Douce et belle France - Nước Pháp tươi đẹp, thanh bình (blague) - Découvrons cette autre France que

Au moins quatre heures de retard à prévoir pour un TGV Montpellier-Paris
AFP - mardi 24 juin 2008, 22h59
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080624/tfr-transport-rail-2elead-1834ca8.html
MONTPELLIER (AFP) - Un TGV Montpellier-Paris va accuser mardi soir un retard d''au moins quatre heures environ à son arrivée dans la capitale, après que l''ensemble des blocs moteurs d''une de ses rames eut lâché au sud de Nîmes, a-t-on appris auprès de la direction régionale de la SNCF.
Ce TGV était constitué de deux rames. La première a vu deux de ses quatre blocs moteurs casser à Montpellier. La SNCF a pris la décision de coupler cette rame avec une seconde, arrivant plus tard à Montpellier et effectuant le même trajet. Les passagers de la première rame en étaient quitte à ce moment-là pour une heure de retard.
L''ensemble a pris la direction de Paris. Mais à hauteur de Manduel, au sud de Nîmes, au moment de passer en grande vitesse, les deux derniers blocs moteur de la première rame ont eux aussi lâché.
La SNCF a décidé de rapatrier le tout à Nîmes, à petite vitesse. Là, les deux rames devaient être détachées et les passagers de la deuxième rame repartir normalement sur Paris.
En revanche, il est prévu que ceux de la première rame descendent de leur train et attendent l''arrivée d''un TGV Paris-Montpellier qui sera stoppé à Nîmes.
Ces passagers arrivant de la capitale descendront et attendront un train pour Montpellier qui suit à une dizaine de minutes.
Les passagers de la première rame prendront alors leur place et repartiront vers Paris. Pour eux, le retard sera d''au moins quatre heures à l''arrivée, selon la SNCF.
Un des passagers, Dominique, a expliqué qu''après la panne, la plupart des passagers, "tous sans eau et sans climatisation", sont parvenus à descendre sur la voie, côté talus, après avoir déplombé les portes pour les ouvrir. Certains ont même démonté des sièges pour s''installer plus confortablement sur le ballast.
La SNCF a formellement démenti ce témoignage, assurant qu''il était impossible de démonter des sièges sans matériel.
La SNCF a indiqué peu avant 21H00 que la rame allait être remorquée incessamment vers la gare de Nîmes.

Amende de 800 euros requise contre le professeur ayant giflé un élève
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080625/tts-education-violence-proces-lead-c1b2fc3.html​

AVESNES-SUR-HELPE (AFP) - Une amende de 800 euros a été requise mercredi devant le tribunal correctionnel d''Avesnes-sur-Helpe (Nord) à l''encontre d''un professeur de Berlaimont (Nord), jugé pour avoir giflé un élève de 11 ans qui l''avait traité de "connard".
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José Laboureur, 49 ans, professeur de technologie au collège Gilles-de-Chin, comparaît pour "violences aggravées". Il encourt 5 ans d''emprisonnement et 75.000 euros d''amende.
Le 28 janvier en plein cours, il avait jeté à terre les affaires de l''élève de 6e qui refusait de les enlever d''une table, puis avait plaqué le mineur à un mur. Ce dernier avait alors traité de "connard", en le fixant des yeux, le professeur qui l''avait giflé en retour, puis à nouveau plaqué au mur.
"Ce n''est pas une gifle, c''est une scène de violence. Au-delà de ces violences, il y a une volonté d''humiliation", a estimé dans son réquisitoire le procureur de la République d''Avesnes-sur-Helpe Bernard Beffy.
"Berlaimont n''est pas une classe de 40 élèves de terminale à Bobigny qui ont de 17 à 20 ans et mesurent 1,90 m et qui s''en prennent à une jeune professeur qui vient d''obtenir son Capes", a-t-il ajouté
Reprochant au professeur un caractère "impulsif", il a rappelé que le collège "ne présentait pas de problèmes de discipline" et que l''enfant n''était pas un élève difficile.
Le père de l''adolescent, gendarme, avait déposé plainte après l''incident, entraînant le placement en garde à vue du professeur pendant 24 heures.
L''élève, auquel aucune incapacité totale de travail (ITT) n''avait été délivrée après la gifle, avait été exclu trois jours de sa classe de 6e après l''incident. Il a changé d''établissement depuis.
Le jugement devait être mis en délibéré.

