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Douce et belle France - Nước Pháp tươi đẹp, thanh bình (blague) - Découvrons cette autre France que

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi heiner, 12/05/2006.

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  1. johanl

    johanl Thành viên mới

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    Propos antisémites dans un bar: 3 policiers mis en examen à Amiens
    AFP - Dimanche 10 février, 01h14
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    ảnh chỉ mang tính chất minh hoạ​
    AMIENS (AFP) - Cinq personnes, dont trois policiers, soupçonnées d''avoir tenu des propos antisémites dans la nuit du 1er au 2 février dans un bar d''Amiens, ont été mises en examen samedi pour "provocation à la haine raciale" et laissées libres sous contrôle judiciaire, a-t-on appris de source judiciaire.
    Dans le pub amiénois "My Goodness", les membres du groupe auraient crié "Mort aux Juifs" et ***: "Il faut rouvrir les fours crématoires", a expliqué à l''AFP le procureur adjoint de la République d''Amiens, Philippe Petitprez.
    Ils auraient également réalisé à plusieurs reprises des saluts hitlériens et crié "Sieg Heil" et "Heil Hitler".
    Un des policiers, brigadier-chef à la brigade anti-criminalité (BAC) d''Amiens, aurait aussi tenu des propos xénophobes, à savoir qu''il "refus(ait) de laisser son pays colonisé par les bougnoules ou les négros", a précisé le parquet.
    Soupçonnés d''avoir exercé des menaces sur le gérant de l''établissement, deux suspects, le brigadier-chef et un gérant de société commercialisant de la viande, ont également été mis en examen pour "actes d''intimidation envers une victime".
    "Tous reconnaissent peu ou prou avoir levé leurs verres en prononçant des mots tels que +Heil Hitler+ ou +Sieg Heil+" et d''avoir fait des "saluts hitlériens" mais "personne ne reconnaît avoir tenu les propos antisémites, notamment les plus violents, comme +Mort aux Juifs+", a déclaré M. Petitprez.
    "Nous disposons par contre de témoignages de plusieurs personnes qui nous paraissent extrêmement fiables", a-t-il ajouté.
    "Les actes d''intimidation sont (aussi) contestés", a noté le procureur adjoint, en soulignant que "cette accusation repose essentiellement sur les dires du gérant du bar".
    M. Petitprez a précisé qu''"aucun n''(avait) revendiqué une appartenance à un mouvement néo-nazi".
    Selon des sources proches de l''enquête, le brigadier-chef, âgé de 39 ans, a fait des campagnes pour le Front national et sa femme est conseillère régionale de Picardie sous cette étiquette. Il est également syndiqué à la FPIP (Fédération professionnelle indépendante de la police), syndicat minoritaire d''extrême droite.
    Les autres suspects sont deux policiers âgés de 30 et 37 ans, suspendus comme leur collègue de leurs fonctions depuis la révélation des faits, un boucher de 40 ans et un gérant de société de commerce de viande de 41 ans.
    Les cinq suspects ont été laissés en liberté sous contrôle judiciaire, comme l''avait requis le parquet. Pour la provocation à la haine raciale, qui fait encourir un an de prison, "la détention provisoire n''est pas possible", a expliqué M. Petitprez.
    Pour le deuxième chef, "elle l''est théoriquement, mais hormis le trouble à l''ordre public, on n''a pas vraiment de critères permettant de demander la détention. Or le trouble à l''ordre public n''est plus un critère de détention provisoire depuis l''année dernière en matière correctionnelle", a-t-il précisé. Deux jeunes hommes, des Français d''origine maghrébine, ont par ailleurs déposé plainte samedi contre des policiers amiénois, dont deux mis en cause dans l''affaire du pub. Quelques heures après les événements survenus au "My Goodness", ces policiers les auraient pris à partie dans une discothèque.
    Interrogé sur ce dossier, M. Petitprez a simplement indiqué qu''une enquête était en cours pour vérifier les dires des plaignants qui expliquent "avoir reconnu les policiers sur le journal".
  2. heiner

