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Douce et belle France - Nước Pháp tươi đẹp, thanh bình (blague) - Découvrons cette autre France que

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi heiner, 12/05/2006.

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  1. simba_vn

    simba_vn Thành viên quen thuộc

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    L''homme qui ne voulait pas "être" président
    LE MONDE | 25.02.08 | 10h52 ? Mis à jour le 25.02.08 | 10h53
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/02/25/l-homme-qui-ne-voulait-pas-etre-president_1015206_823448.html#ens_id=991293
    C''était un candidat qui jurait qu''il ne serait jamais un président qui "marche sur les eaux". Qu''il ne se retirerait pas à Versailles "pour réparer des serrures". Qu''il ne regarderait pas "la poussière tomber sur les dossiers" dans son bureau de l''Elysée. Voulant abandonner les ors du pouvoir, il se prive des symboles qui, comme un airbag, le protègent, lui et la fonction. Aujourd''hui c''est un président à qui un quidam au salon de l''agriculture peut dire, lors de l''inauguration du Salon de l''agriculture, "Touche-moi pas, tu me salis", pour s''entendre répondre par le chef de l''Etat : "Alors, casse-toi pauvre con."
    Quand il prend ses fonctions à l''Elysée, le 16 mai 2007, Nicolas Sarkozy veut rompre avec le style de ses prédécesseurs, qu''il juge suranné. "J''ai beaucoup réfléchi, confie-t-il quand on lui demande quel chef de l''Etat il sera. Je ne suis pas un benêt." Curieusement, il ne *** pas "être président" mais "faire président", comme si cette fonction était d''abord et avant tout un métier entre tous les autres qui s''offraient à lui : "Je peux faire avocat, je peux gagner de l''argent, avait-il confié un jour. Mais d''abord je fais président."
    Obnubilé par le sort de François Mitterrand et de Jacques Chirac, qui se sont selon lui "momifiés" dans la fonction, il hésite à leur succéder dans le bureau présidentiel du premier étage de l''Elysée, et envisage un instant de s''installer au rez-de-chaussée. Cette obsession le conduit à organiser l''Elysée comme une entreprise : mise en concurrence des conseillers, réunion quotidienne de direction chaque matin à 8 h 30.
    Tout doit partir du président et remonter vers lui, quitte à court-circuiter le gouvernement, le premier ministre et le Parlement. Des usages, il ne garde que le meilleur : les week-ends à Brégançon et au Pavillon de la Lanterne que François Fillon a dû lui céder.
    "ATTENDS, ATTENDS"
    Quand il reçoit, il emmène ses visiteurs, syndicalistes ou chefs d''Etat, déjeuner au restaurant. Lors de ses visites en province, il continue de haranguer les ouvriers dans les usines, juché sur une petite estrade. Si on l''interrompt, il lève la main et lance "Attends, attends? je te répondrai plus tard." A ceux de ses conseillers qui lui recommandent de se "présidentialiser", il répond "transparence". Un divorce médiatisé ? "Transparence". Un remariage ? "Transparence". Les "unes" de la presse people ? "Transparence". Il traite d''"imbécile" son porte-parole? "Transparence". Son pari : que les Français finissent par reconnaître, dans ce mélange iné*** de volontarisme et d''exposition de sa vie privée, le comble du naturel.
    Mais tout lui revient en boomerang. De sa conférence de presse lors du G8 d''Heiligendamm à l''issue d''une rencontre avec Vladimir Poutine, on ne retient que son ton haché et un fou rire étouffé que certains interprètent comme la manifestation de son ivresse. De son passage au Guilvinec pour rencontrer les marins-pêcheurs en colère, on ne retiendra que les insultes échangées de part et d''autre.
    Les sites de vidéos en ligne font leurs choux gras des dérapages présidentiels. Un million de visiteurs pour Le Parisien.fr et l''altercation au Salon de l''agriculture. Plusieurs millions pour Heiligendamm et Le Guilvinec. Ce jour-là, en remontant dans son avion, il avait confié à l''un de ses accompagnateurs, sidéré par l''accueil des pêcheurs et la vivacité du président : "Je suis prêt à prendre le risque de l''impopularité." C''est fait.
    Philippe Ridet
  2. heiner

    heiner Thành viên mới

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    Elysée
    A propos d''une interview

