?-? La science et les nouvelles technologies au quotidien ?", Echangeons nos expériences ?-"

chào các cậu!
vài ngày gần đây mình hơi bạn.Mình đang ổn định công việc.
Hiện mình đang làm việc bên ngân hàng Kỹ thương Việt Nam, TECHCOMBANK. Sở dĩ mình thích vào đây làm là vì mình đánh giá rất cao việc đầu tư công nghệ của ngân hàng.
Hiện mình đang phụ trách mảng Thẻ thanh toán. Các bạn có vấn đề gì thì liên hệ với mình nhé, mình sẵn sàng giúp đỡ nếu có thể.
Chúng ta sẽ cùng trao đổi về công nghệ mới, trong đó có mảng Thẻ thanh toán, đây là phần mình rất thích và nó cũng liên quan trực tiếp đến công việc của mình.
có gì chúng ta sẽ trao đổi thêm qua e-mail nữa các bạn nhé.
ngstung1406@yahoo.com

Tiếp tục bàn luận về iPhone nhé
Les plus, les moins
Par Christophe ALIX
LIBERATION.FR : samedi 30 juin 2007
Personne ne l''a vraiment testé, mais de la part de ceux qui l''ont eu en mains, les superlatifs pleuvent : «révolutionnaire», «simple, élégant», ou encore «smartphone le plus abouti». Ces épithètes flatteuses concernent le design, l''écran et la navigation. Pour le reste, certains pointent des lacunes. L''iPhone ne sait pas accrocher pour l''instant les réseaux mobiles haut débit. Il ne parle que l''Edge (de l''ordre de 300 kbps), mais pas la 3G et encore moins le HSDPA (la version boostée de la 3G). Autre faiblesse, sa capacité mémoire. Contrairement aux mobiles qui revendiquent la fonction de baladeur, il n''est pas possible d''insérer dans l''iPhone la moindre carte mémoire, indispensable pour jongler avec son petit stock personnel de sons ou de vidéos. Dommage, à l''heure où SanDisk et Toshiba s''apprêtent à commercialiser des cartes minuscules (micro SD), de la taille d''un ongle, avec 4 Go (et bientôt 6 Go et même 8 Go) de capacité mémoire. Autre faiblesse, l''appareil photo de l''iPhone est limité à 2 millions de pixels, alors qu''on trouve couramment des mobiles équipés de capteurs de 3 millions de pixels à des prix abordables. Le N 95 de chez Nokia atteint même 5 millions de pixels. Les esprits chagrins s''interrogent aussi sur son incapacité à échanger des MMS ou à capter des vidéos. D''autres s''interrogent sur la durée de vie de la batterie, non amovible. Et il n''est pas équipé pour l''heure de la fonction GPS. Mais la version européenne pourrait apporter quelques bonnes surprises.
http://www.liberation.fr/actualite/ecrans/264507.FR.php
© Libération

Làm sao sử dụng thẻ thanh toán ở nước ngoài mà mất ít phí ?
Utiliser sa carte bancaire à l''étranger : comment réduire les frais?
http://www.20minutes.fr/article/168876/Economie-Utiliser-sa-carte-bancaire-a-l-etranger-comment-reduire-les-frais.php
Combien vont vous coûter vos retraits ou vos achats par carte bancaire pendant vos vacances à Honolulu ? Si votre carte bancaire vous coûte la même chose dans les pays de la zone euro qu''en France - grâce à une directive de la Commission européenne, dès que vous allez un peu plus loin, la note devient plus salée. Comment alléger les frais?
D''abord, il faut éviter de passer au distributeur, conseille la CLCV (Consommation, logement et cadre de vie). Payer directement avec sa carte coûte moins cher, quelle que soit votre banque. Aux frais variables dont le taux est souvent identique à celui appliqué pour les achats, s''ajoute, pour les retraits, une part fixe généralement supérieure à 3 euros.
«Proposer du liquide dans n''importe quel coin de rue autour du monde, ça a un coût», argumente-t-on au CLC Cré*** Lyonnais. Par exemple, les convoyeurs de fonds et les frais facturés par les banques locales. Chez le CLC, cela se traduit par une commission fixe comprise entre 2,20 et 3 euros.
Si vous tenez à retirer du liquide, il vaut alors mieux retirer des grosses sommes. «Les frais pour un retrait de 60 euros pour un client de la Banque populaire des Alpes représente plus de 10% du montant du retrait, et ne représente ?oque? 5,70% d''un retrait de 150 euros», remarque la CLCV. Au contraire, concernant les achats effectués avec une carte bancaire, le pourcentage de frais varie peu en fonction du montant.
Avant de partir, regardez donc avec attention la plaquette tarifaire de votre banque.
20Minutes.fr, é***ions du 05/07/2007 - 19h21
dernière mise à jour : 05/07/2007 - 19h28

iPhone đã bị hack?