    heiner Thành viên mới

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    rùng hết cả mình
    -------------------------------
    Grand Angle
    «Loue studette contre pipe»
    Certains propriétaires profitent de la crise et, contre un logement, proposent un nouveau type de troc. «Libération» a testé quelques annonces sur Paris.
    ELHAME MEDJAHED et ONDINE MILLOT
    QUOTIDIEN : mercredi 6 février 2008
    Il a rappelé une heure avant pour s?Tassurer que nous serions bien au rendez-vous, a ouvert la porte de son appartement en souriant, a offert un verre au salon, puis s?Test assis, le sourire toujours aux lèvres et les yeux vissés sur nous. Antoine (1), 47 ans, haut fonctionnaire, est bavard et disert sur la «colocation» qu?Til propose. «Confort», «calme», «indépendance»? «C?Test un quartier agréable. Et vous aurez votre chambre.» Mais ce dont Antoine aimerait surtout parler, c?Test des contreparties qu?Til attend de sa colocataire. «Se promener nue le plus souvent possible. Ecarter les jambes sur le canapé pour m?Texciter. Pas de contrainte de fréquence pour les rapports ***uels, mais faudra pas se foutre de ma gueule non plus. Au début, je risque d?Tavoir envie souvent.» Voilà environ deux ans qu?TAntoine recrute ainsi des colocataires, via une annonce sur le site Internet Missive, à laquelle nous avons répondu. Pas de loyer numéraire, on paye en nature. Pas de bail non plus, «tout est basé sur la confiance». Quant à la durée, «pas de limites». «?a peut être en mois, en années. Les seules filles que j?Tai virées sont celles qui ne respectaient pas leurs engagements.»
    Antoine n?Test pas le seul à pratiquer ce type d?Téchange - appartement contre ***e - à Paris. Dans un contexte de crise du logement, la formule semble s?Têtre répandue. Sur Missive, la rubrique parisienne «A louer» recense de nombreuses offres d?Thommes proposant des colocations ou studios indépendants «contre services ***uels».Mais également de femmes, troquant leurs charmes contre un toit. Ailleurs, sur Kijiji, Vivastreet ou dans le journal gratuit Paris Paname, on trouve aussi des annonces, plus masquées. Le mot ***e n?Tapparaît pas, ce sont les mentions «pour jeune femme», «contre services» et l?Tabsence de montant pour le loyer qui servent d?Tindices.
    Exigences. Antoine est lucide sur les motivations de ses colocataires. «Je sais bien que si vous aviez les moyens de vous loger autrement, vous ne viendriez pas chez moi.» Ce qui n?Tentraîne aucun scrupule quant à ses exigences, dont la liste s?Tallonge au fil de l?Tentretien. «Je veux pouvoir vous observer aux toilettes. J?Taimerais que vous soyez là le soir quand je rentre. Ce serait bien si on pouvait dormir ensemble. Je veux du ménage et du repassage.» On quitte Antoine en pleine description des jeux «uro-scato» dans lesquels il nous imagine. Pour rejoindre notre deuxième rendez-vous.
    Dans cette rue sombre proche de la gare Saint-Lazare, l?Thomme attend au bas de l?Timmeuble, silhouette courbée rasant les murs. L?Tadresse qu?Til nous a donnée au téléphone n?Test pas la bonne. Il nous entraîne un peu plus loin, dans une arrière-cour, puis dans un petit ascenseur sans lumière. Au sixième étage, on débouche dans une chambre d?Tà peine dix mètres carrés : un néon verdâtre, un vieux lit en mezzanine et une douche en plastique crasseuse. «Voilà, *** Amar. 650 euros, à négocier si arrangement.»