    L''ENTRETIEN que le président de la République a accordé lundi matin à l''Elysée à huit de nos lecteurs a été vécu par tous comme un événement. C''est la première fois que Nicolas Sarkozy s''exprimait depuis la chute confirmée de sa cote de popularité. La première fois aussi qu''il évoquait son dérapage de samedi matin au Salon de l''agriculture (« Casse-toi, pauvre con ! »). Une interview-événement mais aussi, dans l''incroyable climat électrique qui prévaut en France à dix jours du premier tour des municipales, une interview-polémique.
    En cause, la « petite phrase » que l''Elysée, au moment de la relecture du texte, a rajoutée in extremis, tard lundi soir : « Au Salon, j''aurais mieux fait de ne pas lui répondre. » Or le matin même, questionné par l''une de nos lectrices, le chef de l''Etat, tout en s''expliquant longuement, n''avait pas paru adopter ce registre du regret. Fiévreux (à cause d''une mauvaise grippe, qui avait poussé ses proches à lui conseiller de reporter son rendez-vous avec « le Parisien » et « Aujourd''hui en France »), visiblement embarrassé par l''épisode, Sarkozy suggère ce matin-là que, quand on le cherche, on le trouve et que si on ne veut vraiment pas lui serrer la main, le mieux est de ne pas se trouver sur son chemin.
    Cartes sur table
    « Ce n''est pas parce qu''on est président qu''on devient, d''un coup, de la guimauve, quelqu''un sur qui on peut s''essuyer les pieds », confie-t-il à cet instant à nos lecteurs. Et d''ajouter : « Je m''appelle Sarkozy. Même dans la cour de l''école, il n''y en a pas beaucoup qui peuvent dire que j''ai baissé les yeux quand j''étais dans mon bon droit... » En même temps, on sent, au détour d''une autre phrase, qu''existe chez lui un vague désir d''admettre qu''il est allé trop loin : « Je n''aurais pas dû lui dire Casse-toi si tu veux. J''aurais dû faire, comme je le fais toujours, Pfffff... » Et d''accompagner le tout d''un geste de la main.
    Conformément à ce que nous faisons chaque fois avec les invités politiques du « Face aux lecteurs », Nicolas Sarkozy a eu droit à une relecture du texte avant sa parution compte tenu de l''ampleur des coupes après deux heures d''entretien et de la nécessité de remettre en forme a minima le langage parlé. Mais surprise, lundi soir : lorsque le texte relu et amendé nous parvient, une phrase inattendue y figure. Une phrase qui n''a pas été prononcée le matin : « J''aurais mieux fait de ne pas lui répondre. » Problème : nos lecteurs vont être surpris de retrouver une formule qu''ils n''ont pas entendue telle quelle dans la bouche du chef de l''Etat. Mais récuser cette phrase, qui témoigne d''une évolution en quelques heures de la posture présidentielle, aurait été priver tout le monde d''un éclairage tardif, mais capital. Bref, nous avons, comme d''habitude, privilégié l''info, mais en jouant cartes sur table.

    Dominique de Montvalon et Henri Vernet
    Le Parisien , mercredi 27 février 2008
    http://www.leparisien.fr/home/info/politique/articles.htm?articleid=296088434
  3. johanl

    johanl Thành viên mới

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    ôi đệ nhất phu nhân với cả đệ bét phu nhân (ảnh chụp trong tạp chí Vogue số tháng 8/2007) và được báo chí châu Âu đăng tải hàng loạt sau khi Carla Bruni trở thành Carla Bruni-Sarkozy
    [​IMG]
  4. simba_vn

    simba_vn Thành viên quen thuộc

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    chính ra số liệu công bố với thống kê bên này tưởng hoành tráng nhưng mà cũng rất là bidon nhá nhất là những vụ như chômage hay indice de prix í
    vrai-faux
    [Enseignement de la Shoah : le ministère perd ses chiffres
    Véronique Soulé
    QUOTIDIEN : mercredi 27 février 2008
    «Selon un sondage, un lycéen sur deux ne sait pas ce qu?Test la Shoah», a asséné Xavier Darcos jeudi dernier sur RTL. Le ministre de l?TEducation, venant à la rescousse de Nicolas Sarkozy après ses propos sur l?Tenseignement de la Shoah en CM2, a suscité la stupéfaction. En primaire, «L?Textermination des Juifs et des Tsiganes par les nazis» est au programme depuis 2002. La Deuxième Guerre mondiale et son cortège d?Thorreurs sont ensuite étudiés au moins deux fois : en troisième puis en première. «Alors que nous nous sommes tant battus pour que l?Ton en parle, nous nous sommes sentis remis en cause», explique Hubert Tisson, de l?TAssociation des professeurs d?Thistoire et de géographie (APHG), qui a demandé d?Toù venaient ces chiffres : «Il ne s?Tagit pas d?Tun sondage, a admis l?Tentourage de Darcos, mais de remontées de terrain des recteurs. Le ministre les a interrogés après un sondage de 2000 indiquant que plus de 50 % des jeunes de 16 à 24 ans s?Testimaient insuffisamment informés.» Pour l?TAPHG, c?Test une«dérive dans la communication».
    http://www.liberation.fr/actualite/societe/312390.FR.php
    © Libération
  5. johanl

