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Douce et belle France - Nước Pháp tươi đẹp, thanh bình (blague) - Découvrons cette autre France que

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi heiner, 12/05/2006.

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  1. philippe

    philippe Thành viên rất tích cực

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    Khủng hoảng kinh tế xã hội trầm trọng vài năm gần đây đã đẩy hàng chục ngàn sinh viên Pháp vào con đường mại dâm
    LEXPRESS.fr du 10/01/2008
    Moi, Laura D., étudiante et prostituée
    Anne Vidalie
    http://www.lexpress.fr/info/societe/dossier/prostitution/dossier.asp?ida=463824
    Poussées par la précarité, elles seraient des milliers à se transformer en escort girls occasionnelles. Alors qu''une enquête révèle l''ampleur du phénomène, un livre-témoignage - dont L''Express publie des extraits exclusifs - raconte cet engrenage.
    [​IMG]
    Du bout de leurs plumes, Laura D. et Eva Clouet lèvent un coin du voile sur un sujet obscur et dérangeant: la prostitution étudiante. Chacune à sa manière. Laura, 19 ans, en deuxième année de langues étrangères appliquées, sait ce que vendre son corps veut dire. «J''y ai été obligée pour payer mes études», ***-elle. Pour régler son loyer et remplir son réfrigérateur, aussi. Pour ne pas échouer aux Restos du c"ur, surtout. La faim au ventre, l''argent facile à portée de clic, le dégoût de soi: elle raconte la spirale du ***e tarifé dans un livre lucide et poignant, Mes chères études, qui paraîtra le 17 janvier aux é***ions Max Milo et dont L''Express publie ici des extraits en exclusivité.
    Le même jour, le même é***eur publiera La Prostitution étudiante à l''heure des nouvelles technologies de communication. Une enquête signée Eva Clouet, 23 ans, étudiante en sociologie qui a exploré les motivations de ces escort girls occasionnelles. Ce voyage en terre inconnue lui a réservé quelques surprises. Celle, notamment, de rencontrer «des filles normales, ordinaires, qui me ressemblent dans leur façon de vivre, dans leurs projets. Pas des bimbos maquillées à cuissardes noires».
    Combien sont-elles? De 15 000 à 20 000, comme l''estime la police? 40 000, selon le syndicat SUD Etudiant? «Ce phénomène est de moins en moins marginal, juge Laura. Voyez les sites et les forums qui fleurissent sur la Toile. Et la demande est énorme...» Quant à l''offre, elle serait en hausse pour cause de précarité croissante. D''après l''Observatoire de la vie étudiante, 225 000 jeunes peinent à financer leurs études.
    La France n''est pas une exception. Dans le cadre d''une étude menée en 2006 à la Kingston University, au sud-ouest de Londres, 10% des étudiants interrogés affirmaient avoir des camarades travaillant comme stripteaseuses, entraîneuses, masseuses ou prostituées. Un chiffre en hausse de 50% depuis 2000, sur fond d''explosion des frais de scolarité. Le Japon et l''Europe de l''Est seraient également touchés. Les Polonais ont même inventé un mot pour désigner ces étudiantes: les «universtituées».
  2. johanl