Thế này gọi là cạnh tranh lành mạnh đây
CallBack Cabines Publics

Le Callback sera bloqué à partir des Cabines Publiques à compter du 30 avril 2008 selon la Décision de l?TAutorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (l?TARCEP) à la demande de France Télécom.

France Télécom fait savoir que les numéros en question, quand ils sont composés à partir d?Tun publiphone de France Télécom, ne décrochent pas, mais génèrent un rappel automatique de ce publiphone (Callback). Or le rappel automatique n?Test pas un usage légitime d?Tun publiphone.
Par décision 2007-0213 du 16 avril 2007, l?TAutorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (l?TARCEP) a stipulé que le rappel automatique au départ d?Tun publiphone n?Tétait pas un usage légitime d?Tun numéro de téléphone.

Hãi hùng các ông bố Pháp
Une fillette oubliée par son père dans une voiture au soleil, retrouvée morte
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080723/tfr-accident-enfant-deces-enquete-2elead-f56f567.html
AFP - Mercredi 23 juillet, 14h08
CHALON-SUR-SAÔNE (AFP) - Une fillette de 3 ans a été retrouvée morte mardi après-midi à Saint-Marcel (Saône-et-Loire) par son père, qui l''avait oubliée toute la journée dans sa voiture stationnée au soleil, a-t-on appris de source judiciaire.
L''enfant "devait être déposé chez la nourrice. De manière incompréhensible, son père est allé travailler en laissant l''enfant de trois ans dans la voiture (...) qui était stationnée en plein soleil", selon la même source.
"Il l''a oubliée dans la voiture. D''habitude, il rentre chez lui manger à midi, il aurait dû s''en apercevoir mais il n''est pas rentré chez lui. Il est revenu vers la voiture vers 15H30-16H00. Le père ne s''est même pas aperçu que l''enfant était mort à l''arrière du véhicule et il s''en est rendu compte quand il est arrivé chez lui" à Saint-Marcel, a-t-on ajouté.
Agé de 38 ans, le père, qui a deux enfants de bas-âge et travaille chez Areva à Chalon-sur-Saône (usine "Chalon-Saint-Marcel"), s''est ensuite présenté vers 17h45 à la caserne des pompiers de Saint-Marcel "en état de choc" avec la fillette inanimée, qui n''a pu être ramenée à la vie sur place par les secouristes, selon les pompiers. "Psychologiquement très abattu", le père a dû être hospitalisé à Chalon avec son épouse, également sous le choc, a indiqué la préfecture.
Laissé en début de journée par le père en crèche, le deuxième enfant du couple qui réside à proximité de Saint-Marcel, a été pris en charge par les services de santé de l''hôpital de Chalon, selon la même source.
Le 15 juillet, un garçon de deux ans et demi avait été retrouvé inanimé après avoir été laissé environ trois heures heures par son père, âgé de 38 ans, dans la voiture familiale, qui était garée au soleil à Pont-de-Chéruy (Isère). Le père avait été distrait par un accident de la circulation.

Hãi hùng (tập 2)
La fillette frappée par son père à Rome est sortie du coma
http://fr.news.yahoo.com/ap/20080724/twl-italie-france-enfant-violences-0ef7422.html
AP - Jeudi 24 juillet, 14h11
ROME - La petite fille de quatre ans qui avait été frappée samedi soir par son père, un touriste français, contre le socle d''un monument de Rome, est sortie du coma et va mieux, ont annoncé jeudi des responsables de l''hôpital pédiatrique de l''Enfant Jésus où elle avait été admise.
Ils ont précisé dans un communiqué qu''ils avaient suspendu les sédatifs et que l''enfant avait repris connaissance.
Le père, Julien M., un Français de 37 ans, aurait tapé à plusieurs reprises la tête de sa fille, Luna, contre le socle de l''Autel de la Patrie, Piazza Venezia, au coeur de la capitale italienne. Il venait d''être interrogé par un agent de la circulation alors qu''un touriste canadien avait noté qu''il se comportait bizarrement avec sa fille.
"Il tenait mal son enfant. Elle pleurait et criait", a raconté à la RAI Anna Esposito, une femme policier qui s''est approchée du Français pour lui demander ses papiers. L''homme a alors pressé le pas, puis a répondu de façon incompréhensible à la policière qui lui demandait ce qu''il faisait.
Le touriste canadien s''est porté au secours de l''enfant, pendant que la policière tentait de maîtriser le père. "Il était comme une bête furieuse", a-t-elle expliqué. L''homme a été maîtrisé par des passants.
La petite fille a été hospitalisée, souffrant de graves blessures à la tête. Son père a été interpellé et emmené dans une clinique psychiatrique de Rome. AP

