õ-? Economie/Droit/Gestion õ~ẳ Hỏằ?i ?'?Ăp, trao ?'ỏằ.i vỏằ? kiỏ??n thỏằâc và phặ?ặĂng ph?Ăp viỏ??t

E dang hoc Eco Public, bi vuong cai de tai : Faut - il privatiser l''Universite ? "pour" ou "contre"
Vi du "contre" thi do, neu lam the thi tien hoc phi tang len,... dai loai nhu the, moi nguoi deu hoc Kinh te, co the cho e vai y kien tham khao duoc khong a? hay co tai lieu gi cung duoc, vi e lam theo y kien chu quan nen khogn duoc tu tin lam
Merci moi nguoi nhieu nhé, bonne journée!!!!!!!!!!!!

Tớ cung cấp tài liệu cho cậu tham khảo thôi nhé :
Education
Interview Luc Ferry
Propos recueillis par Marie-Sandrine Sgherri
LE POINT : Comment expliquez-vous la colère des étudiants ?
LUC FERRY : De quels étudiants parle- t-on ? De ceux qui actuellement protestent dans quelques universités ou de ceux qui soutiennent notre projet et souhaitent avoir des diplômes européens ? Ils représentent, selon un sondage de La Croix, 87 % des étudiants, ce qui n''est pas rien ! A ceux qui protestent ou s''opposent, je dis qu''il faut s''expliquer.
C''est un débat légitime et je n''ai aucune intention de me dérober. Mais je dis clairement aux étudiants de ne pas croire les rumeurs : il n''y aura pas de suppression des diplômes nationaux (bac + 2 et bac + 4), pas de sélection renforcée, pas de modification du régime des droits d''inscription, pas de privatisation, de mise en concurrence ou de régionalisation des universités. Tout cela est faux, archifaux. Je suis prêt à faire étudier toutes les garanties nécessaires sur les compensations de notes aux examens, comme je l''ai proposé aux organisations syndicales cette semaine. Les standards nationaux seront garantis.
L. P. : Il ne s''agirait donc que d''un malentendu ?
L. F. : Vous plaisantez, j''imagine. Les principales organisations qui appellent à la grève sont SUD, la CNT et l''Unef. Ce serait leur faire injure que de parler de malentendus. Il y a avec eux, bien au contraire, des désaccords de fond - ce qui ne veut pas dire, tant s''en faut, qu''il ne faille pas continuer le dialogue aussi loin que possible. Comme je vous l''ai ***, l''écrasante majorité des étudiants est favorable au système LMD. Mais la vérité, c''est qu''il existe une minorité altermondialiste et antieuropéenne qui s''oppose à cette heureuse évolution par tous les moyens, y compris, parfois, la désinformation. Certains sont même allés jusqu''à prétendre que j''allongerais la durée du BTS ou du DUT. Ce sont là aussi des contre-vérités qui n''ont pour but que de faire de l''agitation politicienne. ?a existe, vous savez !
L. P. : Ce ne serait pas la première fois qu''une minorité ferait échouer une réforme de l''Education nationale. La réforme du système éducatif est-elle simplement possible ?
L. F. : C''est une bonne question (rires). Disons que lors d''une année où doivent se tenir trois consultations électorales, c''est encore plus difficile.
L. P. : Gardez-vous la confiance du Premier ministre et du président de la République ?
L. F. : Cela fait un an et demi qu''on me pose la question toutes les semaines. Alors, pour une fois, je vous la retourne : mais qu''est-ce qui peut bien vous faire croire que je serais là si ce n''était pas le cas ? J''avoue que je vois mal...
L. P. : Au-delà de la mauvaise foi de certains meneurs, cette contestation n''est-elle pas le reflet d''une inquiétude sincère des étudiants qui vous soupçonnent de vouloir privatiser l''université ?
L. F. : Mais c''est tout le contraire ! Et il faut bien sûr dissiper cette inquiétude : l''harmonisation européenne implique tout à l''inverse une défense plus vigilante que jamais du service public ! A la conférence de Berlin, qui réunissait en septembre les ministres européens de l''Education, j''ai fait voter un amendement au nom de la France rappelant non seulement que l''enseignement supérieur était un « bien public », une « responsabilité publique », mais que face aux intérêts commerciaux ou politiques les valeurs universitaires devaient toujours prévaloir. Le problème est tout à fait ailleurs : la marchandisation de l''éducation est déjà en marche. Personne ne peut empêcher les très riches universités, américaines notamment, d''ouvrir des antennes en Europe. Il y en a déjà en France, et elles vendent bien sûr leurs services. Le problème est d''organiser la résistance dans le cadre de notre service public pour qu''il puisse faire face à cette concurrence, et cela ne peut se faire que dans un cadre européen. Voilà le vrai enjeu du LMD, qui ne vise en rien, comme je l''entends dire ici ou là, à mettre en concurrence les universités françaises entre elles. Le système LMD, imaginé par Claude Allègre et poursuivi par Jack Lang, et que je veux mettre enfin en oeuvre, consiste à construire un espace universitaire européen alternatif au système libéral américain. Nous devons attirer en France les étudiants étrangers et permettre aux jeunes Français d''étudier ailleurs sans perdre leur temps. J''ai fait une partie de mes études en Allemagne, j''ai des diplômes allemands, mais à mon retour en France ils n''ont pas été reconnus et ne m''ont servi à rien dans mon cursus. C''est cela, notamment, qui va changer, et on aura du mal à expliquer aux étudiants que ce n''est pas un plus pour eux.