    johanl Thành viên mới

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    Extraits de Mes chères études:
    [Septembre 2006. Laura, 19 ans, est heureuse. Elle est inscrite en première année de langues étrangères appliquées, option espagnol et italien. Adieu les années lycée: une nouvelle vie s''offre à elle sur le campus de V.]
    Mon père travaille comme ouvrier et ma mère est infirmière. Tous les deux gagnent juste le Smic, avec deux enfants à élever. [...] Je n''ai pas droit aux bourses, car je fais partie de ces innombrables étudiants qui se trouvent dans la fourchette fatale: très loin de ce que l''on peut qualifier de riches, pas assez pauvres pour recevoir des aides étudiantes.
    [17 septembre 2006. Laura assiste à son premier cours.]
    Le professeur nous demande de remplir une fiche pour mieux nous connaître. [...] La fiche inclut une case «Projets professionnels». [...] Je note tout ce dont je rêve, je confie toutes mes attentes à cet inconnu, toutes les espérances que représente l''université pour moi. Il manque quelque chose. Je mâche mon crayon en levant les yeux vers le plafond. Puis, après quelques minutes, j''inscris tout en bas de mon inventaire de rêves pour le futur: «Vivre pleinement».
    [Laura trouve un emploi de téléopératrice à mi-temps. Elle partage l''appartement de son petit ami, Manu.]
    Manu a vraiment atteint le summum de sa radinerie. Il me réclame de l''argent pour le loyer, les courses, les factures, ce qui donne un montant avoisinant 450 euros par mois. Je n''ai pas assez avec mon salaire, alors je comble avec le peu d''argent de poche que me donne ma mère par mois. Pas grand-chose; le peu qu''elle peut se permettre, elle me le donne. J''ai depuis un mois arrêté de payer le forfait de mon téléphone, faisant passer les frais de l''appartement en priorité dans mes dépenses. En plus de cela, je travaille quinze heures par semaine dans cette boîte de télémarketing, vingt heures à la fac, plus les heures passées à réviser. [...]
    Je tremble de voir un contrôleur dans le métro, et je me demande sans cesse comment je vais finir le mois. [...] Suis-je la seule à vivre cela? Toutes ces situations sont tellement honteuses, je ne peux pas en parler à mes copines étudiantes. Comment pourraient- elles comprendre? Alors je décline gentiment leur invitation à déjeuner et m''enferme dans la seule chose gratuite qu''il me reste: étudier. Tout ceci ne poserait pas vraiment de problème si j''avais de quoi manger à ma faim. L''état des lieux de mon placard à nourriture est toujours aussi triste et les victuailles de ma mère ont peu duré. Des pâtes, des pâtes et toujours des pâtes. Je les regarde au moment de préparer à manger, et j''ai l''impression qu''elles me narguent, comme pour me rappeler que ce soir, encore une fois, je n''aurai pas mieux. Au début, je les accompagnais de sauce tomate en conserve, mais une indigestion nocturne m''en a dégoûtée depuis, et la simple idée de voir des pâtes baignant dans la sauce bon marché me donne des nausées. «Au beurre, ce n''est pas si mal après tout.» Il y a aussi un pot de Nutella, mon petit bout de bonheur. Je n''en mange pas plus d''une cuillerée à chaque fois, pour le garder le plus longtemps possible. Il me réconforte quand j''ouvre le placard.
    [En deux mois, à force de privations, Laura a perdu plus de 10 kilos. Elle a pris rendez-vous au Crous, le centre régional des "uvres universitaires et sociales.]
    - Voilà, je viens vous voir parce que j''ai de grosses difficultés financières et je voulais savoir si je pouvais trouver de l''aide auprès de votre organisme.
    En une fraction de seconde, je lui retrace ma vie sans argent, Manu et le loyer, mes galères, le manque qui se fait sentir chaque jour. [...] Après un bon quart d''heure d''explications, je me tais enfin, mais mon silence qui attend une réponse de sa part la fait toussoter.
    - Tout ce que je peux proposer à l''heure actuelle, ce sont les tickets repas pour prendre vos repas au Crous. Ils ne sont vraiment pas chers, un repas coûte moins de 3 euros!
    Je fais un rapide calcul dans ma tête. Je ne peux pas dépenser près de 15 euros par semaine pour un seul repas par jour. Je suis venue ici dans l''espoir que l''on me propose des réductions significatives pour manger le midi et le soir.
    - C''est-à-dire que cela représente une petite somme hebdomadaire pour moi. Je voulais savoir si vous aviez d''autres solutions.
    - Dans votre cas, je n''en vois plus qu''une pour ne pas dépenser d''argent en nourriture: les Restos du c"ur.
    [...] Voilà, en une phrase, je me situe sur l''échelle sociale française, c''est-à-dire tout en bas. Si bas que je ne peux pas me payer mes repas, si bas que l''on me propose de la nourriture offerte aux sans-logis.
