Je veux parler avec quelqu'un õ?Ăõ?Ăõ?Ăõ?Ă Lib?ârez-vous de vos sentiments

Une bande dessinée originale
En m''offrant un dessin dernièrement du personnage me représentant, un copain m''a fait la promesse de consacrer davantage de son temps libre pour concevoir une bande dessinée sur le personnage en question. Nous travaillerons ensemble sur le contenu car pour en faire une belle histoire, il faut bien connaître l''Histoire, afin de choisir les personnages, les endroits et avoir un scénario cohérent et crédible (il ne faut pas inventer n''importe quoi). Le livret s''intitulera "les aventures du petit Kuroaki". Une belle aventure, j''espère...

Il ne manquerait pas le mot "amoureuses" quelque part dans le titre, non ?

Souvenir, souvenir...
Cet après-midi, je suis passé devant l''école où j''ai suivi mon cours d''allemand il y a quelques temps de cela. Je me rapelle encore très bien la raison pour laquelle j''ai décidé de franchir le pas, alors que j''étais plutôt réticent à faire la connaissance de la langue de Goethe : à l''époque, j''ai toujours conversé avec mon copain allemand en français et cela nous arrangeait tous les deux. Mais un jour, alors c''était vraiment le jour, j''ai essayé de le joindre au téléphone et je suis tombé sur sa boîte vocale. Sa jolie voix, mais ça valait vraiment le coût de la découvrir dans sa langue maternelle, c''était, comment déjà, agréable, douce, sublime, séduisante tout en étant bien fort masculine. Voilà comment j''ai été entièrement conquis.

une belle histoire (ou un début?) et puis, cette nouvelle langue se développe

Pomper-niquer
C''est ce que je pensais être la transcription phonétique de Pumpernickel, ce pain de seigle complet allemand qu''on mange souvent outre-Rhin.

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On raconte, en effet, que le nom du pain vient d''une campagne militaire de Napoléon en terre prussienne. Selon une anecdote, le général Bonaparte, dont le cheval s''appelait Nickel, n''a pas aimé ce pain que ses généraux lui apportèrent, et le jetant par dessus son épaule s''est écrié: "Bon pour Nickel!" qui donna avec l''accent allemand Pumpernickel!
Mais selon d''autres sources, ce pain est déjà cité par l''écrivain allemand Grimmelshausen (1620-1676) dans son livre Simplicius et que la plus vieille boulangerie de Pumpernickel, se trouvant à Soest, la ville natale de Grimmelshausen, date de 1570.

Un dđner-spectacle mâmorable
Il y a dix jours, la maman de mon copain m''a invitâ, avec ses enfants, à un dđner spectacle chez Don Camilo (un cabaret assez connu dans le VIIe arrondissement, là oạ dâbuta la carriăre de bon nombre d''artistes et d''humouristes).
Mon copain, toujours imprâvisible, s''âtant dâcommandâ à la derniăre minute (Đa, c''est vraiment lui), sa maman a dằ appeler sa s"ur pour qu''elle invite en catastrophe son copain, vu que les places avaient dâjà âtâ râservâes (c''est normal, la râservation est obligatoire).
On y allait donc tous les quatre : la maman de mon copain, sa fille, le petit copain de celle-ci et moi.
En regardant le menu, je croyais bien que si je n''avais pas âtâ invitâ, je ne serais jamais allâ dans un endroit pareille. C''est trop chic et donc trop cher. Heureusement que j''âtais bien habillâ car presque tout le monde âtait en costume-cravate.
On a donc commencâ par le repas. Le menu que nous avons choisi âtait à 96 euros par personne (c''est l''âquivalent de mes deux semaines de courses), champagne et vin rouge à volontâ compris.
On nous a offert un kir royal avant de nous servir. J''ai choisi en entrâe le saumon marinâ à l''aneth (c''est super bon), la sole grillâe comme plat principal et une omelette norvâgienne pour le dessert (c''est dâlicieux aussi).
Il parađt qu''on nous a âgalement servi du bon fromage (les autres convives avaient l''air de l''apprâcier) mais, y âtant allergique (psychologiquement parlant), je n''ai même pas regardâ dans mon assiette.
Avant que le spectacle ne commence, j''ai pris un cafâ. C''est bon aussi mais certainement moins bon que le cafâ vietnamien (j''en prends tous les matins).
Pendant le repas, des photographes parcourent la salle pour prendre des photos qui âtaient proposâes 30 minites plus tard au tarif unitaire de 10 euros. Si le photographe n''âtait pas ce jeune beau blond, je n''en aurais sằrement pris aucune. Là, j''ai gardâ la photo avec tous les quatre. C''est cher, j''en conviens, mais c''est le copain de la soeur de mon copain qui m''a offert ce clichâ, donc je ne paie rien.
Parlons maintenant du spectacle. Etaient à l''affiche ce soir là 4 humouristes (Yves Pujol, Bernard Mabille, Jean Roucas et Mathieu), ainsi que la chanteuse Carine Erseng). Même si je n''ai pas tout compris (il y en a avec un dâbit de paroles pas possible), j''ai pu me râgaler avec des passages en rapport avec l''actualitâ politico-sociale : les humouristes ont vraiment excellâ (notamment les trois premiers car j''aimais moins le style de Mathieu). Quant à la chanteuse, je l''ai trouvâ ravissante mais j''aimais moins bien ses chansons. Disons qu''en gânâral je ne suis pas trop fan de la chanson franĐaise.
Pour rentrer, on aurait pu prendre le mâtro (qui est prolongâ d''une heure tous les samedis soir) mais la soeur de mon copain a prâfârâ le taxi qui nous a dâposâs, la maman de mon copain et moi, au pied de l''immeuble. On aura passâ une bonne soirâe !