vụ nào kiểu này mà cũng truy tố thì chắc giải tán hết forces de l''ordre đi là vừa (nhất là các chú ở BAC)
Remise en liberté d''un policier mis en examen pour viol: appel du parquet
AFP - Dimanche 27 juillet, 13h51
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080727/tfr-enquete-viol-police-4000a2c.html
MARSEILLE (AFP) - Le parquet de Marseille fera appel de la remise en liberté sous contrôle judiciaire d''un policier marseillais mis en examen samedi pour "viol par abus d''autorité" sur une gardée à vue, un acte jugé "inadmissible" dimanche par la ministre de l''Intérieur Michèle Alliot-Marie.
"Nous allons faire appel. Nous considérons que la détention provisoire est opportune et nécessaire pour ces faits d''une gravité particulière", a déclaré à l''AFP le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest.
L''officier de police judiciaire, âgé d''une quarantaine d''années, a été mis en examen pour "viol par abus d''autorité" pour avoir obligé une jeune femme gardée à vue dans une "banale" affaire d''escroquerie à lui pratiquer une fellation, avait indiqué le parquet samedi. L''affaire s''est déroulée récemment, a-t-on précisé de même source.
Affecté à la brigade de répression des atteintes aux biens (Brab) de la Sûreté départementale de Marseille, l''homme a reconnu les faits, selon le parquet et son avocat, joint par l''AFP, Me Gérard Bismuth.
"Il a reconnu. Il a "disjoncté". Il explique qu''il croyait qu''elle était consentante. Il pensait qu''un climat de sympathie s''était instauré entre eux. Il reconnaît une faute déontologique mais il n''a pas utilisé de violence", a déclaré Me Bismuth.
L''avocat a indiqué que le policier avait reconnu avoir "fait des allusions au ***e" à la jeune femme lors de son au***ion tout en évoquant les peines éventuellement encourues pour les délits qu''il lui reprochait.
Selon lui, le policier "qui n''a jamais fait parler de lui", a proposé à la jeune fille de lui pratiquer une fellation dans les toilettes juste après la fin de l''au***ion.
La ministre de l''Intérieur a fermement condamné dimanche dans un communiqué "les actes inadmissibles qu''aurait commis un gardien de la paix de Marseille à l''égard d''une gardée à vue dont il avait la responsabilité".
"Indépendamment des suites judiciaires, toutes les conséquences disciplinaires seront tirées au terme de l''enquête", ajoute le texte, qui précise que la ministre "a d''ores et déjà demandé qu''une mesure de suspension administrative soit prononcée".

Valentin, 11 ans, tué à coups de couteau dans l''Ain
http://libelyon.blogs.liberation.fr/info/2008/07/un-garon-de-11.html