 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
(Dân trí) - Jon Lech Johansen, một hacker có tiếng, vừa tuyên bố trên blog của mình rằng anh ta đã tìm ra cách để kích hoạt iPhone mà không cần đăng kí dịch vụ, hoặc thậm chí kết nối vào hệ thống mạng của nhà cung cấp dịch vụ di động độc quyền cho iPhone tại Mĩ - AT&T.

Mỗi chiếc iPhone mới phát hành tại Mĩ đều phải thực hiện bước ?okích hoạt? nhằm kết nổi vào mạng di động của AT&T ?" nhà cung cấp dịch vụ độc quyền  ?" trước khi có thể bắt đầu sử dụng. Bỏ qua bước này, thậm chí chiếc mô bai  ?otân kì? còn không thể khởi động. Tuy nhiên mới đây, một hacker đã tìm ra cách ?obẻ khoá? kích hoạt của iPhone.
Chi tiết về cách bẻ khoá được công khai trên blog cá nhân của Jon Lech Johansen dưới tiêu đề ?oNgày độc lập của iPhone?.
Johansen khẳng định ?oTôi đã tìm ra cách để ?obắt? chiếc iPhone mới toanh vừa được mua về hoạt động mà không cần chi tiền hoặc thông tin cá nhân cho các nhà cung cấp dịch vụ di động?. Sau khi đã được kích hoạt bằng cách của Johansen, chiếc iPhone tất nhiên không dùng gọi điẹn được, nhưng có thể sử dụng để làm máy nghe nhạc như iPod hoặc kết nối với các điểm truy cập Internet không dây nhằm ?ovi vu? lướt web.
Khách viếng thăm blog thông báo lại  trong phần commnet rằng cách của Johansen cũng áp dụng được cho iPhone của họ.
Các chuyên viên dự báo Johansen không phải là hacker  duy nhất có khả năng bẻ khoá iPhone ?" chiếc điện thoại di động, máy nghe nhạc và máy trợ giúp cá nhân tất cả trong một đời mới của Apple. Trong tương lai, rất có thể hacker sẽ tìm ra cách để hoàn toàn ?ogiải phóng? iPhone khỏi dịch vụ di động của các nhà cung cấp độc quyền như hiện nay.
John L.Johansen vốn được biết đến với ?othành tích? bẻ gãy cơ chế bảo mật của định dạng đĩa DVD, góp phần giúp cho định dạng này được sao chép và sử dụng rộng rãi mọi lúc mọi nơi như hiện nay.
Hoàng HảiTheo PCWorld

Thứ tư, 19/9/2007, 10:49 GMT+7
Kết nối USB (Universal Serial Bus) chuẩn bị bước sang chuẩn 3.0
Intel cùng một số hãng lớn trong ngành công nghiệp máy tính đang xúc tiến một kỹ thuật kết nối USB thế hệ mới, hứa hẹn mang lại tốc độ cao hơn tới 10 lần so với USB 2.0 phổ biến hiện nay.
http://vnexpress.net/Vietnam/Vi-tinh/2007/09/3B9FA66E/

