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LES NEWS ?-? Une nouvelle tour prévue pour Paris en 2012 ?-? Données biométriques désormais exigées

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi Paris_latino, 02/02/2004.

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  1. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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    Affluence pour célébrer le Nouvel An chinois dans le 13e arrondissement de Paris
    AFP - Dimanche 10 février, 18h14
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080210/tfr-ville-paris-nouvelan-chinois-f56f567_1.html
    PARIS, 10 fév 2008 (AFP) - Plusieurs milliers de personnes se sont rendues dimanche dans le 13e arrondissement de Paris, qui a la réputation d''être le "China Town" parisien, pour assister aux célébrations du Nouvel An chinois.
    Le tra***ionnel défilé s''est élancé peu avant 14HOO sous le crépitement de centaines de pétards, au son des tambours et menée par deux dragons colorés et des chars bigarrés. En tête de cortège, deux jeunes garçons chinois portaient des drapeaux français.
    Pour célébrer l''entrée dans l''année du rat, une foule dense et compacte s''était rassemblée tout le long du parcours, entre l''avenue d''Ivry et la Place d''Italie avant de rejoindre le point de départ en passant par l''avenue de Choisy.
    Chinois ou non, nombreux sont ceux qui viennent tous les ans. A l''image de Jacques Yath, chinois du Cambodge de 59 ans, en France depuis 30 ans, qui "ne manquerait le défilé pour rien au monde".
    "Ca nous permet de retrouver nos racines", a expliqué à l''AFP Hu Fei Yun, 27 ans, Français d''origine chinoise vivant à Belleville. "Ca permet aussi aux Français de découvrir notre culture, nous qui sommes des gens discrets habituellement", a-t-il ajouté.
    Pour Daniel Dupont, parisien de 47 ans passionné par la Chine, le Nouvel An asiatique est resté "plus tra***ionnel" que celui des Français. Devenu "plus touristique" au fil des années, ce défilé peut pourtant selon lui être "un moment d''échange". "On vient régulièrement dans ce quartier, c''est zen", a-t-il poursuivi.
    Les ambassadeurs du Cambodge, de Chine populaire et de Thaïlande ont assisté au défilé, qui devait se terminer vers 17H30.
    Paris et sa région abritent la plus grosse communauté chinoise d''Europe, évaluée à environ 350.000 personnes, soit la moitié des Chinois ou Français d''origine chinoise vivant en France.
    Cette communauté est le produit de vagues d''immigration successives, comme notamment dans les années 1970-80, où quelque 150.000 "boat-people", réfugiés de l''ex-Indochine (Vietnam, Laos, Cambodge) pour la plupart d''origine chinoise ont été accueillis en France, essentiellement dans le 13e arrondissement de Paris. Mais beaucoup sont partis habiter en banlieue et le triangle situé entre les avenues d''Ivry et de Choisy est devenu une vitrine de la communauté.
  2. kuroaki