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SOCIETE - La mère du petit Valentin (11 ans), tué lundi à l''arme blanche à Lagnieu (Ain), a démenti, jeudi, certaines des informations diffusées dans le cadre de l''enquête sur le meurtre de son fils. Dans un entretien publié par Le Parisien/Aujourd''hui en France, elle précise qu''elle n''entretient "aucune liaison" avec l''homme chez qui séjournait son fils. Le parquet avec présenté l''homme comme étant "l''ami de la mère". La même source précisait que les parents sont en instance de séparation ce que la mère dément également. "Je suis une femme morte. Définitivement morte. Une partie de moi-même a été enlevée. Je vis dans un cauchemar", ajoute la mère, qui a par ailleurs demandé jeudi soir au meurtrier de se rendre, dans l''émission de France 5 C''est dans l''Air. L''enquête se poursuit pendant ce temps à Lagnieu...
Les gendarmes se démènent toujours après le meurtre, lundi, de Valentin (11 ans) à l''arme blanche. Après les prélèvements et les perquisitions effectués chez les parents mercredi, les enquêteurs ont entendu deux hommes, jeudi, et appris que les traces de sang découvertes à Lagnieu révélaient deux signatures ADN. Celle de Valentin. mais aussi une ''"empreinte génétique inconnue, de type masculin". Elle ne "correspond pas au génotype des parents biologiques", précise le procureur de Bourg-en-Bresse, Jean-Paul Gandolière. Cet ADN se trouvait notamment sur certaines des tâches de sang maculant le survêtement de Valentin. "L''empreinte a été transmise au fichier national" à des fins de comparaison, ajoute ce dernier. Des prélèvements sont effectués sur tous les gens qui ont pu approcher Valentin lundi. Aucun prélèvement systématique auprès de la population n''a encore été décidé.
Deux hommes ont par ailleurs été entendus jeudi. Le premier dans la journée à Pau, suite aux propos incohérents qu''il tenait, un couteau à la main, au sujet du drame. Il s''agirait d''une fausse piste. Un homme d''une vingtaine d''années a ensuite été arrêté, vers 19h30, à Lagnieu même. Les gendarmes ont perquisitionné son appartement et sont repartis avec lui. Il a été entendu jeudi soir comme témoin, puis relâché. Son appartement se trouvait au quatrième étage d''un immeuble qui se situe en lisière de la zone où semblent s''arrêter les traces de sang partant de l''endroit où Valentin a été retrouvé.
Lundi, le garçon avait été tué d?Tune quarantaine de coups d?Tarme blanche, dans une ruelle de Lagnieu, ville située à une cinquantaine de kilomètres de Lyon, aux pieds des montagnes du Bugey. Des taches de sang, partant de la ruelle, traversent une partie de la ville, comme si le meurtrier était reparti à pied, semant ses traces sur plusieurs centaines de mètres. Ici quelques gouttelettes sur le trottoir. Là de petites projections, au bas des vitrines.
Une cinquantaine de gendarmes ont été mobilisés et de nombreux prélèvements ont été effectués. Mais les investigations sérieuses ont commencé un peu tardivement. Au départ, un médecin du Samu avait en effet confondu les plaies avec des morsures de chien, ce qui a retardé l?Tenquête pour homicide. De nombreuses au***ions ont ensuite eu lieu, et deux perquisitions menées, hier après-midi, au domicile des parents et dans la supérette où travaille la mère de l?Tenfant. Valentin séjournait depuis quelques jours à Lagnieu, chez «l?Tami de sa mère», selon l?Texpression du parquet. Les parents, en instance de séparation, vivent toujours ensemble, à Porcieu-Amblagnieu (Isère), à douze kilomètres de Lagnieu. Selon une source judiciaire, ce n?Tétait pas la première fois qu?Tils laissaient leur fils quelques jours chez l?T«ami», qui habite une petite maison en pierres, à une centaine de mètres de la ruelle, théâtre du meurtre.
Vélo. Lundi soir, le garçon est passé vers 23 h 30 devant la maison d?Tun voisin, qui avait organisé un barbecue. Avisant un vélo, il a demandé s?Til pouvait l?Tutiliser et le voisin a *** oui. L?Tenfant est parti avant de revenir regarder la télévision. Puis l?Tami de sa mère est venu le rechercher parce qu?Til se faisait tard mais le voisin a offert un verre, et Valentin serait reparti à vélo, sans qu?Tils s?Ten aperçoivent. Lorsqu?Tils s?Ten sont rendu compte, les adultes sont partis à sa recherche. Et peu avant 0 h 30, l?Tun des deux fils de l?Tami de la mère, âgé d?Tune vingtaine d?Tannées, a trouvé Valentin dans la ruelle pentue plongeant vers le village. Valentin se trouvait sur le bas-côté, dans une mare de sang, au niveau d?Tune petite porte en bois portant une très nette empreinte de main aux doigts trop épais pour un enfant. «Il faut être prudent, relève Jean-Paul Gandolière, procureur de la République à Bourg-en-Bresse. Cela peut aussi bien être la main de l?Tun des médecins qui s?Test penché pour soigner l?Tenfant.»
Une vingtaine de mètres plus bas que le corps, contre le mur opposé, le vélo et les chaussures de Valentin, à côté d?Tune deuxième mare de sang, comme si l?Tenfant était d?Tabord resté allongé là avant de se relever et de rejoindre la porte en bois. Mais entre les deux flaques, pas une goutte de sang, aucune trace. Après les premières constatations du médecin, tout le monde a pensé à un accident de vélo doublé d?Tune attaque par un chien errant et les relevés constatations ont été beaucoup trop légères. Le parquet de Belley (Ain) a ouvert une simple enquête en «recherche des causes de la mort». Ce n?Test que le lendemain, en fin de matinée, qu?Tun médecin légiste a prévenu avant même l?Tautopsie qu?Til s?Tagissait probablement de blessures à l?Tarme blanche et non pas de morsures.
Le parquet de Bourg-en-Bresse a alors récupéré le dossier, et un deuxième légiste a confirmé qu?Til s?Tagissait d?Tun meurtre et le procureur a ouvert une enquête en flagrance pour homicide. Valentin a reçu 44 coups à l?Tarme blanche, essentiellement au cou et sur le côté gauche du thorax. «Trois plaies sont profondes de plus de 10 centimètres», relève une source judiciaire. Il semble que Valentin a tenté de repousser les attaques, les légistes ayant retrouvé une dizaine de «traces de défense» sur ses mains.
Gouttière. Toute l''après-midi de mardi, tentant de rattraper le retard initial, les gendarmes ont fouillé les parcs de la ville à la recherche de l?Tarme. Ils ont aussi procédé au relevé des traces de sang. Celles de la ruelle, et beaucoup d?Tautres dans toute la ville. L''itinéraire des gouttelettes suit une grande rue commerçante, passe devant de nombreux commerces. Sur le tuyau en fonte descendant d?Tune gouttière, l''empreinte sanglante d?Tune main qui semble avoir glissé, assez basse, comme si l?Tauteur avait recherché un appui. Le parquet attend le résultat des analyses aujourd?Thui. Des habitants de Lagnieu ont aussi été entendus.
Lors des deux perquisitions menées hier à Porcieu-Amblagnieu, les enquêteurs ont placé sous scellé les voitures des parents, une 406 Peugeot bleue et une Ford Puma grise, que deux dépanneuses sont venues chercher à leur domicile. Ils ont également emporté un ordinateur. Le «contexte familial ne semblait pas difficile», précise cependant le procureur de Bourg-en-Bresse, qui ajoute qu?T«aucune suspicion particulière» ne pèse sur les parents. Le père était présent lors de la perquisition mais n?Ta pas été ramené ensuite à la gendarmerie. Ces opérations auraient pour but de vérifier «si Valentin n?Tavait pas laissé un document pouvant éclairer les événements». Les investigations se poursuivaient hier soir, sous la direction de la section de recherche de la gendarmerie de Lyon.
OLIVIER BERTRAND