La Police bientôt autorisée à installer des logiciels espions sur les PC
http://fr.news.yahoo.com/grp_test/20071217/ttc-la-police-bientot-autorisee-installe-549fc7d.html
Par Hélène Puel, 01net. 01net. - Lundi 17 décembre, 18h50
A l''instar des téléphones, les ordinateurs seront bientôt mis sur écoute. La Police devrait obtenir le droit de mettre sous surveillance les machines des particuliers ou des entreprises dans le cadre d''affaires criminelles ou de délinquance en bande organisée. Le projet soutenu par la ministre de l''Intérieur, Michèle Alliot-Marie, devrait figurer dans la loi d''orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (lopsi 2) qui sera présentée en conseil des ministres début 2008. Le texte sera ensuite débattu au Parlement et son entrée en vigueur ne devrait pas intervenir avant plusieurs mois.
L''information révélée ce week-end par Le Figaro a été confirmée à l''AFP par une source gouvernementale pour laquelle il s''agit « d''étendre aux données informatiques ce qui est déjà prévu pour le son et l''image ».
En effet, l''article 706-96 du code de la procédure pénale permet « la mise en place de dispositifs techniques ayant pour objet, sans le consentement des intéressés, la captation, la fixation, l''enregistrement de paroles prononcées par une ou plusieurs personnes (..) ou l''image d''une ou plusieurs personnes dans un lieu privé ».
L''espionnage des ordinateurs serait accordé par la justice dans le cadre d''affaires les plus graves comme la pédophilie, le meurtre, ou les trafics d''armes, de stupéfiants, ou le blanchiment d''argent, etc. Les juges d''instruction et celui des libertés et de la détention auraient la possibilité d''accorder ce pouvoir à la Police dans le cadre d''enquêtes préliminaires.
Un espionnage encadré par la Cnil
L''espionnage électronique pourrait revêtir plusieurs formes. Les policiers pourraient au travers d''e-mails infectés installer des spywares (logiciels espions) sur les ordinateurs suspects et ainsi surveiller à distance les informations stockées sur le disque dur ou les échanges passant par messageries électronique ou instantanée. Les agents pourraient également s''introduire au domicile ou dans l''entreprise et placer un cheval de Troie ou « des clés de connexion, souvent semblables à des clés USB » pour ausculter les machines, rapporte Le Figaro.
Avant que la loi ne soit appliquée, la Commission nationale de l''informatique et des libertés devrait être saisie pour se prononcer sur le sujet. « Lorsque nous avons au***ionné Michèle Alliot-Marie il y a quelques jours, elle nous a fait part de son intention de saisir la Cnil pour tous les dossiers concernant la lopsi 2, commente Yann Padova, secrétaire générale de la CNIL. Nous serons amenés à nous prononcer sur la proportionnalité de la mesure, entre les moyens mis en "uvre et le but recherché. Nous pourrons également émettre un avis sur les destinataires des informations ou la durée de conservations de ces données ».
La France n''est pas le seul pays européen à souhaiter accéder aux informations stockées sur les ordinateurs des particuliers ou des entreprises. Le gouvernement autrichien a ainsi donné en octobre 2007 un accord de principe à sa Police afin qu''elle puisse espionner les machines de suspects. Un groupe de travail a été mis en place, pour définir les critères d''application de cette loi qui pourrait être appliquée d''ici à l''été 2008.
Ici comme en France, plusieurs questions restent encore sans réponse : les logiciels de la police pourront-ils passer à travers les mailles du filet des outils antispyware ? Enfin, en cas de désactivation de ces derniers, quelle sera la responsabilité des forces de l''ordre si des données sensibles ou personnelles sont dérobées par un pirate informatique pour une utilisation frauduleuse ?

vendredi 21 décembre 2007
Faux sites, vraies arnaques, le « phishing » progresse toujours
par Sébastien Delahaye
http://www.ecrans.fr/Faux-sites-vraies-arnaques-le,2864.html

Aux Etats-Unis, de plus en plus d?Tinternautes tombent dans le panneau du « phishing ». La technique, aussi connue sous le nom d?Thameçonnage, consiste pour un pirate informatique à envoyer des emails semblant provenir d?Tune banque ou d?Tun site connu, afin d?Tobtenir les identifiants de connexion des internautes. Pour, dans le cas des sites de paiement et des établissements bancaires, retirer des fonds et filer avec la caisse. Selon le cabinet d?Tétudes Gartner, qui a sondé 4500 adultes américains, le phishing aurait touché cette année au moins 3,6 millions d?Tinternautes américains, à comparer aux 2,3 millions de victimes de 2006.
Surtout, Gartner estime les attaques à base de phishing ont de plus en plus de succès : 3,3% des internautes américains recevant un email frauduleux tomberaient dans le piège et perdraient de l?Targent. Une mauvaise nouvelle, alors que les principaux navigateurs web (Internet Explorer, Mozilla Firefox et Opera) proposent désormais un filtre anti-phishing convaincant, théoriquement capable de détecter les fraudes. Il faut dire que les faux sites recopient le plus souvent à l?Tidentique des sites existants (de banques, mais aussi du site d?Tenchères Ebay et de sa filiale de paiement Paypal), ce qui rend difficile l?Tidentification pour un internaute non averti.
Selon l?Tétude, le phishing aurait fait perdre 3,2 milliards de dollars (2,2 milliards d?Teuros) aux internautes américains en 2007. La perte moyenne par attaque réussie serait de 886 dollars (615 euros), en baisse par rapport à 2006. Et même si 1,6 millions de victimes ont pu récupérer une partie de l?Targent volé, la perte reste conséquente. Selon Gartner, qui n?Targumente pas ses prédictions, le phishing continuera à progresser jusqu?Ten 2009. Principale solution évoquée : améliorer la sécurité des logiciels de messagerie. En attendant, restent quelques conseils de sécurité : ne pas répondre aux emails demandant des informations financières personnelles, et bien vérifier l?Tadresse des sites web sur lesquels on se connecte.

