La découverte du chocolat, boisson des dieux.

La découverte du chocolat, boisson des dieux.

Les Aztốques, les prộcurseurs de la praline.


--------------------------------------------------------------------------------


A l'ộpoque des Aztốques le cacao ộtait une boisson amốre et ộpicộe. La dộcouverte du chocolat, boisson des dieux.
Christophe Colomb dộcouvrit le chocolat au nouveau monde. En effet, les Aztốques consommaient le chocolat bien avant tout le monde sous la forme d'une boisson amốre base de graines de cacao grillộes et d'ộpices. Rien voir avec le chocolat que nous connaissons actuellement, tel point que les conquistadores la trouvaient imbuvable.
Malgrộ tout, chez les Aztốques cette boisson sacrộe ộtait tellement apprộciộe que seuls les gens riches en consommaient. Les graines de cacao ộtaient aussi utilisộes comme monnaie par les indigốnes. Aussi, les conquistadores ne virent initialement dans le cacao qu'un moyen d'ộchange pour obtenir de l'or.


Le chocolat la conquờte du vieux continent.
Grõce l'ajout de sucre de canne, le cacao devint une boisson trốs apprộciộe par la noblesse europộenne. A cette ộpoque, les mộdecins prescrivaient le chocolat pour soigner certaines maladies.
Le secret de fabrication du chocolat fut jalousement gardộ par le milieu aristocratique espagnol. Malgrộ tout, le succốs de cette boisson traversa les frontiốres d'Europe. Chaque pays allait l'apprộcier et l'accommoder suivant son tempộrament et ses affinitộs nationnales.



La praline et le ballotin ou le chocolat belge.
Dốs le dộbut de son histoire en Belgique, le chocolat a eu la vocation de se faire offrir. C'est en 1912 que la confiserie belge inventa la "praline" tel que nous la connaissons aujourd'hui, une bouchộe de chocolat fourrộe qui rộpondait parfaitement cette vocation.
Pour prộserver la dộlicatesse des ces fines pralines, un emballage spộcial fỷt brevetộ sous le nom de "ballotin". Depuis lors, ornộ de ses plus beaux attributs, le ballotin de pralines devint le cadeau idộal offrir en toute circonstance.

" Il faut tendre la main ses amis sans fermer les doigts. "
Diogốne​