    Enervement. La formule est la même que dans l?Tannonce postée sur Missive. On demande des précisions. «450 eurosplus deux week-ends de ***e par mois», répond-il. Amar habite en banlieue : les «week-ends de ***e» peuvent avoir lieu ici ou chez lui, dans les Yvelines. «Je peux faire un bail, mais il va falloir être très gentilles.» Amar a fermé la porte, et reste debout, appuyé contre la poignée. Son ton devient agressif : «C?Test une bonne offre, les agences demandent 850 euros plus une caution pour ça.» «C?Test pas une arnaque», répète-t-il de plus en plus énervé et menaçant. Nous demandons à visiter les toilettes sur le palier. Et prenons précipitamment congé.
    De tous les hommes contactés, Laurent, 32 ans, est le seul à manifester une certaine timi***é. Dans son studio propret du XVe arrondissement, il parle de tout, du temps qu?Til fait, et surtout pas de l?Tannonce qu?Til a passée. «J?Tai connu Missive par leur rubrique de rencontres SM, se lance-t-il enfin. Je n?Taurais jamais eu l?Tidée de proposer un hébergement contre du SM si je n?Tavais pas découvert là que ça se faisait.» Documentaliste, Laurent est un beau jeune homme svelte, les épaules carrées, le visage doux. «Ce que j?Taime, confie-t-il,c?Test être attaché. Servir à table en soubrette. Lécher des bottes en me prosternant.» Laurent propose de partager son modeste clic-clac en échange de quelques séances de ce type. «Je ne demande pas de relations ***uelles classiques. L?Tidée, c?Test que ça reste cool. La fille a la clé, elle mène sa vie, mais juste, de temps en temps, elle me *** : "Fais ça." Ou moi, spontanément, je m?Ty mets, je lui sers de chaise, de repose-pieds.» Laurent a déjà eu deux expériences de colocation qui se sont «très bien passées». «Peut-être que les filles sont poussées à ça par leurs difficultés, admet-il. Mais, au final, chacun y trouve son compte.»
    C?Test aussi le credo de Julien, 30 ans, qui parle d?T«échange de bons procédés». Agent de sécurité, il héberge régulièrement «des filles» dans son joli deux-pièces de l?TOuest parisien. «Ce sont souvent des escorts, qui viennent de province se faire un peu de fric à Paris. Je les reçois pour un mois ou deux, rarement plus, parce qu?Taprès on se lasse.» Plutôt distant, Julien explique qu?Til ne demande pas d?Targent mais «du ***e classique» et «pas de prise de tête, parce qu?T[il a] déjà eu des filles qui [lui] ont mis le bordel». Ses «colocataires» disposent du canapé-lit du salon, tandis qu?Til dort dans sa chambre. Peu de temps après notre visite, il envoie un texto : «Désolé, ça va pas le faire.»
    Didier, au contraire, est «très, très motivé», comme il le répète dans ses nombreux messages. Il nous propose un deux-pièces dans le XVIIIe contre «550 euros, plus deux trois rencontres par mois». Il habite ailleurs avec femme et enfants, mais peut se «débrouiller» pour nous rejoindre les week-ends. Malheureusement, l?Tappartement n?Test «pas encore» visitable. «J?Tattends le départ des locataires», nous explique-t-il lorsque nous le rencontrons à la terrasse d?Tun café. En attendant, il propose de «commencer» déjà le ***e. «Pour voir si on se plaît».
    Sur Missive, plusieurs messages d?Tinternautes mettent en garde contre ces «tests» préalables. «?a m?Test arrivé trois fois, raconte Lætitia, 26 ans. Les types te font visiter, te demandent de coucher immédiatement. Et ensuite, plus de nouvelles. Parfois, c?Test même pas leur appart qu?Tils t?Tont montré. Ils ont pris les clés d?Tun copain.» Il y a six mois, Lætitia a décidé de passer sa propre annonce «pour avoir le choix». Elle a depuis reçu quelques propositions «intéressantes». «Mais quoi qu?Til arrive, prévient-elle, il faut rester méfiante.»