    kuroaki Thành viên mới

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    14/02/2008
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    Nhân viên ngành phát thanh truyền hình Pháp đình công trên diện rộng để phản đối quyết định mới đây của chính phủ về việc xoá bỏ hoàn toàn quảng cáo trên các kênh công cộng : các chương trình phát sóng trên các kênh công cộng bị tê liệt trên toàn quốc trong ngày hôm nay
    L''audiovisuel public fortement perturbé par une grève de grande ampleur
    Par Par Juliette COLLEN
    AFP - mercredi 13 février 2008, 21h20
    [​IMG]
    PARIS (AFP) - Les programmes des télévisions et radios publiques ont été fortement perturbés mercredi par une grève d''ampleur dans le secteur, sans précédent depuis 1974, pour demander la "pérennité" du service public après l''annonce de la suppression de la publicité.
    La manifestation nationale à Paris a rassemblé près de 4.000 salariés selon les organisateurs, 1.800 selon la police. Dans le cortège ont défilé des salariés de France Télévisions, Radio France, TV5Monde et RFI, peu habitués à manifester, aux cris de "ni pub, ni soumises".
    A France Télévisions, la grève a été "massivement suivie", avec 44,8% de grévistes en moyenne sur l''ensemble du groupe, selon la direction. Ils étaient 42,8% à France 2, 57,4% à France 3, 13% à France 4, 11,2% à France 5 et 40,1% à RFO. Des pourcentages de grévistes iné***s ont été atteints, allant jusqu''à 69% au service des sports de France 2.
    Le directeur des sports de France Télévisions, Daniel Bilalian, a cessé le travail pour la première fois depuis 1974.
    France 3 n''a pu assurer normalement ses é***ions d''information (12-13 et 19-20). En revanche les Victoires de la musique classique sur France 3, à 20h50, devraient être maintenues.
    Sur France 2, l''émission Télématin et le journal télévisé de 13h00 ont été annulés.
    Celui de 20H00 a été assuré, mais est revenu très longuement sur la grève, avec notamment des reportages et une interview de la ministre de la Culture Christine Albanel. "C''est de l''avenir de votre télévision dont il est question", a déclaré le présentateur David Pujadas.
    A Radio France, environ 18% des quelque 3.000 salariés ont arrêté le travail le matin, et 24,85% l''après-midi.
    Il n''y a pas eu d''antenne de la journée sur France Inter. France Musique et France Culture ont pu assurer leurs é***ions matinales mais rien par la suite.
    France Info n''a diffusé que quelques journaux toutes les demi-heures; le réseau local de France Bleu (41 stations) a aussi été affecté.
    A TV5 Monde, le taux de grévistes était de 65%. Aucun journal n''a été diffusés, à la faveur d''une mobilisation qui s''inscrit dans le cadre de la réforme de l''audiovisuel extérieur public. Radio France Internationale (RFI) était également perturbée, avec 40% de grévistes.
    Cet appel à la grève de 24 heures, de la part de plusieurs intersyndicales, constitue un mouvement sans précédent dans l''audiovisuel public depuis l''éclatement de l''ORTF en 1974. Il vise à demander des garanties de financement du secteur, après l''annonce surprise par Nicolas Sarkozy le 8 janvier de la suppression de la publicité.
    Le manque à gagner est évalué par France Télévisions à 1,2 milliard d''euros. A Radio France, les recettes publicitaires représentent 8% du budget.
    Christine Albanel a réaffirmé que le manque à gagner serait compensé "euro par euro" et les périmètres du service public maintenus. Elle s''est également engagée sur une dotation budgétaire pour pallier le manque à gagner subi par France Télévisions dès 2008.
    Mais aucune alternative précise et chiffrée n''a été arrêtée.
    Mme Albanel devait recevoir les syndicats ce mercredi mais ceux-ci ont refusé, demandant à être reçus par le président Sarkozy, "vu l''ampleur de la mobilisation". M. Sarkozy doit se prononcer prochainement sur les modes de financement alternatifs.
    Le PS a apporté son soutien à la grève et demandé au gouvernement de "renoncer" au projet. Le président du MoDem, François Bayrou, a jugé que la décision du chef de l''Etat, "abrupte et peu réfléchie", ne "profitera qu''aux "détenteurs de chaînes privées".
  3. PKaN

    PKaN Thành viên mới

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    Nói "phản đối việc xoá bỏ quảng cáo" thì không chính xác. Bỏ quảng cáo trên truyền hình cũng là điều tốt, nhiều người Pháp và đại bộ phận nhân viên của ngành truyền thông đều ủng hộ. Có điều muốn bỏ quảng cáo thì phải làm thế nào để tìm ra kinh phí cho truyền thông quốc gia (sẽ là đủ các loại thuế, taxe khác linh tinh), thiếu kinh phí có thể sẽ ảnh hưởng đến chất lượng chương trình (không còn audimat, không còn repère để đánh giá) và nhất là truyền hình tư nhân sẽ có monopole về quảng cáo.
    Bref, l"idée en soi n"est pas si mauvaise, mais c"est la mise en oeuvre et surtout les intentions derrière qui font débat (sachant que Sarkozy est très proche de certaines chaînes privées )
  4. lahm