    Dans toute vie, il y a une nuit où l''on mûrit trop vite. Rien ne sera jamais plus comme avant. Adieu l''innocence. C''est une de ces nuits mélancoliques où les bilans font mal. En l''occurrence, le mien est financier. Pas de fric, des factures qui m''en réclament, un appart à payer. Plongée dans le noir, adossée à ma chaise devant l''écran de l''ordinateur de Manu, je contrôle à peine mon doigt qui s''affaire frénétiquement sur la souris en quête d''une solution. Un site d''annonces, puis un autre. Une fenêtre, plus ou moins cachée vers le bas de la page et qui se veut discrète, attire mon regard: réservée aux plus de 18 ans. Deux catégories: «vénales» ou pas. D''emblée je suis tentée de choisir la deuxième, comme pour me justifier aux yeux de quelqu''un. Mais la pièce est vide, je suis seule. Soyons honnêtes, le fric reste clairement la raison principale de ma présence sur ce site. Juste par curiosité, me dis-je, sachant très bien que la limite vient d''être franchie. Pas de protection spéciale, je clique (plus de 18 ans, mon cul!). Dans la case «mot clef», j''inscris mon statut d''étudiante et ma ville.
    Une liste exhaustive de demandeurs s''affiche alors, que je fais dérouler à l''aide de ma souris. C''est donc possible et si facile? Je parcours prestement les annonces qui, après une rapide consultation, se ressemblent toutes. Les mêmes mots se répètent en permanence: «jeune fille», «moments tendres», «rencontre», «recherche». Moi aussi je recherche: de l''argent, et vite. Stupidement catégorisés sous l''alibi plus que douteux de «massage», les hommes qui se présentent ont en moyenne une bonne cinquantaine d''années. Plus vieux que mon propre père. Papa, si tu savais... La différence majeure, c''est qu''eux ont du pognon, beaucoup, et semblent prêts à le dépenser pour un fantasme que je suis potentiellement capable d''assouvir. Les tarifs, lorsqu''ils sont mentionnés, parlent de centaines d''euros à l''heure. Est-ce possible? Tous ces chiffres font miroiter mon désir de possession en l''espace d''une seconde. Je m''imagine déjà avec toute cette oseille dans mon portefeuille élimé, ça dépasserait de partout! Ils parlent aussi de plusieurs heures en leur compagnie. Qu''importe, une après-midi dans une vie, je suppose que, quand on a vraiment besoin de fric, ce n''est pas grand-chose. Elle est peut-être là ma solution, celle que j''attendais. Du confort, et vite.
    Le premier message, on s''en souvient toujours. Pour moi, c''est Joe, un surnom bizarre, avec lequel il signe les messages électroniques qu''il m''envoie. [...] Je n''ai pas cherché à me trouver un pseudonyme. Trop entière, trop novice, je ne me suis pas posé la question, je pense bêtement que Laura restera toujours Laura, quoi qu''il arrive.
    «Jeune homme de 50 ans recherche masseuse occasionnelle. Etudiantes bienvenues.»
    [Laura prend rendez-vous avec Joe.]
    Ce chiffre bête comme chou revient en permanence: 100 euros de l''heure. Trois jours dans l''attente. Dans l''attente de quoi? J''ai décidé de ne pas y aller, alors pourquoi me suis-je mis en tête de respecter l''engagement passé avec cet inconnu? Je n''irai pas, point final, fin de l''histoire. Mes pensées vagabondent, entre la raison et le besoin, en faisant bien attention d''éviter mon jeune c"ur, qui n''a pas sa place dans cette histoire.
    Je regarde mon placard de bouffe, vide. Je jette stupidement un coup d''oeil à mes factures posées sur le meuble. J''ai mal à la tête. Je ferme mon livre de traduction d''un coup sec.
    Une fois, pas plus.
    [12 décembre 2006. Laura et Joe se retrouvent dans une chambre d''hôtel.]
    La mallette est posée sur le lit, ouverte. Pendant un instant, je me crois dans un film à la Tarantino, et, à mesure que je me rapproche pour en voir le contenu, je m''imagine même des liasses de billets. Au lieu de cela, une banale lettre, que Joe me tend.
    - Que veux-tu que je fasse? Que je la lise ici devant toi?
    Toujours sans parler, il me fait oui de la tête. [...]
    - Bonjour, Laura. Tout d''abord, ta ponctualité m''a satisfait et je t''en remercie. [...] Aujourd''hui, nous allons jouer ensemble. [...] Dans un premier temps, je veux que tu te déshabilles entièrement.
    [...] Un vrai entretien d''embauche. Si je passe le teste de la nu***é, je suis sûre d''être embauchée. [...] Une enveloppe m''est tendue, et devant lui, sans même me demander si l''usage ou les bonnes manières m''obligent à attendre d''être dehors pour recompter, j''admire mon butin. Ce n''est pas 100 euros, comme je le croyais, mais 250 euros que Joe me tend! Deux billets de 100 et un billet de 50. Je n''ai jamais vu de billet de 100 euros. Ma seule préoccupation à la vue de tout cet argent est de savoir comment je vais sortir 100 euros de ma poche sans éveiller de soupçons. Je ne dépense jamais autant: les billets de 5 euros représentent mieux mon quotidien.
    - On se reverra sur Internet. Par contre, si tu me vois sur Msn, ne viens pas me parler, c''est souvent ma femme qui est connectée sous mon nom.
    Dans la salle de bains, je fais couler l''eau sur mon corps pendant un quart d''heure, d''abord sans bouger. Puis j''attrape une éponge et je frotte, de toutes mes forces, sur ma peau. Elle rougit soudain, sous les grattements intenses que je lui inflige. Je m''en fiche, je ne peux plus m''arrêter. Je voudrais ôter toute cette crasse et faire comme si hier n''avait jamais existé.