    johanl Thành viên mới

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    xem thời sự mà cứ tưởng đang ở VN
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  6. 0707007

    0707007 Thành viên mới

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    É***orial
    Pathologie
    Laurent Joffrin
    QUOTIDIEN : lundi 3 mars 2008
    Quand on juge un chef de l?TEtat, on pose en général la question suivante : est-ce un bon président, ou un mauvais ? Une nouvelle fois, Nicolas Sarkozy innove. A son propos, on se demande désormais : est-ce un président ? Notre sondage est formel. Tel qu?Ton le voit aujourd?Thui, tel qu?Til se comporte en public, tel qu?Til agit au jour le jour, Nicolas Sarkozy ne paraît plus adapté à la fonction qu?Til occupe. Incroyable évolution. Il y a un an, les Français ont écarté Ségolène Royal parce qu?Tils ne la croyaient pas faite pour l?TElysée. Et voici qu?Taujourd?Thui celui qu?Tils ont plébiscité se retrouve frappé de la même condamnation. Cette situation est sans précédent. C?Test en effet l?Thomme, et non telle ou telle de ses décisions ou de ses ambitions, qui est en cause. Or l?Thomme est là pour quatre ans, quoi qu?Til fasse ou presque. A ce stade, on ne voit que deux évolutions possibles. Les Français, comme souvent, peuvent encore changer d?Tavis. Corrigeant son style, modifiant sa pratique du pouvoir, obtenant des résultats tangibles, le Président peut redevenir? présidentiable. Auquel cas nous aurons vécu un épisode incongru, inquiétant à beaucoup d?Tégards, mais fugitif. Mais si sa nature, du moins celle que perçoivent les électeurs et les observateurs, garde le dessus, s?Til pense pouvoir surmonter l?Tobstacle par les mêmes moyens qui l?Tont mené à l?TElysée, la défiance a toutes les chances de s?Taccroître. Alors la légitimité spontanée qui s?Tattache au président élu par les Français s?Tétiolera. Cette pathologie politique porte un nom : la crise de régime.
  7. niklas