Nokia ne joue pas le jeu de l''iPhone
07/12/2007-08h25 - Jack Ewing - â BusinessWeek
http://www.lepoint.fr/businessweek/futur/213606/article.html
Nokia marche sur les plates-bandes dõ?TApple grÂce à son nouveau contrat avec Universal. Il offre à ses clients une annâe de musique gratuite, et renforce ainsi ses liens avec la marque.
La direction de Nokia nõ?Tadmettrait jamais être influencâe par lõ?TiPhone dõ?TApple, que les experts de la tâlâphonie mobile considărent comme astucieux mais un peu faible technologiquement. Vvamoki, vice-prâsident, chargâ de lõ?Tactivitâ multimâdia, lõ?Taffirme: "Nous ne dâterminons pas notre stratâgie en fonction de la concurrence. Notre boussole, cõ?Test le consommateur."
Et pourtant, la stratâgie annoncâe par le groupe finlandais le 4 dâcembre semble clairement viser Apple. Au dâbut de lõ?Tannâe prochaine, les tâlâphones haut de gamme Nokia offriront un service de musique intâgrâ qui permettra aux usagers de tâlâcharger un nombre illimitâ de chansons pendant un an. Cõ?Test avec Universal Music que Nokia a signâ. Son catalogue, qui inclut des artistes comme Amy Winehouse et Kanye West, sera utilisâ. De plus, le gâant de la tâlâphonie est, toujours selon Anssi Vanjoki, en pourparlers avec dõ?Tautres majors du disque.
Sur les terres de iTunes
Lors de lõ?Tannonce de cette nouvelle offre, à Amsterdam, Lucian Grainge, prâsident-directeur gânâral dõ?TUniversal Music Group International, a dâclarâ aux journalistes et aux analystes prâsents : "Le portable est indâniablement lõ?Tune des clâs de la croissance future."
Le service, baptisâ par Nokia Comes with Music (musique intâgrâe), semble destinâ à empêcher Apple de dominer le secteur de la musique sur tâlâphones portables comme iTunes domine la vente de musique sur PC et lecteurs MP3. Si les tâlâchargements illimitâs sont inclus dans le prix dõ?Tun nouvel appareil Nokia, les consommateurs auront moins de raisons de se tourner vers iTunes. Les morceaux pourront être âcoutâs sur le tâlâphone et sur un ordinateur, et tout ce qui sera tâlâchargâ la premiăre annâe pourra être conservâ aprăs la fin de la pâriode dõ?Tabonnement gratuite. Une premiăre, pour lõ?Tindustrie du disque.
Le vice-prâsident nõ?Ta pas voulu râvâler les termes du contrat conclu avec Universal. Il a seulement soulignâ quõ?Til serait profitable aux deux parties. Les professionnels du disque nõ?Tont de toute faĐon aucun intârêt à ce que le secteur de la musique sur portables soit dominâ par une seule entreprise, Apple par exemple, qui aurait le pouvoir de dicter ses prix.
Bien sằr, le contrat concernant les tâlâchargements illimitâs nõ?Test valable quõ?Tun an. Nokia parie sur le fait que ses clients seront si conquis par le service quõ?Tils accepteront de payer plus. Anssi Vanjoki a dâclarâ lors dõ?Tune interview que le coằt du service aprăs la premiăre annâe nõ?Tavait pas encore âtâ dâterminâ. Il sera opârationnel mi-2008 dans des pays sâlectionnâs que le PDG de Nokia a refusâ de dâvoiler.
Ovi, le site Internet clef de voằte
La nouvelle offre musicale est une manifestation des efforts accrus de Nokia pour faire glisser sa position dominante du secteur des portables vers Internet (BusinessWeek.com, 29/08/07). Lõ?Tentreprise a aussi dâvoilâ à Amsterdam son nouveau site Web, Ovi, qui permet aux possesseurs de tâlâphones Nokia dõ?Torganiser des photos, de la musique, des contacts personnels ou autres sur leur PC, et de les synchroniser avec leur portable. Anssi Vanjoki a dâcrit Ovi comme "un tableau de bord personnel pour votre vie".
Ovi est un mot finlandais qui signifie porte , mais il nous garantit que le service nõ?Ta rien dõ?Tun portail. Il serait plutôt vouâ à faire le lien entre lõ?TInternet, le PC et le tâlâphone portable, ce qui mettrait Nokia en compâtition non seulement avec Apple, mais aussi avec Yahoo, Google et leurs semblables. Google a annoncâ (BusinessWeek.com 06/11/07) son projet de possâder son propre systăme dõ?Texploitation de tâlâphonie mobile. Nokia a âgalement lõ?Tintention dõ?Tajouter continuellement des fonctions à Ovi aprăs son lancement officiel, dâbut 2008.
Même si Ovi gânăre à terme directement des revenus pour Nokia, par exemple à travers des accords avec des partenaires qui paieront pour obtenir un placement prâfârentiel, le but ultime est dõ?Taugmenter les ventes de tâlâphones. "La meilleure faĐon pour nous de monnayer nos services est de vendre des appareils", a dâclarâ Vanjoki.
Manifestement, Nokia a investi beaucoup dõ?Targent pour faire dõ?TOvi un site à lõ?Tavant-garde de la technologie. Lõ?Tune de ses caractâristiques attractives fait beaucoup parler : cõ?Test lõ?Tutilisation dõ?Tun logiciel de râseau neuronal. Il affiche les photos comme des groupes dõ?Timages qui semblent flotter dans un espace à trois dimensions avec des liens vers des informations telles que les adresses e-mail de ceux qui figurent sur la photo, ou bien des cartes montrant lõ?Templacement dõ?Toạ celle-ci a âtâ prise. Si cõ?Test trop pour certains utilisateurs, ils pourront toujours organiser leurs photos en deux dimensions, par rangâes, comme avant.
Nõ?Toubliez pas les appareils
Nokia renouvelle aussi les logiciels de ses tâlâphones haut de gamme, en y ajoutant une interface ***e "à panneaux de dâroulement". Les menus pour la musique, les photos, les contacts, les jeux et autres contenus apparaissent sur des surfaces flottantes rotatives, qui sont censâes aider lõ?Tutilisateur à se retrouver parmi les mâdias quõ?Til a accumulâ dans son appareil. Cette interface a des ressemblances avec celle de lõ?TiPhone.
Mais ceux qui attendaient que Nokia prâsente un concurrent potentiel direct de lõ?TiPhone ont âtâ dâĐus. Les dirigeants de lõ?Tentreprise finlandaise ont dâclarâ que leur stratâgie âtait dõ?Toffrir une plus large gamme de tâlâphones, visant des groupes dõ?Tutilisateurs spâcifiques, comme les fondus de technologie, ou les jeunes. Comme lõ?Ta dâclarâ Kai -istÔmả, vice-prâsident directeur du groupe, "ce nõ?Test pas une taille unique", une pique qui vise âvidemment lõ?TiPhone.

