soir à Grenoble, dans le cadre de l''enquête sur la série de règlements de compte entre bandes rivales qui a fait neuf morts en 2007 dans l''agglomération grenobloise, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.
L''homme interpellé par les enquêteurs de l''antenne grenobloise de la Police judiciaire de Lyon, connu des services de police pour des faits de délinquance, est suspecté d''être impliqué dans le meurtre de Miloud Hairane, le 24 décembre dernier, à Fontaine (banlieue de Grenoble). Selon le "Dauphiné Libéré", des éléments techniques précis permettent d''établir sa participation aux faits.
Le suspect, qui habite à quelques dizaines de mètres de la victime, ne ferait pas partie des bandes rivales à l''origine de la série de règlements de comptes, indiquait jeudi une source proche de l''enquête. Il pourrait avoir été utilisé seulement pour approcher la victime, précisait la même source.
L''assassinat de Miloud Hairane à son domicile avait porté le bilan de la guerre des bandes grenobloises à neuf morts et huit blessés. Ce règlement de comptes était le sixième depuis le début de l''année dans l''agglomération de Grenoble. Le 31 octobre dernier, deux hommes avaient été tués et trois autres blessés lors d''une fusillade dans le quartier de la Villeneuve.
Le 28 juillet dernier à Eybens (Isère), un jeune homme de 22 ans était tué d''une balle en pleine tête par des inconnus. Le 28 avril, un homme de 38 ans était tué et un de ses proches grièvement blessé lors d''un guet-apens à Champagnier. Le 24 février, trois hommes étaient abattus par des inconnus après une course-poursuite en voiture à Sassenage. Le 11 février, une fusillade faisait un mort et deux blessés à Fontaine. AP