    niklas Thành viên mới

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    Analyse
    Sarkozy en perte de contrôle
    Nathalie Raulin
    QUOTIDIEN : lundi 3 mars 2008
    L?Timage de Nicolas Sarkozy se dégrade. 74% des Français estiment qu?Til «ne se contrôle pas assez», selon notre sondage LH2.
    Nicolas Sarkozy a commis l?Timpardonnable : propulsé à l?TElysée, il est resté lui-même. Impérieux certes. Mais impulsif et tapageur. Fascinés un temps par la folle énergie du candidat UMP, les Français redoutent aujourd?Thui l?Terreur de casting. Pour eux, Sarkozy, c?Test trop de luxe (de yacht, de jet, de cadeaux égyptiens), trop de beautés (de Cécilia, de Carlita) et pas assez de calme.
    «Trop direct». Selon une enquête LH2 pour Libération, la défiance vis-à-vis du chef de l?TEtat a battu un nouveau record, Nicolas Sarkozy ne recueillant fin février que 37 % d?Topinions positives, soit une dégradation de 4 points par rapport à début février et de 17 points par rapport à début janvier. A contrario, les opinions négatives culminent, elles, à 59 %. Ce discré*** est sensible dans toutes les catégories politiques et sociales - à l?Texception du cercle étroit des sympathisants UMP - et son ampleur est sans précédent.
    Au regard des résultats de l?Tenquête LH2, l?Timpopularité du chef de l?TEtat tient d?Tabord à sa façon d?Têtre : ce que les Français reprochent avant tout à Nicolas Sarkozy, c?Test qu?Til ne fait pas, ou du moins pas assez, Président.
    Les scores sont sans appel. 74 % des personnes interrogées estiment ainsi que le chef de l?TEtat «ne se contrôle pas assez», 66 % lui reprochant d?Têtre «trop direct avec les gens». Le «casse toi, pauv?Tcon» dont Nicolas Sarkozy a gratifié un visiteur du Salon de l?Tagriculture qui refusait de lui serrer la main a ébranlé jusqu?Tà ses partisans : 65 % des sympathisants de l?TUMP regrettent son manque de sang-froid.
    Les craintes que les dirigeants du parti présidentiel exprimaient en coulisses la semaine dernière se trouvent de facto validées : la repartie du Président a bel et bien fait des dégâts jusque dans l?Télectorat de droite. D?Tautant plus qu?Telle a brisé net la contre-offensive lancée quelques jours plus tôt par le gouvernement sur le thème du «trop c?Test trop», qui, s?Tappuyant sur l?Taffaire du SMS, campait Nicolas Sarkozy en victime innocente de l?Tacharnement de médias «charognards», selon l?Texpression de la secrétaire d?TEtat aux Droits de l?Thomme, Rama Yade.
    Exhibitionnisme. Outre l?Tabsence de contrôle, l?Topinion épingle avec la même vigueur l?Texhibitionnisme de Sarkozy : 73 % des personnes interrogées considèrent aujourd?Thui que le président de la République «affiche trop sa vie privée», contre 63 % début janvier. A l?Tévidence, les récents efforts de discrétion du couple présidentiel n?Tont pas permis de redresser la barre : les Français gardent en travers de la gorge les rebondissements de la «love story» élyséenne, entre flirt égyptien coûteux, voyages officiels goujatement expédiés (en Inde), remariage express et apparitions médiatiques répétées de la nouvelle première dame.
    Le directeur des études politiques de l?Tinstitut LH2, François Miquet-Marty, analyse : «Ces deux critiques [sur le calme et sur la vie privé, ndlr] font mouche parce qu?Telles induisent, chacune sur son registre, l?Tidée d?Tune inadéquation entre l?Thomme et sa fonction.» Ainsi, plus de la moitié des Français (55 %) estiment que Nicolas Sarkozy ne «respecte pas suffisamment» la fonction présidentielle. Plus grave, pour 54 % d?Tentre eux, ce ne sont pas les choix ou la stratégie du chef de l?Tétat qui sont en cause, mais bien sa «personnalité».
    Cette disqualification de l?Thomme est d?Tautant plus sévère qu?Telle se nourrit des désillusions populaires. Les Français doutent désormais de l?Tefficacité des politiques engagées sur deux thèmes clés, l?Taugmentation du pouvoir d?Tachat (71 %) et la réduction du chômage (60 %). Seul bon point : la lutte contre l?Tinsécurité, toujours perçue comme efficace (53 %). En clair, les Français aimaient Sarko, mais place Beauvau.
    http://www.liberation.fr/actualite/politiques/313283.FR.php
    © Libération
    Được niklas sửa chữa / chuyển vào 07:37 ngày 04/03/2008
  8. heiner

