Nước Pháp qua những con tem - La France à travers les timbres ?-?Le tramway de Paris, St-Valentin, A

có người gọi khéo là đồ con ngựa mà cũng rối rít lên cảm với chẳng ơn, rõ chán cậu

thôi viết tí không có lại nhiễm bệnh câu kéo của các bác trong box
tớ ko chơi tem nhưng dạo qua đây gọi là ủng hộ phong trào nhé (but đừng bắt tớ giải thích cái gì nó là cái gì)
nhân tiện, ai giải thích được hộ bạn thì tốt, cũng là mở mang đầu óc bạn cái

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tem hả, chiều ngay
cái ông này là tác giả của "commissaire Maigret" (thanh tra Megrê) còn 3 cái vết hình bầu dục là dấu bưu điện đấy Ludo dấu phát hành đầu tiên tại Pháp, Bỉ và Thuỵ Sỹ (tem phát hành chung giữa 3 nước)
bạn gửi thêm phát tem và maxicard của "Vườn Luxembourg"

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lundi 9 mai 2005, 17h59
Le pain à l''honneur du 10 au 16 mai
PARIS (AP) - Ambassadeurs gourmands de la France à l''étranger, la baguette et le croissant ne représentent qu''une miette de la palette des boulangers, qui s''appliqueront à faire découvrir leur production et leur profession pendant la dixième Fête du pain du 10 au 16 mai.
Le mot "pain" vient du latin "panis". A la fin du Xe siècle, c''est le "pan", puis il devient "pain" (1120); le mot "boulanger" est d''origine picarde. Il vient de "boulenc", "celui qui fabrique des pains ronds", terme picard d''origine germanique venu des Francs, pour qui "bolla" désignait un "pain rond"; en latin médiéval, le boulanger était le "boulengarius" (1100), et "bolengerius" (vers 1120), avant de devenir en français "bolengier" (v. 1170) et enfin "boulanger" en 1299.
Fournils en plein air, ateliers pour petits et grands, concours de boulangers, prix du meilleur croissant au beurre, fabrication, distribution et dégustation de pain et viennoiseries, petits déjeuners, apéritifs, expositions, oblitération spéciale, messe à saint Honoré, patron des boulangers, rallyes auto-moto, groupes folkloriques, visite d''ateliers et d''écoles de formation... La Confédération nationale de la boulangerie et boulangerie-pâtisserie française compte attirer plusieurs dizaines de milliers de personnes avec toutes ces animations.
Certes, la boulangerie-pâtisserie demeure selon l''Institut national de la statistique (INSEE) le commerce de proximité le plus prisé des Français, qui sont un quart à s''y rendre tous les jours, mais l''alimentation s''est diversifiée et on ne consomme plus que 165g de pain par personne et par an, soit deux fois moins qu''en 1950 et presque six fois moins qu''en 1900 (900g).
La situation commence cependant à s''améliorer puisque le chiffre était tombé à 160g en 1990 et 1995. Entre-temps, les boulangers ont fait des efforts sur la qualité, critère prioritaire pour 99% des consommateurs, la variété (pain au lin, aux céréales, aux lardons, aux olives, bio ou au levain...), la formation professionnelle et les con***ions de travail.
En outre, longtemps boudé parce qu''accusé de faire grossir, le pain a été réhabilité, les autorités sanitaires en conseillant la consommation, pour l''apport en fibres et glucides complexes (de type amidon) et jugeant la teneur en sel sans danger pour la santé.
Pour la filière du pain, l''enjeu est d''importance: 98% des Français mangent du pain et les quelque 34.000 boulangeries artisanales de France, qui détiennent 70% des parts de marché, encaissent un chiffre d''affaires annuel de 54 milliards d''euros, dont 54% pour le pain et 36% pour la pâtisserie. On dénombre 34.000 boutiques, soit une pour 1.800 habitants, qui emploient 160.000 personnes et accueillent quelque 14 millions de clients par jour.
Et l''effort a payé: si le volume de pain consommé a tendance à stagner, le chiffre d''affaires progresse ces dernières années. AP

lundi 9 mai 2005, 17h59
Le pain à l''honneur du 10 au 16 mai
PARIS (AP) - Ambassadeurs gourmands de la France à l''étranger, la baguette et le croissant ne représentent qu''une miette de la palette des boulangers, qui s''appliqueront à faire découvrir leur production et leur profession pendant la dixième Fête du pain du 10 au 16 mai.
Le mot "pain" vient du latin "panis". A la fin du Xe siècle, c''est le "pan", puis il devient "pain" (1120); le mot "boulanger" est d''origine picarde. Il vient de "boulenc", "celui qui fabrique des pains ronds", terme picard d''origine germanique venu des Francs, pour qui "bolla" désignait un "pain rond"; en latin médiéval, le boulanger était le "boulengarius" (1100), et "bolengerius" (vers 1120), avant de devenir en français "bolengier" (v. 1170) et enfin "boulanger" en 1299.
Fournils en plein air, ateliers pour petits et grands, concours de boulangers, prix du meilleur croissant au beurre, fabrication, distribution et dégustation de pain et viennoiseries, petits déjeuners, apéritifs, expositions, oblitération spéciale, messe à saint Honoré, patron des boulangers, rallyes auto-moto, groupes folkloriques, visite d''ateliers et d''écoles de formation... La Confédération nationale de la boulangerie et boulangerie-pâtisserie française compte attirer plusieurs dizaines de milliers de personnes avec toutes ces animations.
Certes, la boulangerie-pâtisserie demeure selon l''Institut national de la statistique (INSEE) le commerce de proximité le plus prisé des Français, qui sont un quart à s''y rendre tous les jours, mais l''alimentation s''est diversifiée et on ne consomme plus que 165g de pain par personne et par an, soit deux fois moins qu''en 1950 et presque six fois moins qu''en 1900 (900g).
La situation commence cependant à s''améliorer puisque le chiffre était tombé à 160g en 1990 et 1995. Entre-temps, les boulangers ont fait des efforts sur la qualité, critère prioritaire pour 99% des consommateurs, la variété (pain au lin, aux céréales, aux lardons, aux olives, bio ou au levain...), la formation professionnelle et les con***ions de travail.
En outre, longtemps boudé parce qu''accusé de faire grossir, le pain a été réhabilité, les autorités sanitaires en conseillant la consommation, pour l''apport en fibres et glucides complexes (de type amidon) et jugeant la teneur en sel sans danger pour la santé.
Pour la filière du pain, l''enjeu est d''importance: 98% des Français mangent du pain et les quelque 34.000 boulangeries artisanales de France, qui détiennent 70% des parts de marché, encaissent un chiffre d''affaires annuel de 54 milliards d''euros, dont 54% pour le pain et 36% pour la pâtisserie. On dénombre 34.000 boutiques, soit une pour 1.800 habitants, qui emploient 160.000 personnes et accueillent quelque 14 millions de clients par jour.
Et l''effort a payé: si le volume de pain consommé a tendance à stagner, le chiffre d''affaires progresse ces dernières années. AP

La France est aussi le pays du bon vin...
...et de la gastronomie ALLEMANDE

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