Une fillette de 12 ans séquestrée en Dordogne
AFP
LIBERATION.FR : vendredi 1 août 2008
L''enquête devra déterminer si des agressions ***uelles ou des viols ont été commis. L''agresseur présumé, un homme de 44 ans, sera déféré au parquet dans la journée.
Une fillette de 12 ans a été séquestrée durant plusieurs heures mercredi en fin de journée à Coulouneix-Chamiers (Dordogne) par un homme de 44 ans, qui pourrait lui avoir fait subir des agressions ***uelles.
Appréhendé et placé en garde en vue, l?Thomme, qui sera déféré au parquet vendredi, «ne reconnaît pas les faits», a indiqué le parquet de Périgueux.
Dans son témoignage, la victime a signalé que l?Tagresseur présumé «l?Ta tapée quand elle ne voulait pas faire des choses». L?Tenquête devra déterminer si des agressions ***uelles ou des viols ont été commis. «La famille a signalé la disparition de la fillette vers 21h40, en ne la voyant pas revenir des courses», a raconté le parquet. Elle a été libérée par la police peu après 1 heure jeudi, et l?Tauteur présumé interpellé.
Les premiers éléments de l?Tenquête démontreraient que l?Tagresseur présumé, qui n?Tétait pas connu de la justice pour des faits de cette nature et dont le domicile se trouve dans le quartier de celui de la victime, a convaincu la fillette de monter chez lui, avant de l?Tenfermer.
Celle-ci a finalement pu donner l?Talerte par une fenêtre du domicile, situé au deuxième étage d?Tun bâtiment de cette ville à proximité de Périgueux, provoquant l?Tintervention de la police.
http://www.liberation.fr/actualite/societe/342534.FR.php
© Libération