    lahm Thành viên mới

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    Bon, comme tu le dis, cela aurait été une bonne idée, mais finalement ce n''en est pas une. Ou pas si bonne que ça.
    D''abord, la forme. C''était le style Sarkozy : annoncer des surprises, prendre tout le monde de court, y compris les personnes en premier lieu concernées (Patrick de Carolis, le patron de France Télévisions et Christine Albanel, sa propre ministre de la Culture qui n''a découvert la nouvelle que pendant la conférence de presse de rentrée le 8 janvier dernier).
    Ensuite, le fond. Si on avance d''un pas aussi décidé vers la suppression totale de la publicité sur les chaînes publiques, c''est quand-même curieux, très très curieux de ne pas être en mesure de proposer des mesures compensatoires quant au manque de recettes pour faire fonctionner l''audiovisuel public. N''oublions pas que France Télévisions avait demandé, en vain, dans son nouveau cahier des charges, quelques 200 millions d''euros de subventions supplémentaires car l''Etat disait qu''il n''avait plus de sous. Eh alors maintenant, avec presqu''un milliard d''euros de plus à financer, ce ne sera pas une mince affaire.
    En plus, si on regarde bien, il y aura 3 heures de diffusion à combler, si l''on supprime purement et simplement la pub. Il faut financer les nouveaux programmes aussi. Et qui est sûr que l''Etat, décideur de subventions, n''aura pas sa mainmise là-dessus et ne dictera pas ses règles aux chaînes publiques. Il faut diffuser plus de reportages sur Sarkozy ou plus de chansons de Carla, par exemple.
    Enfin, on *** qu''il faut en finir avec la dictature de l''audimat qui aurait empêché la production des émissions et des programmes culturels de qualité. En aurait-on davantage si les restrictions budgétaires se profilent et que France Télévisions dépend entièrement des ressources extérieures ? On a parlé des taxes provenant des fournisseurs d''Internet et d''opérateurs de téléphonie qui ont réalisé, il est vrai, de bénéfices confortables. Mais ce sera probablement les utilisateurs d''Internet et clients de la téléphonie mobile qui en paieront de facto les frais à la place des annonceurs, ce qui ne sera quand-même pas marrant, finalement.
  5. kuroaki

    kuroaki Thành viên mới

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    14/02/2008
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    Les FranĐais boudent les produits laitiers
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080214/tfr-agriculture-alimentation-consommatio-f56f567_1.html
    AFP - Jeudi 14 fâvrier, 09h13
    [​IMG]
    PARIS (AFP) - Les FranĐais boudent de plus en plus les produits laitiers, avec une baisse de 7% de la consommation par habitant en 10 ans, entre 1997 et 2006, selon une âtude du ministăre de l''Agriculture publiâe jeudi.
    "La consommation franĐaise de produits laitiers, l''âquivalent de 371 kilogrammes de lait entier par habitant en 2006, est en baisse de 7% par rapport à 1997", râvăle le Service central des enquêtes et âtudes statistiques (SCEES) du ministăre dans sa publication Agreste Primeur.
    Pour le ministăre, "plusieurs facteurs expliquent ce repli: moins d''achats de produits laitiers, une prâfârence pour les produits allâgâs et des prix en hausse".
    En effet, "un kilogramme de fromage frais de vache de 1% à 20% de matiăres grasses nâcessite moins de lait entier qu''un kilogramme de camembert", souligne cette âtude.
    La baisse, entre 1997 et 2006, porte principalement sur la consommation de lait liquide (-20%) et de beurre (-12%). Par contre la consommation de yaourts augmente de moitiâ et celle des desserts lactâs de 70%.
    Les FranĐais demeurent toutefois parmi les plus grands consommateurs de produits laitiers en Europe. Notamment pour les fromages oạ, avec 23 kg par habitant en 2004, ils figurent juste derriăre les Grecs qui en consomment plus de 28 kg.
  6. 0707007