"Les ventes en ligne vont progresser en 2008" (Acsel)
mardi 15 janvier 2008, 19h30 | leparisien.fr
http://www.leparisien.fr/home/loisirs/articles.htm?articleid=295978725
Selon l''Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel), les ventes sur Internet devraient encore augmenter en 2008.
Le chiffre d''affaires du e-commerce a progressé de 25% en 2007 et la «tendance devrait se poursuivre» en 2008, a estimé Henri de Maublanc, président de l''Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel) lors d''une conférence de presse mardi.
«L''activité a bien démarré en janvier 2008. La tendance de 2007 devrait se poursuivre en 2008», a *** Henri de Maublanc, estimant le chiffre d''affaires du commerce en ligne à 20 milliards d''euros, contenus (petites annonces, jeux, musique, presse...) et services financiers (banques, Bourse en ligne) y compris.
Selon le baromètre Acsel du e-commerce, le chiffre d''affaires du quatrième trimestre qui représente le tiers de l''activité annuelle de ce secteur, a augmenté de 28%, par rapport à la même période un an plus tôt.
Le baromètre de l''Acsel a été établi par le cabinet d''au*** PricewaterHouseCoopers auprès de 21 cybermarchands. Il indique que ces 21 sites de vente en ligne ont réalisé un chiffre d''affaires de 4,5 milliards d''euros en 2007.
Près de 10% des transactions réalisées sur les sites français sont venues de détenteurs de cartes bancaires étrangères contre 6% en 2006, a ajouté le Groupement des cartes bancaires lors de la conférence. Dans les boutiques «physiques», seulement 3% des transactions sont effectuées avec des cartes étrangères.
Mais seule la moitié des sites français exportent. Le nombre de sites marchands français varient selon les estimations, entre 36.000 à 40.000.
Près de 20 millions d''internautes (65,5%) ont déjà acheté en ligne, selon une étude du cabinet Médiamétrie réalisée pour l''Acsel, qui indique que 61,1% des internautes se déclaraient «confiants» dans le commerce en ligne entre septembre et novembre 2007, contre 58,1% au quatrième trimestre 2006.
Les 25-35 ans sont les plus confiants (75% d''adhésion) ainsi que les habitants de la région parisienne (66%), à l''inverse des retraités (46%), selon Médiamétrie.