    Pierre Allain, le webmaster de Missive, reprend le même appel à la «prudence», sans pour autant censurer «ce qui relève d?Tun échange entre adultes consentants». «Il y a là parfois des hommes qui profitent de la détresse de jeunes femmes. Nous mettons en garde nos internautes. Mais nous ne pouvons pas faire une enquête pour chaque annonce.» Missive est hébergé en Suisse, comme la plupart des sites francophones proposant les services de prostituées ou escorts. «La Suisse a une législation plus permissive que la France, reconnaît Pierre Allain. Reste que, même en France, un homme a le droit de proposer un logement contre des services ***uels.»
    «Habileté». «Cela s?Tapparente à de la prostitution, ce qui n?Test pas inter***, nous confirme une source policière. Seul le site Internet qui héberge les annonces peut être poursuivi pour proxénétisme s?Til est en France. Mais ce genre de poursuites aboutit rarement.» Hors Missive, pourtant, la plupart des sites et journaux d?Tannonces concernés expliquent qu?Tils font tout pour «supprimer» ces annonces. «On en voit apparaître dans la rubrique "Colocation", on les transfère immédiatement dans celle des rencontres érotiques», *** Virginie Pons, responsable de la communication chez Vivastreet. «Nous n?Tacceptons pas ces annonces chez nous», affirment quant à eux Benjamin Glaenzer, directeur général de Kijiji France, et Bernard Saulnier, le patron de Paris Paname. Tous deux notent cependant «l?Thabileté» des annonceurs pour déjouer leurs contrôles.
    Stéphanie a 38 ans, elle est «escort occasionnelle». Contactée via le tchat de Missive, elle déconseille formellement le troc «appart contre ***e». «J?Tai une amie qui a fait ça. Elle s?Test retrouvée à la rue du jour au lendemain. Tu deviens dépendante d?Tun type qui risque de t?Ten demander toujours plus, en menaçant de te jeter si tu refuses. Sincèrement, il vaut mieux se prostituer pour payer son loyer : tu restes libre.» Sur le même tchat, puis par téléphone, on discute avec Tina, 35 ans, qui, elle, profite depuis quatre ans d?Tun logement contre «services ***uels» dont elle se *** ravie. «Il ne faut pas choisir un homme jeune, car il ne te gardera pas longtemps, il aura envie de changement, conseille-t-elle. Le mien, il a 62 ans. Je l?Tai rencontré sur les Champs-Elysées. Il vit à Dubaï et vient en France de temps en temps. Sinon, je suis seule dans l?Tappart, 115 mètres carrés dans le XVIe arrondissement.»
    «A la porte». Zara, 23 ans, étudiante, n?Test pas aussi bien tombée. Elle accepte de nous rencontrer dans un café parisien, «pour parler de ces types qui profitent des filles paumées». Il y a trois ans, Zara a passé une annonce dans Paris Paname : «Jeune fille cherche logement contre services.» «Je pensais ménage, repassage, baby-sitting, ***-elle. J?Tai eu des dizaines de réponses. Que des hommes. Qui voulaient tous du cul.» Originaire du sud de la France, Zara ne veut pas détailler les raisons qui l?Tont poussée à quitter sa famille. «Je n?Tavais pas le choix.» Elle a fini par accepter une colocation avec un homme, puis une autre. «Deux fois, je me suis retrouvée à la porte, sans nulle part où aller, parce que je ne voulais pas faire ce qu?Tils me demandaient. Ces mecs-là ont besoin de sentir qu?Tils exercent un pouvoir sur toi. Ils t?Ten veulent de savoir que si tu n?Tétais pas dans la merde, tu ne les aurais jamais regardés.»
    Aujourd?Thui, Zara a un travail, un appartement. Heureuse et soulagée que ces mois de «galère» soient derrière. «Tandis qu?Teux, ajoute-t-elle quand même amère, dans dix ans, ils en seront toujours au même point. A passer et repasser leur annonce pour trouver des filles.»