    0707007 Thành viên mới

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    07/07/2007
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    pour apporter un complément d''opinion (à noter que l''article dans le Monde a été écrit après mon commentaire ci-dessus)
    Chronique
    Réfléchir avant, ou après ?

    par Dominique Dhombres
    LE MONDE | 14.02.08 | 13h16 ? Mis à jour le 14.02.08 | 13h16
    Nicolas Sarkozy avait un petit air coquin lorsqu''il a annoncé le 8 janvier la suppression prochaine de la publicité dans l''audiovisuel public français. Il voulait surprendre. Il a été servi. Il a réussi à lui tout seul à déclencher la grève la plus importante de ce secteur depuis l''éclatement de l''ORTF, en 1974. Les taxis ont sans doute fait école, en montrant que ce président-là, comme jadis Jacques Chirac, dont il s''était tant moqué, pouvait céder lui aussi à la pression de la rue.
    Les radios et télévisions publiques étaient donc en grève, mercredi 13 février, et cela s''entendait et se voyait. Sur France 3, les journaux télévisés étaient remplacés par des reportages des stations régionales.
    Le journal de la mi-journée de France 2 n''était pas diffusé. Celui de 20 heures l''était, mais il était largement consacré à la grève. "Il y a bien un journal. La grève, ici, à France 2, a été massivement suivie, comme dans l''ensemble de l''audiovisuel public, mais nous avons décidé de vous présenter malgré tout une é***ion pas tout à fait comme les autres, ne serait-ce que pour vous informer sur ce mouvement", expliquait, un brin jésuite, David Pujadas. On voyait les images de la manifestation des salariés de l''audiovisuel public défilant à Paris du pont de l''Alma au rond-point des Champs-Elysées. Ceux-ci posaient une question simple : le système survivra-t-il à la disparition de la publicité ?
    "Aujourd''hui, on nous *** qu''on va réfléchir au problème. Est-ce qu''il ne fallait pas d''abord réfléchir avant d''annoncer qu''on aurait, dans un an, une télévision sans publicité ?", demandait Laurent Bignolas, le présentateur de "Faut pas rêver", sur France 3.
    Le journal de France 2 se poursuivait avec une interview de Christine Albanel, ministre de la culture et de la communication. L''intéressée assumait, une fois de plus, une tâche ingrate : défendre une mesure qu''elle n''avait pas souhaitée et dont elle n''avait pas été préalablement informée. "Depuis l''annonce du président de la République, qui a voulu créer un choc, qui a pris une décision extrêmement forte, nous travaillons d''arrache-pied", disait-elle. Hervé Bourges, ancien président de France Télévisions, lui donnait courtoisement la réplique.
    Son propos était dévastateur. Les socialistes ont envisagé de supprimer la publicité, mais ne l''ont pas fait parce qu''ils ont compris que c''était "un chemin très hasardeux". "Premièrement, le financement n''est pas assuré. Deuxièmement, il va y avoir toute la réglementation européenne, qui va peser en faveur du privé. Troisièmement, vous allez avoir les chaînes privées, qui vont se battre comme il n''est pas permis pour empêcher qu''on puisse les taxer", disait-il. Moyennant quoi, il souhaitait bonne chance à cette réforme.
    Peut-être plaisantait-il ?
    Dominique Dhombres
    Article paru dans l''é***ion du 15.02.08
  7. matthias

    matthias Thành viên mới

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    22/07/2006
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    E***o du Monde
    Désinvolture