Votre ordinateur intéresse les pirates
Aymeric Renou
jeudi 17 janvier 2008 | Le Parisien
http://www.leparisien.fr/home/info/vivremieux/articles.htm?articleid=295982171
Les pirates informatiques s''attaquent désormais aux ordinateurs des particuliers ou des entreprises pour en prendre le contrôle et leur extorquer de l''argent via des virus de plus en plus sophistiqués. Des parades existent.
LES VIRUS ont bien changé. Fini les grandes attaques planétaires (souvenez-vous de I Love You et de Melissa) fomentées par de petits génies de l''informatique depuis leur chambre d''étudiant, qui paralysaient en quelques heures, pour la seule gloire de leurs auteurs, plusieurs millions d''ordinateurs à travers le monde. La menace, beaucoup plus sournoise, est désormais criminelle et s''en prend le plus souvent directement aux portefeuilles des internautes.
Les spécialistes de la lutte virale de Kaspersky, l''é***eur de logiciels antivirus les plus en pointe du moment, ne parlent d''ailleurs plus de pirates informatiques mais de cybercriminels.
Manque de prudence
Après le « phishing », technique qui consiste à simuler un site Internet officiel d''une banque ou d''un organisme officiel pour soutirer les codes bancaires d''un internaute, « l''une des attaques les plus en vogue et les plus dangereuses est celle du kidnapping d''ordinateur », prévient Vitaly Bezrodnykh, directeur du développement de Kaspersky. L''ordinateur d''un internaute, ou le réseau informatique d''une petite entreprise, est pris en otage à distance grâce à un virus qui bloque l''accès à certains fichiers sensibles trouvés dans le disque dur. Les criminels proposent alors le paiement d''une rançon, pouvant aller de 20 $ à 2 000 $ à verser sur un compte anonyme, pour débloquer le système.
Un autre business est florissant dans la communauté des cybercriminels, dont les plus vicieux, organisés en véritables mafias, quand ils n''en font pas déjà partie, officient depuis la Russie, l''Ukraine, la Chine ou le Brésil. Pour quelques dizaines d''euros, ils proposent à la vente sur Internet des kits de logiciels, avec leurs modes d''emploi détaillés, que les apprentis pirates peuvent utiliser pour mener leurs propres attaques. Pour commettre leurs forfaits, les délinquants du Net n''utilisent évidemment pas leur propre matériel informatique. Trop dangereux et trop facilement repérable. Ils se servent principalement d''ordinateurs « zombies », des machines de particuliers infectées secrètement qu''ils peuvent utiliser à distance au nez et à la barbe de leurs propriétaires pour conduire une attaque ou envoyer des spams (des courriels commerciaux expédiés en grand nombre). Selon Kaspersky, entre 20 millions et 30 millions d''ordinateurs zombies - peut-être le vôtre ? - seraient recensés à travers le monde.
Ce réseau d''ordinateurs fantômes est aujourd''hui impossible à éradiquer, puisque trop de machines sont interconnectées. D''autant que la grande majorité des internautes fait preuve d''un manque de prudence évident. Selon McAfee, un é***eur d''antivirus américain, un particulier sur sept ne prend pas la peine d''activer un pare-feu (fonction disponible sur Internet Explorer), d''utiliser un antivirus ou un logiciel antiespion.