    (1) Les prénoms ont été changés.
    http://www.liberation.fr/transversales/grandsangles/308288.FR.php
    © Libération
  3. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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    Hix, tình hình kinh tế xã hội ảm đạm quá trời.
    A Marseille, 11e jour de grève des salariés de Carrefour payés 950 euros ou moins
    Par Par Isabelle WESSELINGH
    AFP - lundi 12 février 2008, 19h10
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080211/tfr-social-distribution-salaires-prev-b7b6525_1.html
    MARSEILLE (AFP) - Rideau de fer baissé: le plus grand hypermarché Carrefour de Marseille est resté fermé lundi, au 11e jour de grève de ses caissières, employés de rayon et manutentionnaires qui réclament un geste salarial pour améliorer leurs "950 euros ou moins mensuels".
    "On ne demande pas la lune: on veut au moins une chose, que le ticket restaurant qu''on nous donne pour déjeuner passe de 3,05 à 4,50 euros. C''est abordable, non ?", explique Smaïl Aït Atmane, délégué CFDT, syndicat majoritaire dans l''hypermarché Grand Littoral, qui a fermé durant neuf des 11 jours de grève.
    "Avec trois euros, on n''a pas assez pour s''acheter un sandwich à la pause. Ca m''étonnerait que mon directeur mange pour trois euros à midi", renchérit Sabine, 31 ans, caissière depuis dix ans qui émarge à 840 euros net par mois pour 30 heures de travail.
    Lassés de devoir batailler chaque mois avec un "salaire de misère qui fait que dès le 10 du mois, on n''a plus rien", selon une caissière, plus d''une centaine de salariés (sur les 571) de cet hypermarché ont poursuivi leur grève après la journée d''action nationale dans la grande distribution du 1er février. Ils sont les seuls en France.
    Lundi, ils bloquaient avec des chariots vides les entrées au parking de Grand Littoral, un centre commercial qui regroupe magasins et restaurants, en plus de Carrefour, au nord de Marseille.
    "Onze jours de grève, c''est dur avec nos salaires mais on est déterminés. On va tenir bon parce qu''on en a assez d''être traités comme des moins que rien", relève Sourigna Manomay, 24 ans, employé au rayon légumes.
    Après avoir réclamé une prime exceptionnelle, les salariés sont prêts à y renoncer à con***ion d''obtenir gain de cause sur les tickets restaurants et d''autres points de revalorisation.
    La responsable communication de l''hypermarché, Sylvie Cottin, a indiqué que les "tickets restaurants ne sont de toute façon pas une obligation chez Carrefour" ajoutant que "ce genre de revendication n''a jamais eu gain de cause".
    "Nous proposons de revaloriser certains contrats en faisant passer des gens de 30 à 33 heures et une subvention de 35.000 euros au comité d''entreprise", a-t-elle précisé, propositions qualifiées de "poudre de perlimpinpin" par l''intersyndicale.
    La direction a demandé lundi une nouvelle médiation à la direction du travail.
    La revalorisation des tickets restaurants coûterait environ 198.000 euros annuels quand cet hypermarché Carrefour réalise un chiffre d''affaires d''environ 150 millions d''euros par an, selon un responsable de Grand Littoral.
    L''ensemble du centre commercial Grand Littoral subit se son côté une baisse de fréquentation, selon son directeur Alain Pinatel.
    Les clients présents disent "comprendre les grévistes". "Je suis solidaire. Ma fille gagne 1.000 euros par mois, je sais combien c''est difficile de s''en sortir", commente Christian Aperçé, venu faire ses courses à pied.
  4. kuroaki