    heiner Thành viên mới

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    16:08 | 10/03/2008 Le Point.fr
    Polémique - Pékin Express : M6 cernée par les soupçons de tricherie
    http://www.lepoint.fr/actualites-medias/pekin-express-m6-cernee-par-les-soupcons-de-tricherie/1253/0/228146
    Emmanuel Berretta
    Une semaine après les révélations du Canard enchaîné , les soupçons de tricherie sur la course Pékin Express pèsent de plus en plus lourd. Alors que les candidats sont censés traverser l''Amérique Latine avec seulement un euro en poche par jour, Philippe Bartherotte, l''un des journalistes de l''émission, accuse la production d''aider tel ou tel candidat en payant, à l''occasion, des voitures, facilitant ainsi les victoires d''étape ou évitant les éliminations.
    Bartherotte s''accuse lui-même de tricherie !
    L''affaire a connu un nouveau rebondissement samedi, sur France 5, dans l''émission Revu et Corrigé de Paul Amar : le journaliste Philippe Bartherotte, à l''origine des fuites dans le Canard enchaîné , confesse avoir payé lui-même une voiture aux candidates Aurélie et Pauline lors de la sixième étape en Bolivie. Une étape que les deux soeurs ont terminée à la deuxième place.
    La révélation a assommé les deux candidates, qui avaient été envoyées par M6 sur le plateau de Paul Amar pour défendre la probité de l''épreuve. Pas déçues du voyage, les deux soeurs à la blonde chevelure... Philippe Bartherotte s''est excusée auprès d''elles.
    Des consignes é***oriales au ton méprisant
    Le Canard enchaîné a également publié des "consignes é***oriales" rédigées par la production du jeu. Ces consignes laissent clairement entendre que le tournage est "orienté" en faveur des uns contre les autres. Ces notes internes sont rédigées chaque jour par Cendrine Gentil, la rédactrice en chef. Ainsi, à propos d''un couple de candidats en passe de remporter l''épreuve, Cendrine Gentil écrit à l''attention des journalistes suiveurs : "Attention à Terence et Olivia ! Ce petit couple aux faux airs angéliques se révèle être des vipères depuis deux étapes, un véritable poison (...) Le plus emmerdant est qu''ils protègent leur image (...) Ils sont puants, fourbes, manipulateurs et menteurs (...) Faites en sorte de ne pas les laisser s''en sortir comme ça !" Et plus loin : "Tout ce qui montre leur état d''esprit d''égoïsme, de faiblesse, de nullité d''esprit, surtout, vous les tournez. (...) Ne coupez pas la caméra par pudeur."
    "''Nous désapprouvons le ton méprisant de cette note interne, explique la direction de la communication de M6. Mais il ne s''agit que de simples indications de tournage. En réalité, les choses ne se passent jamais comme prévu. Ces consignes ne sont qu''une façon d''aider les journalistes." M6 explique que les débordements de Cendrine Gentil sont dues aux difficiles con***ions de tournage de l''épreuve.
    M6 contre-attaque
    M6 a porté plainte pour diffamation à la fois contre Philippe Bartherotte et Christophe Gallot, le chef de projet de l''émission, qui a également quitté celle-ci, écoeuré par les pratiques constatées. Contacté par Le Point jeudi 6 mars, Christophe Gallot n''a pas donné signe de vie depuis. Pendant ce temps, M6 contre-attaque en évoquant le comportement douteux de Philippe Bartherotte : "Il a eu un coup de coeur pour une interprète, laquelle a quitté Pékin Express . Il a souhaité quitter la course à son tour tout en étant payé jusqu''au bout. Nous avons refusé. Et maintenant, il se venge."
    Bartherotte réclame l''intégralité de son salaire
    Interrogé par Le Point , Philippe Bartherotte fait tinter un autre son de cloche : "Ma vie privée ne regarde que moi. J''ai quitté Pékin Express à Uyuni, non pas pour des raisons sentimentales, mais bien parce que je ne voulais pas être mêlé davantage à ce qui risque d''être une escroquerie. Il y a tout de même 100 000 euros à gagner. M6 joue avec la vie des candidats sur des routes dangereuses. C''est moralement inacceptable." Il reconnaît avoir réclamé le paiement de son salaire en intégralité à Philippe Stolz, le producteur exécutif de Pékin Express , après lui avoir expliqué les motifs de son départ. "Je considère que mon employeur s''est mis en faute en ne respectant pas la probité de l''épreuve. Dans ces con***ions, M6 me doit donc l''intégralité de mon salaire." Philippe Bartherotte était payé 200 euros par jour. Il a quitté l''épreuve quinze jours avant la fin.
    Philippe Stolz pouvait-il désavouer Cendrine Gentil dont il partage la vie ? M6 peut-elle désavouer Philippe Stolz alors que Pékin Express est toujours à l''antenne et coûte des millions à produire ?
    Des relations humaines heurtées
    Tout indique que les relations humaines sur le tournage de Pékin Express ont donné lieu à de violents affrontements. Loin de Paris, la vie sentimentale de l''équipe de tournage n''a pas arrangé les choses entre les journalistes et la production.
    Contactée par Le Point , Bibiane Godefroid, directrice des programmes de M6, maintient sa confiance dans ses équipes de production : "À ce jour, je n''ai aucune preuve tangible de tricherie. Les accusations de Philippe Bartherotte sont infondées et relèvent de la vengeance. Certes, la manière dont les consignes é***oriales sont rédigées n''est pas une nécessité. Ces consignes sont aussi une façon d''éviter que les journalistes suiveurs ne soient atteints du syndrôme de Stokholm et ne veuillent aider les candidats qu''ils filment."
  9. philipp_lahm

    philipp_lahm Thành viên mới

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    sao độ này lắm vụ cháy thế nhỉ
    Deux morts dans un incendie à Paris (VIIIème)