    LE MONDE | 13.02.08 | 14h08 ? Mis à jour le 13.02.08 | 14h08
    Unanimes pour la première fois depuis l''éclatement de l''ORTF en 1974, tous les syndicats de France Télévisions ont appelé à la grève, mercredi 13 février. On les comprend. En annonçant, lors de sa conférence de presse du 8 janvier, son intention de supprimer totalement la publicité des chaînes publiques, Nicolas Sarkozy a, en effet, pris le risque de déstabiliser en profondeur le paysage audiovisuel français, ses acteurs, ses personnels et ses productions.
    Pourquoi pas ?, dira-t-on. L''idée n''avait-elle pas été évoquée, il y a une vingtaine d''années, par la gauche ? La perspective de voir les écrans des chaînes publiques débarrassés de leurs spots publicitaires n''est-elle pas une utopie séduisante pour bon nombre de téléspectateurs, ulcérés de se voir réduits à "du temps de cerveau disponible" pour les annonceurs, selon la formule célèbre de Patrick Le Lay, l''ancien président de TF1. Comment ne pas se réjouir de voir, demain, les chaînes publiques marquer davantage encore leur différence, se démarquer de la médiocrité trop souvent offerte par leurs concurrentes privées et multiplier les programmes de qualité, les créations originales, l''information exigeante ?
    Tout serait donc pour le mieux si le président de la République avait accompagné son annonce d''une claire stratégie industrielle et é***oriale. Or c''est tout le contraire. Préparée en catimini, improvisée sans consultations approfondies, la "révolution" annoncée par le chef de l''Etat soulève mille questions sans réponses. Dès lors qu''il écarte toute augmentation de la redevance (pourtant la plus faible d''Europe), comment compenser les quelque 800 millions d''euros de recettes publicitaires annuelles de France Télévisions ? Par de nouvelles taxes sur la publicité des chaînes privées ou sur les opérateurs télécoms, ou encore sur les récepteurs ? La confusion est totale, et chacun de ces acteurs a déjà clamé que ce serait absurde ! Comment financer, par ailleurs, les trois à quatre heures de programmes quotidiens supplémentaires que libérerait la suppression de la publicité ?
    Les pouvoirs publics ont beau jurer, la main sur le coeur, que chaque euro de publicité supprimé sera compensé et qu''il n''est pas question de modifier le périmètre des chaînes publiques, tous les doutes sont permis. Surtout quand l''on entend les responsables de chaînes privées affirmer avec aplomb que les télévisions publiques sont peut-être trop nombreuses et pourraient sans problème fonctionner à moindre coût.
    De deux choses l''une : ou bien l''exécutif sait où il va, et il est urgent qu''il le dise ; ou bien il a pris le risque de déstabiliser les chaînes publiques sans en mesurer les conséquences. Ce serait d''une coupable désinvolture.
    Article paru dans l''é***ion du 14.02.08
    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/02/13/desinvolture_1010736_3232.html
  8. simba_vn