    kuroaki Thành viên mới

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    14/02/2008
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    Belfort: agressé par trois camarades, un collégien est écrasé par un camion
    http://fr.news.yahoo.com/ap/20080206/tfr-belfort-college-agression-56633fe_1.html
    AP - Mercredi 6 février, 18h54
    BELFORT - Trois collégiens de 12 et 13 ans ont été interpellés mercredi à Belfort (Territoire de Belfort) après avoir agressé la veille un camarade de 12 ans qui, tombé à terre, s''est fait écraser par un camion, a-t-on appris de sources policières. La victime se trouve entre la vie et la mort au CHU de Besançon (Doubs).
    Mardi vers 17h, le jeune garçon venait d''être agressé à la sortie des cours par trois camarades de 12 et 13 ans lorsque, sous les coups, il est tombé à terre au niveau d''une station-service proche du collège Vauban de Belfort où tous sont scolarisés. Il a alors été écrasé par un poids-lourd qui manoeuvrait.
    Le jeune élève, dont le pronostic vital était toujours engagé mercredi, a eu la cage thoracique enfoncée par les roues du camion. Les agresseurs ont été arrêtés mercredi chez leurs parents et placés en garde à vue au commissariat de Belfort. Les raisons invoquées par le trio sont de "l''ordre de l''enfantillage", selon les termes des enquêteurs. AP
  5. matthias

    matthias Thành viên mới

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    22/07/2006
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    Harcèlement moral: deux cadres de Carrefour jugés en Haute Savoie
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080214/tfr-distribution-justice-harcelement-soc-b7b6525_1.html
    Par Par Mie KOHIYAMA AFP - jeudi 14 février 2008, 12h05
    ANNECY (AFP) - Deux cadres d''un hypermarché Carrefour à Sallanches (Haute-Savoie), soupçonnés de s''en être pris pendant près d''un an à un salarié du magasin, comparaissent jeudi pour harcèlement moral devant le tribunal correctionnel de Bonneville.
    Ces deux cadres sont poursuivis pour avoir harcelé un chef de rayon, Stéphane Tagliavacca, 40 ans, dont la plainte déposée contre eux en juillet 2002 est à l''origine de l''enquête et du procès.
    M. Tagliavacca reproche à son supérieur, Christian Rivat, un chef de secteur de 47 ans, de lui avoir adressé des critiques incessantes, espionné, suivi partout y compris "jusqu''à la porte des toilettes", supprimé des congés et appelé régulièrement chez lui pour lui demander de rendre des comptes.
    Le directeur de l''hypermarché, Victor Massacrier, 46 ans, par la suite licencié en 2003, relayait ensuite les reproches de son chef de secteur en convoquant M. Tagliavacca parfois "une à deux fois par semaine", selon le plaignant.
    M. Tagliavacca a pu fournir à la justice plusieurs attestations de salariés du magasin témoignant des critiques et des pressions dont il a fait l''objet.
    "Trop souvent des plaintes pour harcèlement sont classées sans suite car les dossiers manquent de preuves matérielles. Lorsque les salariés sont amenés à demander des témoignages à des collègues, 95% d''entre eux refusent", a expliqué à l''AFP le président de l''association Harcèlement moral stop, Loïc Scoarnec.
    Les intéressés nient les faits, M. Rivat attribuant la "tension nerveuse régnant au sein du magasin aux exigences accrues du directeur M. Massacrier, ainsi qu''à la nature des relations professionnelles dans la grande distribution", selon l''ordonnance de renvoi.
    M. Tagliavacca, tombé dans un état anxieux et dépressif, à la suite de cette situation professionnelle, a été pendant 14 mois en arrêt de travail que la sécurité sociale a reconnu comme un "accident du travail provoqué par un harcèlement moral ayant entraîné des troubles psychologiques", selon l''intéressé.
    M. Rivat, qui est toujours employé dans le même hypermarché, doit également répondre de harcèlement moral à l''encontre d''une autre cadre du magasin, Danielle Morand, lors de ce même procès.
    Le harcèlement moral est passible d''un an d''emprisonnement.
    Toujours salarié du même magasin, M. Tagliavacca est devenu délégué syndical pour se "protéger".
    Interrogée par l''AFP, la direction de Carrefour avait jugé "anciens les faits évoqués, qui remontent à juillet 2002, époque où le magasin de Sallanches faisait partie d''un groupement de magasins franchisés (NDRL, la SA Hyparlo) et ne dépendait donc pas directement du siège de la société".
    "Une procédure judiciaire est actuellement en cours concernant deux personnes physiques (...) et à ce stade nous ne pouvons faire aucun commentaire à leur place, n''étant pas partie prenante dans ce dossier", avait ajouté la direction, précisant qu''elle condamnait avec la plus grande fermeté ce type de pratiques.
  6. lahm