L. P. : Ne vouliez-vous pas permettre aux entreprises d''entrer à la fac et de peser sur le contenu des enseignements ?
L. F. : Encore un bel épouvantail ! Heureusement, les universités ne m''ont pas attendu pour nouer des relations de plus en plus étroites avec les collectivités territoriales et les partenaires économiques et sociaux. L''université n''a- t-elle pas aussi pour fonction de préparer les étudiants à leur avenir professionnel ? Bien sûr que oui. Alors, qu''y a-t-il de scandaleux à ce que, dans certaines voies de formation, elle prenne en compte la réalité des entreprises, publiques ou privées, ainsi que des régions dans lesquelles elles sont implantées ?
L. P. : Si chaque université décidait de ses alliances et de sa politique pédagogique, ne serait-ce pas la fin du caractère national des diplômes ?
L. F. : A nouveau, c''est tout l''inverse, puisque le LMD nous force à renforcer considérablement les exigences d''une habilitation nationale des diplômes. Jusque-là, le cadrage national des diplômes relevait davantage de la formalité administrative que de l''expertise scientifique et pédagogique. Je sais de quoi je parle puisque j''ai moi-même, pendant quinze ans, déposé ou examiné des demandes d''habilitation. Pour renforcer le caractère national des diplômes, c''est-à-dire avoir des diplômes mieux garantis par l''Etat et permettant donc une plus grande mobilité des étudiants en France et en Europe, mon ministère a mis en place une structure d''évaluation dont les procédures d''expertise sont beaucoup plus rigoureuses qu''avant et concernent aussi bien l''université que les grandes écoles. En réalité, jamais les diplômes n''auront été plus nationaux qu''avec le LMD.
L. P. : Pourra-t-on faire l''économie d''une réforme des universités ?
L. F. : Entrer dans un espace européen d''enseignement supérieur exige que nous accroissions la responsabilité de chaque université, que chacune d''entre elles soit en mesure de décider davantage de sa politique pédagogique et de recherche, notamment pour créer avec d''autres universités européennes des diplômes communs. Aujourd''hui, les universités sont dans une sorte d''impasse : l''Etat ne les gère qu''à moitié puisqu''elles disposent d''une relative autonomie, mais il les contrôle trop a priori, ce qui les déresponsabilise. En réalité, elles ont du mal à déterminer leur stratégie. Savez-vous que, pour délivrer une bourse Erasmus Mundus [qui permet de faire des études supérieures partout dans le monde, NDLR], les établissements doivent proposer des formations communes avec deux autres universités étrangères ? Comment construire ces formations sans laisser plus d''initiatives, plus de responsabilités aux instances dirigeantes de l''université ? Les présidents d''université, quelle que soit leur sensibilité, le savent bien et réclament ces aménagements à cor et à cri.
Mais, parce que je tiens à cette réforme, parce que je suis déterminé à la mettre en place, je ne veux pas que l''on brusque les choses, que l''on tente de passer en force. Voilà pourquoi j''ai tenu à rappeler aux organisations qu''aucun agenda parlementaire n''était arrêté et que nous prendrions le temps du dialogue, car je suis sûr qu''on peut améliorer encore le dispositif. Il n''y a là ni renoncement ni précipitation inutile. L''université mérite mieux que des outrances polémiques ou des dramatisations politiciennes
© le point 28/11/03 - N°1628 - Page 41 - 1262 mots

Cho em hỏi cái.Em phải làm cái exposition cho môn học Management với cái sujet:Les différents marchés,monopole,cartels:brevet informatique,le cas de Microsoft.Hichic,em được giao làm phần introduction và nói sơ về propriétaires intéllectuelles(droits d''auteur,brevet,copyrigt).Em phải nói trong vòng 10 phút về cái đó,mà em chưa nghĩ ra sẽ nói những gì,nếu chỉ nói về cái định nghĩa thì chỉ cần 30s là em tịt ngòi.Các bác có ai có ý tưởng gì,cứu em với,bó tay.Em phải finir cái projet này ce wk và exposer jeudi prochain,chắc chít wá