    [Laura et Manu se séparent. La jeune fille enchaîne les rencontres tarifées.]
    Je n''ai pas un rond, il me semble que plus je m''enfonce dans cette vie cachée, plus mes fins de mois deviennent difficiles. A chaque problème financier, je suis tentée de me tourner vers la prostitution. Le cercle vicieux est là, me narguant et m''entraînant dans son vortex: plus je gagne d''argent, plus j''en dépense et plus j''en veux. J''ai conscience d''avoir eu de la «chance» jusqu''à maintenant. Personne ne m''a forcée, je ne suis pas tombée sur des fous furieux. Je tremble parfois en réalisant cela: peut-être que j''attends qu''il m''arrive quelque chose de bien plus choquant pour mettre un terme à cette double vie. Et si cet élément déclencheur ne survient pas? Si les limites sont repoussées petit à petit, si progressivement que je ne sente pas venir le danger? Ferai-je partie un jour de ce que l''on appelle les «professionnelles»? Aurai-je la force de m''en sortir? [...] Je me sens me dédoubler au fil de mes pensées. Ni tout noir ni tout blanc; ni totalement prostituée ni complètement étudiante.
    [...]
  3. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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    05/11/2005
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    LEXPRESS.fr du 10/01/2008
    ôLeurs âtudes demeurent la prioritâằ
    Propos recueillis par Anne Vidalie
    http://www.lexpress.fr/info/societe/dossier/prostitution/dossier.asp?ida=463827
    Pour un mâmoire qui est devenu un livre (1), Eva Clouet, 23 ans, jeune sociologue, a enquêtâ sur la prostitution âtudiante. Elle en explique les motivations.
    [​IMG]
    Selon le syndicat SUD Etudiant, 40 000 âtudiant(e) s se prostitueraient en France. Cette estimation vous semble-t-elle râaliste?
    Ce chiffre renvoie à une enquête de l''Observatoire de la vie âtudiante qui âvalue à 45 000 le nombre de jeunes en situation de prâcaritâ. Pour autant, tous ceux et toutes celles qui rencontrent des difficultâs financiăres ne se prostituent pas!
    L''an dernier, j''ai menâ une enquête sur le campus de Nantes auprăs d''âlăves de deuxiăme annâe de psychologie et de mâdecine. A la question ôConnaissez-vous dans votre entourage un âtudiant ou une âtudiante qui se prostitue?ằ, 4 personnes ont râpondu par l''affirmative, sur 138.
    Quelles sont les motivations des jeunes femmes que vous avez rencontrâes?
    Elles ont besoin d''argent pour payer leurs âtudes, leurs loyers ou arrondir leurs fins de mois. Leur situation âconomique est souvent prâcaire, leurs parents, en grande majoritâ, modestes. Mais d''autres motivations se font jour chez certaines: la volontâ d''âchapper à une âducation trop rigide, l''envie de pimenter une ***ualitâ trop cadrâe, le refus d''une vie trop lisse ou le besoin de prendre une revanche sur le mythe du prince charmant.
    De quelle maniăre la prostitution âtudiante se distingue-t-elle de la prostitution ***e tra***ionnelle?
    Les jeunes femmes, qui se dâcrivent elles-mêmes comme ôescortesằ ou ôescort girlsằ, exercent cette activitâ de maniăre indâpendante, ôchoisieằ et occasionnelle. Elles ont entre une ôrencontreằ par semaine et un ôrendez-vousằ tous les deux mois - elles ne parlent jamais de ôpassesằ - avec des clients pour la plupart râguliers. Toutes soulignent le caractăre temporaire de leur prostitution. Gagner durablement leur vie de cette faĐon-là leur apparađt inacceptable - ôglauqueằ et ôinvivableằ, pour reprendre leurs mots. Elles utilisent Internet pour racoler, soit en mettant des annonces sur des sites de rencontres, classiques ou spâcialisâs, soit en utilisant des forums de discussion, soit en se crâant un blog personnel. De cette faĐon, elles protăgent leur anonymat, posent leurs con***ions et fixent leurs tarifs.
    Quels points communs avez-vous relevâs chez ces jeunes femmes?
    Elles sont ambitieuses quant à leurs âtudes et à leur avenir professionnel, qui demeurent leurs prioritâs. Issues le plus souvent de classes sociales populaires et moyennes, elles ont envie de râussir, de ôdevenir quelqu''unằ, de vivre confortablement. Elles sont convaincues que l''âcole leur offre cette possibilitâ d''ascension sociale à laquelle elles aspirent. La plupart sont des bosseuses. Elles cachent leur pratique prostitutionnelle de peur d''être dâcouvertes par leurs proches, exposâes au regard des autres, âtiquetâes ôprostituâesằ.
    Elles parlent de ôrelations longuesằ qui permettent de ômieux se connađtreằ, de ôdiscussionsằ et ôd''âchangesằ. Une maniăre de banaliser leur activitâ?
    Entretenir l''illusion d''une relation naturelle leur permet de ne pas être considârâes comme objets de consommation. Elles ne veulent surtout pas être prises pour des pauvres filles! Leur discours sur le caractăre ôutileằ de la prostitution - au couple et à l''institution du mariage, aux hommes frustrâs - participe de ce même besoin de lâgitimation.
    -------------------------------
    (1) La Prostitution âtudiante à l''heure des nouvelles technologies de communication (Max Milo).
  4. WTR