Loire: une femme suspectée d''infanticide en garde à vue à Saint-Etienne
AP - Vendredi 1 août, 16h29
http://fr.news.yahoo.com/ap/20080801/tfr-justice-loire-infanticide-342d366.html
SAINT-ETIENNE - Une femme de 35 ans suspectée d''avoir brûlé le corps de son nouveau-né à Cherier (Loire) était en garde à vue vendredi dans les locaux de la PJ à Saint-Etienne, a-t-on appris de sources policière et judiciaire.
La jeune femme, qui sera être présentée dans l''après-midi au parquet de Saint-Etienne, a expliqué aux enquêteurs avoir brûlé le corps lundi dernier, immédiatement après avoir accouché de l''enfant qui, selon elle, était mort-né.
Les faits ont été découverts après qu''elle se soit présentée mercredi pour des maux de ventre à l''hôpital de Roanne (Loire), où un médecin s''est aperçu qu''elle avait accouché depuis peu, malgré ses dénégations. Elle a été placée le soir même en garde à vue, ainsi que son mari, premier adjoint au maire de cette petite commune du Roannais. Ce dernier, qui ignorait apparemment même le fait que sa femme était enceinte, semble hors de cause et devrait être remis en liberté.
Les recherches effectuées dans le jardin familial ont permis de retrouver les traces d''un foyer dont il ne reste que des cendres, ne permettant pas de savoir si l''enfant était décédé à la naissance comme l''affirme sa mère. Ce couple constitué d''une employée et d''un artisan, qui a déjà eu ensemble deux fillettes, menait jusqu''alors une vie qualifiée de "banale" par les enquêteurs. AP

thôi chuyển chủ đề sang tình hình kinh tế ảm đạm cho nó dễ thở
De moins en moins de Français partent en vacances
Près d''un Français sur deux ne part pas en vacances durant l''été (42% selon une étude Ifop). La faute principalement à la dégradation du pouvoir d''achat. Ceux qui partent le font majoritairement en France en raison du prix du pétrole.
Liberation.fr (avec source AFP)
LIBERATION.FR : jeudi 31 juillet 2008
Les Français sont moins nombreux à partir en vacances. C?Test ce qu?Taffirme une étude de l?TIfop (Institut français d?Topinion publique) pour L?Thumanité. Réalisée auprès de 1000 personnes, l?Tenquête révèle que 42% des Français ne partent pas en vacances durant les mois de juillet et août. 10% de plus qu?Til y a trois ans.
Il s''agit d''une évolution très «brutale, en quelques années seulement», juge Jérôme Fourquet, directeur adjoint du département opinion et stratégies d?Tentreprise de l?TIFOP.
Les catégories socio-professionnelles les plus touchées sont les ouvriers et les employés. Selon Jérôme Fourquet, c?Test «en grande partie, la question du pouvoir d?Tachat» qui est en cause. «Le fait qu?Tils ne partent pas, c?Test plus par contrainte que par choix», assure t-il.
«L?Toffre touristique destinée aux catégories populaires, comme les campings, risque d?Têtre frappée de plein fouet, poursuit-il. Il sera difficile de compenser les pertes massives de clientèle, notamment chez les ouvriers et les employés».
Les retraités, les cadres et les professions intermédiaires ne sont pas épargnés non plus puisqu?Tils sont respectivement 9%, 8% et 6% de plus à ne pas partir en vacances d?Tété.
Autre point : les Français qui partent le font majoritairement en France . Pétrole cher oblige.
«80% des Français, tra***ionnellement, partent en France», a rappelé ce jeudi Hervé Novelli, secrétaire d?TEtat au Tourisme, au micro de France Info. A l?Theure du bilan de la saison, «on peut s?Tattendre à constater que plus encore de Français seront restés en France» cette année, a t-il poursuivi.
Ils resteront en France soit «pour des raisons qui tiennent à l?Ténergie chère», soit en raison «de modes de comportement où l?Ton redécouvre tel ou tel attrait de notre beau pays», a-t-il commenté.
«On va partir moins longtemps, de manière beaucoup plus fractionnée», une tendance déjà perceptible les années passées.
La saison d?Tété a eu du mal à démarrer en France, avec une stabilité, voire un léger recul de l?Tactivité des hôteliers en juillet, mais les réservations sont en nette hausse pour le mois d?Taoût, selon les données recueillies par les bureaux de l?TAFP. Pour Hervé Novelli, il est prématuré de tirer un bilan de la saison d?Tété qui «n?Test pas achevée», les réservations étant «bonnes pour le mois d?Taoût».
Les Français procèdent à «des arbitrages de dépenses», a expliqué Hervé Novelli. «Ils vont choisir de dépenser pour l?Thébergement et parfois moins pour la restauration et pour les dépenses ***es d?Tagrément», ce qui risque d?T«entraîner des conséquences pour telle ou telle branche».
Une réduction du taux de TVA sur la restauration devrait être discutée pendant la présidence française de l?TUnion européenne, Nicolas Sarkozy ayant affirmé à plusieurs reprises vouloir l?Tobtenir avant fin décembre.
http://www.liberation.fr/actualite/societe/342325.FR.php
© Libération