    lahm Thành viên mới

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    28/11/2005
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    Suicide d''un salarié de France Télécom sur son lieu de travail à Amboise
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080220/tfr-telecoms-suicide-social-b7b6525_1.html
    AFP - Mercredi 20 février, 21h41
    TOURS (AFP) - Un salarié du central téléphonique d''Amboise (Indre-et-Loire) s''est suicidé mardi sur son lieu de travail, a-t-on appris mercredi de source syndicale.
    Âgé de 52 ans, ce technicien d''intervention à France Télécom, s''est pendu dans un bureau du central téléphonique, selon la même source.
    "Ce n''est jamais anodin, un suicide sur le lieu de son travail. On ne peut pas dire que les con***ions de travail dans l''entreprise ne poussent pas les salariés à des situations extrêmes", a indiqué Pascal Jouvin, secrétaire département Sud PTT, interrogé par l''AFP.
    Selon le syndicaliste, "il y a une vraie souffrance de la part des salariés. Les médecins du travail ont tiré le signal d''alarme à plusieurs reprises".
    Une cellule psychologique a été installée et un comité d''hygiène et de sécurité et des con***ions de travail est prévu jeudi, selon le syndicaliste.
    La direction n''avait pu être jointe mercredi soir par l''AFP.
  7. kuroaki

    kuroaki Thành viên mới

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    14/02/2008
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    Un député-maire UMP de Seine Saint-Denis touche les allocations chômage
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080219/tpl-assemblee-ump-chomage-assedic-ee974b3_1.html
    AFP - Mardi 19 février, 20h36
    PARIS (AFP) - Le député-maire UMP d''Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Gérard Gaudron, a reconnu toucher des allocations chômage d''environ 1.500 euros par mois depuis août 2005, confirmant des informations du Canard enchaîné à paraître mercredi.
    M. Gaudron a confirmé auprès de l''AFP l''exactitude de cette information et annoncé qu''il allait "rembourser" les indemnités perçues depuis son élection à l''Assemblée nationale en juin 2007.
    Ce député est indemnisé par les Assedic après avoir accompli l''ensemble de sa carrière chez Géotherma, société spécialisée dans l''installation de chauffages à énergies renouvelables, géothermie, aérothermie, solaire et biomasse.
    Le porte-parole de l''UMP qualifié sur Europe 1 cette affaire de "choquante".
    "Ca me semble choquant que quelqu''un qui est parlementaire et qui, par nature, a des indemnités, ne mette pas fin à ce qu''il perçoit de façon indue", a déclaré ce porte-parole.
    "Je crois, a-t-il souligné, qu''il y a là une affaire à tirer au clair et que ça donne une assez mauvaise image des parlementaires".
    Depuis qu''il est député de la 10ème circonscription de Seine-Saint-Denis, M. Gaudron, 57 ans, cumule chaque mois ses indemnités de maire et de parlementaire et ses allocations chômage, soit au total "environ 12.500 euros brut", selon le calcul du Canard enchaîné.
    Cet hebdomadaire a précisé que le député s''est vu supprimer entre août et octobre 2007 ses allocations chômage pour non présentation à une convocation des Assedic, avant de les percevoir de nouveau.
    "J''ai fait les démarches utiles, me semble-t-il, pour mettre un terme à cette situation", a précisé M. Gaudron à l''AFP, en indiquant avoir écrit deux fois aux services concernés pour les informer de sa nouvelle situation de parlementaire (12 septembre 2007) et pour proposer de rembourser le trop-perçu (26 novembre 2007).
    "J''ai malgré tout continué à toucher mes allocations chômage", a-t-il ajouté en indiquant les avoir encore perçues ce mois-ci.
    "Je ne suis ni un voyou ni quelqu''un qui profite du système. Je suis honnête. J''ai demandé de rembourser, je vais le faire", a encore déclaré M. Gaudron, qui a précisé avoir contacté ce mardi les Assedic en ce sens.
    Avec d''autres députés UMP, l''élu a co-signé en novembre 2007 une proposition de résolution tendant à créer une commission d''enquêtes sur les fraudes aux prestations et aux prélèvements sociaux.
  8. taminh