    WTR Thành viên quen thuộc

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    Sợ quá, thế này thì ai dám đi sang Pháp nữa
  5. matthias

    matthias Thành viên mới

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    Hix, bác này làm xấu hình ảnh của các anh gendarmes quá đi thôi
    Un colonel de gendarmerie relevé de ses fonctions pour vol de chocolats
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080111/tod-france-vol-gendarmerie-insolite-7f81b96_2.html
    AFP - Vendredi 11 janvier, 12h45
    PARIS (AFP) - Un colonel de gendarmerie a été surpris en flagrant délit de vol de chocolats dans un grand magasin à Paris et relevé de ses fonctions, a-t-on appris vendredi auprès de la direction de la gendarmerie nationale.
    L''officier supérieur a été interpellé alors qu''il s''apprêtait à quitter le Bon Marché, un magasin huppé de Paris, sans payer deux boîtes de chocolat d''une valeur de 61 euros, selon le journal Le Parisien.
    Le colonel, dont l''identité n''a pas été révélée, a été remis en liberté après avoir été entendu par la police.
  6. johanl

    johanl Thành viên mới

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    25/06/2007
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    có các vàng² thì từ giờ cứ phải cẩn thận trên mạng cho nó lành
    Accusé de s''être filmé en voiture à 225 km/h, il nie les faits
    AFP - LIBERATION.FR : vendredi 18 janvier 2008
    http://www.liberation.fr/actualite/instantanes/histoiredujour/304781.FR.php
    Un homme de 26 ans, soupçonné de s?Têtre fait filmer au volant de sa voiture à 225 km/h et d?Tavoir diffusé la vidéo sur internet, a nié être l?Tauteur des faits vendredi au tribunal correctionnel de Nancy, où il était jugé pour «mise en danger de la vie d?Tautrui».

    «Ce n?Test pas moi», «je ne me reconnais absolument pas», a-t-il déclaré au juge qui l?Tinterrogeait. La vidéo, intitulée «En retard!», a été montrée vendredi durant l?Taudience. Le conducteur, dont le profil est «ressemblant» à celui de l?Taccusé, selon les différentes parties, est filmé pendant sept minutes lors de plusieurs trajets à vive allure sur une nationale et en ville, Elvis Presley en bande-son.

    L?Taiguille du compteur flirte à deux reprises avec les 230 km/h sur une portion de route près de Lunéville (Meurthe-et-Moselle) limitée à 110 km/h. L?Tautomobiliste est également filmé alors qu?Til accélère brièvement en ville, sans précision de vitesse. Un petit message clôturant la vidéo, mise en ligne sur le site Youtube en novembre 2006, remercie «Loïc (le nom de l?Taccusé, Ndlr) et sa trottinette».

    «Le pare-brise présente une fêlure, or la voiture du prévenu a eu son pare-brise changé en mai 2005. C?Test en outre l?Tun de ses amis qui a mis la vidéo en ligne. Et ces deux jeunes habitent près de Lunéville, où l?Tinfraction a été commise», a observé le parquet.
    «Mis bout à bout, tous ces éléments font sens», a assuré le parquet, qui a requis trois mois de prison avec sursis, l?Tannulation du permis de conduire avec interdiction de le repasser avant un an et 1.000 euros d?Tamende. «Comment peut-on raisonnablement fonder une poursuite et a fortiori entrer en voie de condamnation sur la base d?Tune vidéo dont l?Torigine est inconnue? Personne de la police n?Ta rien vu directement», s?Test indigné l?Tavocat du conducteur présumé, Me Eric de Caumont.

    Un policier féru d?Tinternet était tombé par hasard sur la vidéo, ce qui avait lancé l?Tenquête. Les fichiers de la police n?Tavaient livré qu?Tun seul propriétaire prénommé Loïc en Meurthe-et-Moselle pour le modèle de voiture recherché.

    Dénonçant l?T«empilage plus ou moins hasardeux d?Tun faisceau d?Tindices» relevant du «royaume du n?Timporte quoi», Me de Caumont a plaidé la relaxe de son client, arguant que les faits pouvaient en outre être prescrits, aucune datation irréfutable de l?Tenregistrement de la vidéo n?Tayant été produite.