Le Vélib''
Je ne suis jamais monté sur un Vélib'' (ou le Vélo''V quand j''étais à Lyon). D''une part, les transports publics me paraissent suffisants pour mes déplacements. D''autre part, je n''ai pas envie de payer un supplément par rapport à ma carte Orange (même si, paraît-il, les 30 premières minutes sont gratuites pour les abonnés du Vélib''). D''ailleurs je trouve ça pas vraiment pratique (si on regarde comment sont réparties les pistes cyclables) et, surtout, pas du tout rassurant au niveau de la sécurité, vu l''état du trafic et la circulation dans Paris. Et vous, l''avez-vous essayé, ce vélo en libre-service ? Qu''avez-vous à nous raconter ?

Evacuation du métro
Cet après-midi, en rentrant de la fac, j''ai pris comme d''habitude la ligne 10. Pour pouvoir descendre à Vaugirard (ligne 12), j''ai dû changer à Sèvres-Babylone (alors qu''habituellement je prends la correspondance à la Motte-Picquet-Grenelle pour la ligne 8). En arrivant sur le quai de la ligne 12, on sentait déjà l''odeur des fumées électriques (il devait y avoir un court-circuit quelque part). Le temps de regarder dans le tunnel (couvert d''une légère épaisseur de fumée, me semblait-il), nous avons reçu et par le haut-parleur et par les agents déployés sur les quais l''ordre d''évacuer immédiatement vers les sorties. Il pleuvait abondamment dehors et les agents n''hésitaient pas à nous exhorter de quitter la station car ils allaient la fermer sans tarder.
Une fois dans la rue, j''ai traversé deux fois la rue pour rejoindre l''arrêt de bus. Etant donné la situation, c''était un peu serré dedans mais, vu que mon voisin était un très beau garçon, grand, mignon, et tout et tout, cela ne me dérangeait pas plus que ça. Dommage que le bus ait roulé un peu trop vite...

Un texto vexant
ReĐu le 19.03.08 à 14h10 :
"Bonne fête à ma petite marmotte en cette Journâe Nationale du sommeil! En fait, c''est un bon prâtexte pour offrir à mon anh yêu un bouquet virtuel d''iris germanica Sleepy time et surtout de gros et tendres bisous. Je râpondrai à ton mail ce soir. Kiss again. *_* "
en râfârence à cette photo que nous avions prise ensemble au Parc floral de Paris.

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Un fond d''écran original (photo prise au bureau)

Được squirol sửa chữa / chuyển vào 07:25 ngày 23/03/2008