    simba_vn Thành viên quen thuộc

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    21/01/2002
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    La campagne anti-JO de Pékin prend de l''ampleur
    De notre correspondant à Pékin Jean-Jacques Mével
    14/02/2008 | Mise à jour : 22:20
    http://www.lefigaro.fr/sport/2008/02/15/02001-20080215ARTFIG00012-la-campagne-anti-jo-de-pekin-prend-de-l-ampleur.php
    [​IMG]
    Des nombreuses voix s''élèvent dans le monde, comme ici en France, pour le respect des droits de l''homme à l''approche des Jeux Olympiques de Pékin. Cré***s photo : AFP​
    Les stades sont prêts, mais la Chine s''inquiète face à la montée des appels au boycott de l''événement.
    La Chine entend faire des Jeux olympiques de 2008 la vitrine impeccable de sa réussite. Pourtant, elle découvre à six mois de l''échéance qu''elle ne contrôle pas tout. En pliant bagage, le cinéaste Steven Spielberg vient d''infliger un cruel revers de relations publiques aux seize jours «de rêve» que Pékin promet à la planète pour le mois d''août.
    La direction communiste a rompu hier trente-six heures de silence gêné et a «regretté» le départ du père d''ET et d''Indiana Jones. Steven Spielberg était depuis plusieurs années consultant bénévole pour une fête d''ouverture des jeux qui s''annonce fastueuse, au soir du 8 août. Il a claqué la porte mercredi en reprochant personnellement au maître de cérémonie, le président Hu Jintao, de ne pas en faire assez pour sauver le Darfour.
    La majorité des Chinois n''en a rien su, puisque la presse a censuré l''information en dépit de l''«ouverture» promise il y a sept ans lorsque Pékin a décroché les JO. À destination d''une audience uniquement étrangère, le porte-parole de la diplomatie Liu Jianchao a dénoncé hier «des perturbations politiques» qui seraient «contraires à l''esprit olympique». La République populaire reproche à l''Occident de trahir l''idéal sportif et d''utiliser les jeux contre elle.
    La désertion du plus prospère des patrons du rêve hollywoodien est sûrement une mauvaise affaire pour les JO chinois, eux-mêmes placés sous le slogan «Un seul monde, un seul rêve !». Le départ de Steven Spielberg traduit d''abord la fin de l''angélisme et un retour aux réalités : la puissance qui héberge les Jeux a toujours payé l''honneur d''une litanie de pressions et de critiques. Moscou en 1980 ou Atlanta en 1996 sont des précédents récents.
    La Chine de 2008, restée la plus grande dictature, est elle-même un chiffon rouge agité sous les yeux de tout ce que la planète compte d''avocats des droits de l''homme, d''opposants à la peine de mort, de défenseurs des minorités ou de fidèles du dalaï-lama. Les influents amis démocrates de Steven Spielberg ajoutent sûrement aux sueurs froides du PC chinois, à l''heure où les États-Unis se jettent à corps perdu dans la course à la Maison-Blanche.
    Double jeu de la Chine
    Le drame humanitaire du Darfour, lui, montre la République populaire sous un jour moins flatteur que les brochures distribuées à Pékin. La Chine achète les deux tiers du pétrole soudanais et vend au régime islamique d''Omar el-Béchir des armes dont beaucoup se retrouvent au Darfour, voire au Tchad, aux mains de milices appuyées par Khartoum.
    Les soucis soudanais du PC chinois ne s''arrêteront pas là. Huit Prix Nobel, dont l''archevêque sud-africain Desmond Tutu et l''auteur latino-américain Rigoberta Menchu, viennent à leur tour de dénoncer le double jeu de Pékin. D''un côté, la Chine vote à l''ONU l''envoi au Darfour de soldats de la paix. De l''autre, elle «garde le silence lorsque le Soudan en bloque de facto le déploiement». Le texte des Nobel, devenu une pétition internationale, gagne chaque jour en signatures dans les milieux politiques et sportifs, des deux côtés de l''Atlantique.
    Vu de Pékin, le contraste ne peut être plus saisissant. Tandis que les technocrates et les ingénieurs chinois peaufinent jusqu''au détail les plus belles installations olympiques jamais construites, la direction chinoise se montre à découvert sur le front plus fluide et plus compliqué des relations publiques.
    Le Tibet ? Taïwan ? L''environnement ? La secte Falungong ? D''où viendra le prochain incendie ? Le parti unique n''est pas du genre à reconnaître ses erreurs, mais il vient d''avouer une faiblesse : Xi Jinping, étoile montante du PC et plausible successeur de Hu Jintao en 2012, vient d''être promu responsable numéro un des jeux de l''été. À Pékin, personne n''en avait douté. Les JO sont d''abord une affaire politique.
  9. niklas