Bạn thử những tài liệu này xem có giúp được gì không nhé :
http://www.unil.ch/webdav/site/cedidac/shared/Articles/M%C3%A9langes%20Rusconi.pdf
http://www.unil.ch/webdav/site/cedidac/shared/Articles/Chronique%20JdT%202000.pdf
http://www.unhchr.ch/tbs/doc.nsf/0/598eabb9ed10be94c1256999005b0186/$FILE/G0044784.pdf
http://www.u-paris2.fr/dess-dmi/rep_travaux/40_beaugrand_thomas.pdf
http://www.robic.com/publications/Pdf/190-TOR.pdf
http://www.robic.com/publications/Pdf/170.09.pdf
http://www.refad.ca/nouveau/etude_loi_auteur/pdf/etude_loi_auteur.pdf
http://www.mazerolle.fr/ExpoAES2003/Zhang%20Xuemei.pdf
http://www.iprcommission.org/papers/pdfs/Multi_Lingual_Documents/Multi_Lingual_Main_Report/DFID_Main_Report_French_RR.pdf
http://www.framasoft.org/IMG/pdf/enjeux_des_brevets_logiciels_beta.pdf
Nói trước là tớ chưa đọc bất kỳ tài liệu nào nói trên nên đừng hỏi tớ nhé , Nếu đạt yêu cầu thì nhớ vote ***** tớ

Cám ơn bạn nhiều lắm về những tài liệu trên. Biz

Đến lượt em khẩn thiết nhờ cả nhà giúp đỡ Sujet exposé của em : Les nouvelles modalités et les difficultés d''insertion sur marché du travail.
Em làm plan đơn giản thôi:
I. Quelles nouveautés sur le marché du travail ?
II. Un marché du travail de plus en plus difficile à pénétrer.
Phần 1 em đã làm đầy đủ, nhưng phần 2 em ít tài liệu quá. Em đang kiếm thêm tài liệu về Avis Pour les nouveaux contrats . Ai biết ở đâu chỉ cho em với ạ. Với cả các bác có tài liệu nào nói về difficultés d''insertion sur le marché thì kíu em với nhé.
Xin cảm ơn và hậu tạ bằng 5 ông sao sáng

Tớ tìm được rất nhiều tài liệu về đề tài này dựa vào phần mềm của tớ, nhưng tớ chưa có thời gian đọc để lọc ra cái nào cần hay không cần cho bạn, tớ cứ để địa chỉ ra đây nhé, nếu bạn cần thì tớ có thể hướng dẫn cách dùng logiciel cho tiện :
http://www.sozialstaat.ch/global/projects/results/da_cunha_resume.pdf
http://www.snc.asso.fr/positions/telechargement/debat/emploi/04_etat_urg.pdf
http://www.snc.asso.fr/positions/telechargement/collectifs/eapn/031202_pnae.pdf
http://www.sciences-po.fr/formation/master_scpo/projets_collectifs/insertion_rapport.pdf
http://www.luttepauvrete.be/publications/rapportbisannueltravail.pdf
http://www.limousin.drire.gouv.fr/di/docup_limousin/obj3/AXE%205.pdf
http://www.la-metro.org/fr/actualite/PLIE.pdf
http://www.dmgpse.gouv.fr/IMG/pdf/20041025a_SMR_Emploi_Travail_actions_prio.pdf
http://www.csp.ch/assets/docs/NE_Campagne.mars.05.dossier.presse.pdf
http://www.cnt-nar.be/Emploi/2001-France-01-83.pdf
Bonne chance !

Cảm ơn bác nhiều. Em đã vote 5*

Mình có hai câu hỏi trong môn Macroéconomie muốn nhờ các bạn giúp đỡ.
Câu 1 nằm trong bài về Dépenses publiques :
Quels mécanismes économiques peuvent jouer le rôle de stabilisateurs automatiques?
Câu 2 nằm trong bài về La monnaie :
Quels sont les différents titres du marché monétaire?
Cảm ơn mọi người trước !
Được so_magic sửa chữa / chuyển vào 05:19 ngày 06/06/2006

Câu 2 :
Les titres émis et échangés sur le marché monétaires :
- Des titres courts dont la durée a été ramenée à un an (les billets de trésorerie, les certificats de dépôt des banques et les BISF - Bons des Institutios et Sociétés Financières)
- Des titres longs ( les BMTN - Bon à Moyen Terme Négociables d''une durée minimale supérieure à un an)
Tiện đây khoe luôn, em vật lộn với cái exposé về Marché du travail cuối cùng đc 14/20 Sướng ko chịu đc