    Verdict le 1er février.
  7. niklas

    niklas Thành viên mới

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    10/05/2006
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    Ôi, người Pháp...
    Palmarès
    Touristes français: pourquoi ils sont détestés

    Hélène Foyer
    http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=11610
    vendredi 25 mai 2007, mis à jour à 11:52
    Jamais content, impoli: le vacancier hexagonal n''est pas du tout apprécié des hôteliers. C''est ce que révèle une étude européenne sur les bons et mauvais touristes, rendue publique jeudi, qui place les Français bons derniers, loin derrière les Japonais
    Râleurs, les touristes français? Pas seulement. Ils sont aussi réfractaires aux langues étrangères, fort peu curieux en matière culinaire, impolis et radins. Ce joli portrait ressort de l?Tétude des meilleurs et pires touristes en Europe du voyagiste en ligne Expedia, réalisée par GFK et rendue publique jeudi. 150 000 hôteliers de 12 pays européens ont été interrogés pour établir ce hit-parade.
    Seul atout: le look
    Le Français ne se distingue qu?Ten matière vestimentaire: il soigne son look, tout comme son homologue italien ou espagnol. Aux antipodes de ces fashion victims, les Américains, les Britanniques et les Allemands, qui semblent surtout privilégier le confort pendant leur voyage.
    En net progrès: les Etats-Unis
    Les Américains ne sont pas pour autant dénués de qualités. On les disait bruyants, sans gêne voire grossiers. Ils apparaissent pourtant au deuxième rang du palmarès. Leur principal mérite? Mettre facilement la main au porte-monnaie. Ainsi, 36% des hôteliers interrogés avouent les choyer particulièrement. Contrairement aux Français, qui, eux, définissent avant même de partir le montant de leurs dépenses...
    Palme d''or aux Japonais
    And the winner is? Japanese! Discret, curieux, poli, respectueux des coutumes et tra***ions du pays hôte: tel est le Japonais. Bref, le touriste idéal. En plus, ce vacancier-là laisse sa chambre propre. C''est ce qui s''appelle une leçon de savoir-vivre.
  8. johanl

    johanl Thành viên mới

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    E***o du Monde
    Du rapport à l''action

    LE MONDE | 19.01.08 | 14h00 ? Mis à jour le 19.01.08 | 14h00
    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-1001336,0.html
    Ce n''est pas nouveau : les gouvernants français adorent les rapports. De préférence ambitieux et intelligents, dressant d''impeccables diagnostics et évoquant des lendemains qui chantent. Nicolas Sarkozy déroge d''autant moins à la règle qu''il entend changer la France.
    C''est donc avec une belle énergie que le président de la République avait, à l''été 2007, installé deux commissions : l''une présidée par l''ancien premier ministre Edouard Balladur pour rénover en profondeur les institutions et la démocratie française, l''autre présidée par l''ancien conseiller de François Mitterrand, Jacques Attali, pour libérer la croissance française et retrouver le plein-emploi. A l''un comme à l''autre, il avait recommandé de faire preuve d''audace. "Ce que vous proposez, nous le ferons", avait-il ainsi lancé lors de l''installation de la commission Attali.
    Nous y sommes, dans les deux cas. Et le passage à l''acte risque d''être moins glorieux qu''annoncé. Non que les rapporteurs aient manqué à leur devoir. A défaut de changer de République, comme en rêvait son président, la commission Balladur a formulé, à l''automne, une batterie de propositions qui sont loin d''être négligeables. Elles visent à renforcer les pouvoirs du Parlement, mais aussi ceux des citoyens, en permettant notamment à ces derniers de saisir le Conseil constitutionnel pour qu''il se prononce sur la conformité d''une loi aux droits fondamentaux. L''innovation serait considérable. Or elle est menacée d''être passée à la trappe lors des derniers arbitrages en cours à l''Elysée.
    Jacques Attali, de son côté, s''apprête à présenter ses "trois cents décisions pour changer la France". Gageons qu''elles auront également quelque difficulté à être traduites en actes. Un seul exemple : l''ambition numéro un est de "préparer la jeunesse à l''économie du savoir", et donc de "se donner les moyens pour que tout élève maîtrise, avant la fin de la sixième, le français, la lecture, l''écriture, le calcul, l''anglais, le travail de groupe et l''informatique". Parfait. Mais cela fait vingt ans que toutes les études pointent ce handicap terrible que constitue la non-maîtrise de la langue à l''entrée au collège. Et cela fait huit ans, depuis le sommet de Lisbonne, que l''Union européenne s''est engagée, formellement, à devenir la championne de l''économie de la connaissance en conduisant la moitié des jeunes au niveau de la licence. Sans que, dans un cas comme dans l''autre, cela ait permis d''améliorer en profondeur la réalité.
    Voilà donc le chef de l''Etat au pied du mur. Les rapports ont l''indéniable mérite de préparer les esprits au changement. Mais si l''exécutif réduit leurs recommandations comme peau de chagrin ou s''il n''y consacre pas les moyens nécessaires, il est à craindre qu''il déçoive plus qu''il n''entraîne.
    Article paru dans l''é***ion du 20.01.08.
  9. 0707007