    niklas Thành viên mới

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    10/05/2006
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    vụ này ko biết thực hư thế nào nhỉ, cũng thấy có mấy người nói giống bài này
    Mariage Sarkozy Bruni : il pourrait être annulé !
    Par News de Stars News de stars - Dimanche 10 février, 13h00
    Le mariage de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni sera quoiqu''il arrive le mariage de l''année même si il était annulé car contraire à la loi comme l''a révélé "Le Figaro" dans son é***ion de samedi. On a tout lu, tout entendu sur le mariage entre Nicolas Sarkozy et Carla Bruni. Dernière en date, il ne serait pas conforme à la loi ce qui pourrait conduire à son annulation ainsi que l''a révélé le "Figaro" dans son é***ion de samedi. En effet, des spécialistes en droit de la famille, ont découvert que selon le code civil, ce mariage est nul et non avenu ! D''après eux, pour que le mariage soit conforme à la loi, la cérémonie aurait dû être publique ! En d''autres mots, Nicolas Sarkozy et Carla Bruni auraient dû nous inviter à leurs noces !L''affaire est tellement plausible que le "Figaro" avance que le maire du VIIIè arrondissement de Paris, François Lebel est passible d''une amende de 4,50 euros pour avoir marié le couple présidentiel illégalement. Morale de l''histoire : marier illégalement Nicolas Sarkozy et Carla Bruni et traverser hors des passages piétons, c''est le même prix !
  10. taminh

    taminh Thành viên rất tích cực

    Tham gia ngày:
    30/05/2002
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    350.000 personnes ont vu la vidéo des propos de Nicolas Sarkozy
    Sarkozy au salon de l''agriculture : "Casse toi pauvre con !"
    http://youtube.com/watch?v=axDyUNWyuw8
    [​IMG]
    PARIS (Reuters) - Près de 350.000 personnes ont regardé la vidéo du journal Le Parisien où Nicolas Sarkozy tient un langage fleuri à un visiteur du Salon de l''agriculture qui ne veut pas lui serrer la main, a-t-on appris auprès du quotidien.
    "350.000 personnes l''ont vue dimanche à la mi-journée. C''est un véritable buzz", a déclaré une porte-parole.
    David Martinon, porte-parole de l''Elysée, a déclaré n''avoir aucun commentaire à faire sur cet incident, qui rappelle celui qui avait opposé le chef de l''Etat à des marins-pêcheurs du Guilvinec début novembre.
    Le Premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande, a jugé pour sa part "insupportable" que Nicolas Sarkozy n''ait pas un comportement exemplaire.
    "C''est quand même un comble que ce soit l''opposition qui rappelle le président à ses devoirs", a-t-il déclaré dimanche sur Canal +.
    "On ne tombe pas dans le pugilat (...) On n''interpelle pas un marin ou un ouvrier pour qu''il vienne ici rendre compte de ce qu''il a ***, on n''entre pas dans un conflit avec quelqu''un qui ne vous serre pas la main", a-t-il ajouté.
    Pour François Hollande, "c''est à force de manquer à tous ses devoirs que Nicolas Sarkozy connaît finalement la désaffection populaire".
    "Ce qui est aujourd''hui insupportable, c''est que le président ne soit pas exemplaire. Il n''est pas un citoyen comme les autres, il ne peut pas parler de ses propres croyances ou de ses propres convictions, il est le président de tous les Français", a-t-il avancé.
    La scène diffusée par journal Le Parisien sur son site internet montre Nicolas Sarkozy progressant samedi dans la cohue du Salon de l''agriculture en serrant des mains, entouré de gardes du corps. Arrivé au niveau d''un homme en veste beige, il s''énerve quand ce dernier se retourne brusquement.
    "Ah non, touche moi pas, tu me salis", lui lance le visiteur en colère. "Casse-toi, casse-toi alors ! Pauvre con va...", répond le président français sans se départir de son sourire avant de poursuivre sa route dans les allées du Salon.
    source : http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080224/tts-france-sarkozy-insulte-tp-ca02f96_1.html

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