    taminh Thành viên rất tích cực

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    khiếp nhệ
  9. zenpatriot

    zenpatriot Thành viên mới

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    Tối nay em di bus từ Mannheim Đức qua Paris rồi, em định ở Paris 2 ngày cuối tuần ( 23, 24/2). Có 1 vấn đề là đây là quyết định rất gấp của em, đi 1 mình và hứng lên đi ( em vừa mua vé bus hôm qua xong). Em google dc 1 đống khách sạn nhưng không biết nên trọ chỗ nào. Em đi có 1 mình, lại là con gái nên vấn đề an toàn là quan trọng nhất.
    1- Em nên tránh thuê khách sạn ở khu nào ?
    2-Ban đêm đến mấy h thì gọi là an toàn nếu đi lại 1 mình? ( em soj mai ngam may cai bao tang quen mat gio ve)
    3- em chi co 2 ngay thoi, nhung dia diem nao dang de di ( hix hix...em rat thich Disneyland nhung chac di dc thi het ca ngay mat).
    Cam on moi nguoi a!
  10. PKaN

    PKaN Thành viên mới

    Tham gia ngày:
    15/11/2006
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    1. Để an toàn thì nên tránh những quận 10 - 17 - 18 -19 -20 (đấy là em cũng chỉ nghe tiếng xấu về các quận này thôi chứ chưa bao giờ trực tiếp gặp vấn đề gì rắc rối cả). Tóm lại nếu nhìn trên bản đồ thì nên chọn ở khu vực phía bên dưới sông Seine (không phải dưới lòng sông đâu ạ, phía dưới nếu nhìn trên bản đồ ). Tuy nhiên giá cả ở những khu vực đấy thường cũng đắt hơn.
    Đây là bản đồ sơ luợc các quận ở Paris:
    [​IMG]
    Ngoài ra nếu cẩn thận thì buổi tối nên tránh những khu vực Gare du Nord, Gare de l''Est, Châtelet (đi tàu xe thì không sao nhưng đi ngoài đường thì không nên). Việc đầu tiên bác nên làm là đến một ga metro bất kì hỏi một cái sơ đồ Paris (Plan de Paris, Map of Paris) để làm quen với hệ thống tàu xe
    2. Buổi tối những ngày cuối tuần thì đường phố Paris tương đối đông đúc, đa phần là khách du lịch. Các bảo tàng, cửa hiệu thường đóng cửa lúc 5-6 giờ chiều nên yên tâm là bác sẽ không mải miết thăm thú đến mức quên giờ về đâu. Nếu bác lần đầu đến Paris thì đi buổi tối cũng đẹp, mấy địa điểm nhữ Champs Elysée, tháp Eiffeil, Quartier latin nói chung là không có gì nguy hiểm. Chỉ chú ý đi về trước 2h sáng nếu không sẽ hết chuyến metro thôi.
    3. Nhưng địa điểm đáng để đi thì chắc ai cũng từng nghe qua rồi, nếu bác lần đầu đến thì đi mấy chỗ em vừa kể ở trên, ngoài ra có Notre-Dame de Paris, Monmartre, khu vực Opéra, Concorde, hoặc đi thơ thẩn dọc sông Seine cũng đủ hết cả ngày . Nếu bác đi "tốc hành" chỉ trong 1 ngày đã "hết sạch" cả Paris thì đến ngày thứ hai có thể đi xuống lâu đài Versailles hoặc thậm chí Disneyland nếu bác muốn. Nhưng đúng là nếu muốn đi những chỗ này thì thời gian phải cực kì xông xênh (chưa kể vé vào cửa cũng tương đối chát )
    Chúc bác du lịch cuối tuần vui vẻ (Trả lời giờ này không biết có hơi muộn không )

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