    0707007 Thành viên mới

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    07/07/2007
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    Vụ này xem ra có vẻ có nhiều tình tiết bí hiểm
    L?Thomme qui «volait» 5 milliards
    La Société générale a annoncé hier avoir été victime de la plus grande fraude du monde de la finance. Hors de tout contrôle. Explications.

    NICOLAS CORI
    QUOTIDIEN : vendredi 25 janvier 2008
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    Soir 3 - Journal télévisé du 24 janvier 2008​
    Il s?Tappelle Jérôme Kerviel, il a 31 ans. Il était considéré jusqu?Tà vendredi soir comme un petit trader sans histoire, travaillant dans l?Téquipe des «Delta One Products» (produits dérivés sur actions) de la Société générale. Gagnant moins de 100 000 euros par an (une misère par rapport aux stars du trading), il était chargé de couvertures de risque dans le domaine des indices boursiers. Il va rester dans l?Thistoire comme le trader fou qui a fait perdre 5 milliards d?Teuros à sa banque. La perte la plus importante commise par un homme seul. Mieux que Nick Leeson, le trader de la Barings, qui avait fait perdre 827 millions de livres à sa banque.
    Abasourdis. «Exceptionnel», «incroyable», «inexplicable»? Hier, l?Tétat-major de la Société générale, qui avait convoqué une conférence de presse à son siège de la Défense, ne savait quels qualificatifs attribuer à cette immense fraude. Devant les questions de journalistes abasourdis par cet événement sans équivalent dans l?Thistoire de la finance, Daniel Bouton, le PDG de la banque, tente d?Texpliquer ce qui s?Test passé. «Nous avions prévu de vous réunir lundi pour vous montrer à quel point nous résistions bien dans le contexte de crise financière, raconte Bouton. Mais, dans la journée de samedi, nous avons découvert une position cachée, logée hors du champ d?Tactivité de nos marchés. Elle était d?Tune taille énorme et faisait courir des risques considérables». De l?Tordre de 40 à 50 milliards d?Teuros selon certaines sources, non confirmées par la banque. «Après avoir informé la banque de France et l?TAMF, poursuit Bouton. Nous avons décidé de couper cette position. Supplément de malchance, le débouclage s?Test effectué de lundi à mercredi dans un contexte de mini-krach.» Résultat, la perte atteint les 5 milliards, auquel il faut ajouter deux milliards de dépréciation liés à la crise des subprimes.
    Ce qui paraît le plus incroyable dans cette histoire est la manière dont le trader s?Ty est pris. Selon la banque, Kerviel aurait agi sans aucune complicité. «C?Test un homme seul qui a eu l?Tintelligence d?Téchapper à toutes les procédures de contrôle», détaille Bouton. Plus précisément, le trader, entré en 2000 au «middle office» de la Socgen, le service chargé de surveiller le comportement des traders, se serait servi de sa connaissance acquise dans ses anciennes fonctions pour maquiller ses opérations frauduleuses. Il inventait en fait des achats ou des ventes fictifs, qui contrebalançaient ses opérations réelles. Et, pour ne pas se faire attraper, il se tenait au courant, grâce à ses relations avec ses ex-collègues du middle office, des contrôles à venir.
    Sa motivation reste cependant mystérieuse. Ce n?Test pas l?Targent qui l?Ta guidé mais, semble-t-il, le simple plaisir du jeu. Kerviel aurait réalisé ses premiers coups durant l?Tannée 2007, qui se seraient révélés gagnants. Puis, au début 2008, il a joué à la hausse les indices boursiers, qui se sont écroulés. Mais que ses paris soient gagnants ou perdants, il les dissimulait. Et ne pouvait donc s?Ten prévaloir pour se faire bien voir de sa hiérarchie. Il n?Taurait pas non plus essayé de faire sortir l?Targent de la banque. «Il n?Tavait pas conscience de ce qu?Til faisait, ni de la taille des positions qu?Til prenait», témoigne Jean-Pierre Mustier, le patron de la banque d?Tinvestissement, qui a longuement interrogé Kerviel dans la nuit de samedi à dimanche.
    Dissimulation. Aujourd?Thui licencié, Kerviel est dans la nature. Et injoignable. D?Taprès son avocate, il n?Test pourtant pas en fuite. Après l?Tavoir questionné, la banque l?Ta laissé partir. Et n?Ta attendu qu?Thier pour porter plainte, pour «faux et usage de faux en écritures de banque et intrusions informatiques». Une attitude qui semble suspecte à beaucoup. Dans de nombreuses salles de marchés, on est convaincu que la Socgen charge le trader pour faire passer plusieurs opérations de marché désastreuses. Pure médisance ? Même s?Til s?Tagit d?Tune perte, le coup est vraiment exceptionnel. Et les stars de la finance sont sûrement vexées qu?Tun simple trader de base réussisse à couler une banque.
    http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/306062.FR.php
    © Libération
  10. matthias