    Deux personnes sont décédées lors d''un incendie d''origine indéterminée survenu dans un immeuble, dans la nuit de lundi à mardi, à Paris (VIIIème).
    La 1ère division de police judiciaire (DPJ) a été saisie de l''enquête après que deux corps carbonisés eurent été découverts peu avant 3hOO mardi sur les lieux du sinistre qui était alors circonscrit par les sapeurs-pompiers, a précisé la source.
    Le feu a provoqué d''importants dégâts dans un immeuble d''habitation de la rue Roquépine, a indiqué la source. Trois personnes incommodées par la fumée ont été hospitalisées. L''immeuble a été évacué.
    On ignorait mardi matin les circonstances exactes de cet incendie, le troisième, mortel, en quelques jours à Paris et dans sa proche banlieue.
    Une personne est morte et trois ont été blessées, dont une grièvement, dans un incendie apparemment accidentel dimanche dans un immeuble du XIVe arrondissement de Paris.
    Un autre incendie a fait trois morts, un couple et son nourrisson, samedi au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) et serait d''origine accidentelle selon les premiers éléments de l''enquête policière.

    Le Parisien , mardi 18 mars 2008, 11h21
    http://www.leparisien.fr/home/info/faitsdivers/articles/DEUX-MORTS-DANS-UN-INCENDIE-A-PARIS-VIIIEME_296245802
  10. matthias

    matthias Thành viên mới

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    hix, chả thế mà mấy tuần trước chị Roselyne Bachelot phải ra thông tư về các biện pháp bảo vệ các VĐV (nghiệp dư hay chuyên nghiệp) khỏi bị lạm dụng ********. Theo điều tra (từ tố cáo của hai nữ VĐV điền kinh quốc tế), đây là chuyện xảy ra cực kỳ phổ biến trong giới thể thao Pháp.
    Deux entraîneurs de ping-pong comparaissent pour des viols sur enfants
    Ils sont accusés d''avoir violé plusieurs de leurs élèves, âgés de 11 à 16 ans. Le procès a débuté mardi à huis clos devant la cour d''assises de Paris.
    AFP
    LIBERATION.FR : mardi 18 mars 2008
    Le procès de deux entraîneurs de tennis de table et de deux de leurs amis a débuté mardi à huis clos devant la cour d''assises de Paris. Pascal Favier et Eric Richard, les deux entraîneurs, travaillaient pour un club de ping-pong de Neuilly-sur-Marne, dans le Val-de-Marne. Ils sont accusés d''avoir violé entre 1994 et 1998 plusieurs de leurs élèves, des garçons âgés de 11 à 16 ans, parfois en échange d''argent ou d''une paire de baskets.
    Selon les témoignages des plaignants, on leur bandait parfois les yeux durant les viols et/ou les agressions ***uelles, dont certains étaient commis en réunion par des amis de Favier, également accusés. De nombreuses agressions auraient été commises au domicile de l''entraîneur.
    Après avoir affirmé que ces relations étaient consenties, Pascal Favier reconnaît aujourd''hui une grande partie des faits. Selon ses avocates, Mes Deborah Michel et Daphné Pugliesi, il a pris conscience de sa responsabilité.
    Les jeunes gens, mis en confiance par leur entraîneur, qui disait lui-même avoir ses «chouchous», ont mis de longues années à reconnaître leur statut de victime. Ce n''est qu''en 2000 que l''un d''entre eux a porté plainte, et en 2002 que Pascal Favier a été interrogé pour la première fois par les services de police. A l''ouverture du procès, deux des parties civiles, victimes présumées d''agressions ***uelles et non de viols comme les trois autres, se sont désistées sans donner de raisons.
    Pascal Favier, 48 ans, est poursuivi pour une vingtaine de faits de viol sur mineurs de 15 ans commis «par une personne ayant autorité sur la victime», pour certains en réunion. Eric Richard, 50 ans, est accusé d''une dizaine de viols et agressions ***uelles.
    Si les deux hommes comparaissaient détenus, leurs coaccusés, Daniel Mesmin, 66 ans, poursuivi pour un viol en réunion, et Denis Page, 59 ans, soupçonné de trois viols et de détention d''images pédophiles, comparaissaient libres. Les quatre hommes encourent 20 ans de réclusion criminelle.
    Un cinquième accusé, Jean-Pierre Roffi, devait également comparaître, mais la cour a appris mardi qu''il s''était suicidé début février en Italie. Les plaidoiries devraient s''achever le 28 mars, le verdict est attendu pour le 31 mars.
    http://www.liberation.fr/actualite/societe/316329.FR.php
    © Libération

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