    matthias Thành viên mới

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    22/07/2006
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    tít của mình cũng là do ông này ký
    Un haut fonctionnaire en charge de l''immigration, "évincé", se rebiffe
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080125/tfr-immigration-police-prev-f56f567_1.html
    Par Sandra LACUT et Rémy BELLON
    AFP - Vendredi 25 janvier, 21h24
    PARIS (AFP) - Yannick Blanc, un haut fonctionnaire en charge de l''immigration à Paris qui s''était attiré les foudres de Nicolas Sarkozy en 2006, s''est rebiffé vendredi après avoir été "évincé", selon des proches, la semaine dernière.
    M. Blanc avait déclenché, en juillet 2006, une vive polémique en annonçant dans une interview au Monde que "plusieurs milliers de familles" sans papiers seraient "régularisées" dans le cadre de la circulaire du 13 juin du ministre de l''Intérieur de l''époque, Nicolas Sarkozy, en plein débat sur la régularisation de sans-papiers, chère à M. Sarkozy.
    Quelques jours plus tard, ce dernier lui avait infligé publiquement un cinglant démenti en affirmant que "tous ceux qui parlent de chiffres aujourd''hui parlent de sujets qu''ils ne connaissent pas".
    Depuis, M. Blanc, un ancien du cabinet du ministre de l''Intérieur du gouvernement Jospin, Jean-Pierre Chevènement, se disait dans le collimateur.
    L''ancien directeur de la police générale à la PP a réagi vendredi et accordé plusieurs entretiens à la presse.
    Il a appris son départ, selon des sources internes à la PP, "par un simple mail" et sans explication. Un départ, que des sources proches de M. Blanc ont qualifié "d''éviction".
    A l''AFP, M. Blanc a dénoncé l''objectif chiffré en matière d''expulsions d''étrangers en situation irrégulière, comme "obstacle lorsqu''il devient un enjeu politique".
    Interrogé sur les raisons de son départ de la PP, où il était notamment chargé de la délicate délivrance des titres de séjour et des reconduites à la frontière, M. Blanc a clairement évoqué la conduite de la politique d''immigration à Paris.
    "Il est normal, dans ce domaine comme dans d''autres, de fixer des objectifs chiffrés", a-t-il ***. "Mais quand ce chiffre est devenu un enjeu politique, il a suscité des crispations, notamment des institutions judiciaires et des autorités consulaires, et cela est devenu un obstacle à l''efficacité du travail", a ajouté M. Blanc.
    "Les résultats ne sont alors pas à la hauteur", a-t-il affirmé, qualifiant ce constat de "réponse logique" à son départ de la PP.
    La PP s''était vu fixer un objectif de 3.680 expulsions pour 2007, pour "environ 2.800 expulsions" atteintes, selon M. Blanc.
    Selon une source policière, il y a eu à Paris en 2007 "15.000 interpellations, quelque 6.000 garde à vue, et 2.450 reconduites à la frontière effectives".
    Interrogé sur le poids de la mobilisation de RESF (Réseau Education sans Frontières) en faveur des sans-papiers depuis 2006, M. Blanc a estimé que cette action, "comme celle de bien d''autres associations humanitaires et d''élus", a été "l''objet d''un travail constant de sa part", qui lui a permis "d''étudier les dossiers".
    "Il nous est arrivé de faire libérer des gens de centres de rétention", a-t-il ***, en soulignant "pratiquer volontiers le dialogue".
    En juin 2007, une autre affaire l''avait sans doute desservi. Il avait été placé en garde à vue à l''Inspection générale des services (IGS) dans le cadre d''une information judiciaire sur un trafic présumé de titres de séjour à la préfecture de police.
    Aucune charge n''avait été retenue contre lui dans ce dossier.
    Jacques Quastana a été nommé directeur de la police générale à la préfecture de police (PP) de Paris, où il a succédé à M. Blanc, par décret du président de la République du 16 janvier paru le 18 au Journal officiel.

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