Theo dòng thời sự ?-? Disparition d'un avion Air France, plus de 200 passagers étaient à bord (p.29-

[/quote] em nghĩ chả chắc có ai vote cho bác đâu, mà có lẽ là chỉnh sửa database j` đấy vì, thứ nhất, vote thật rất mất thì h ; thứ hai, làm sao có thể đẩy điểm TB xuống <1 trong khi nếu vote thì tối thiểu là 1* hở bác
thủ tục tránh mâu chả biết nghỉ vacances xong trường mình đã mở cửa lại chưa bao nhiêu môn phải thi lại

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ôi dào có sao đâu hả cậu, kể cả dưới 1* cũng chẳng sao , hehe tớ cũng thấy bùn cười và thắc mắc là ko hiểu tại sao mình lại có số * dưới 1 mà ko bít thắc mắc với ai, với lại tớ cũng ko quan trọng lắm, cứ để đó có khi lại hay đấy câụu ạh . tóm lại là các cậu ở bên ấy lại cío thể đi học bình thường và có những ngày vui vẻ và yên lành như trước đây mà ko sợ cái gì phải đầu phải tai cả , mọi người cũng sắp thi rồi, cố gắng thi tốt nhé

em nghĩ chả chắc có ai vote cho bác đâu, mà có lẽ là chỉnh sửa database j` đấy vì, thứ nhất, vote thật rất mất thì h ; thứ hai, làm sao có thể đẩy điểm TB xuống <1 trong khi nếu vote thì tối thiểu là 1* hở bác
thủ tục tránh mâu chả biết nghỉ vacances xong trường mình đã mở cửa lại chưa bao nhiêu môn phải thi lại

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Yem thấy chính ra ko phải đi học thì yên lành hơn DÙ sao em vẫn thích nghỉ hơn Xời. Cứ đi học lại nghĩ đến thi chết mất

Úi trời, nghỉ đến lúc rồi rattraper vắt chân lên cổ, hihi

Cố thêm tí nữa thì hết năm rồi còn bù biếc j nữa ạ [/maroon] [/size=3]

bù thì không thấy bù, nhưng chả hiểu sao trường em đóng cửa ko có cours mà em lại phải đi thi lại tận mấy môn đợi xong vacances đến trường sẽ nhận lịch đi thi lại ở miền Nam và nếu ko qua thì có khi còn phải sang tận Đức để thi lại lần nữa hãi vật khổ thân em quá cơ

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Chỉ 10% số hợp đồng CNE được ký kiến tạo việc làm mới
Seulement 10% des contrats CNE correspondent à des créations d''emplois
http://fr.news.yahoo.com/14062006/202/seulement-10-des-contrats-cne-correspondent-des-creations-d-emplois.html
mercredi 14 juin 2006, 19h31
Par Martine VERON

PARIS (AFP) - Seulement 10% des contrats nouvelles embauches (CNE) correspondent à des créations nettes d''emplois (44.000) et près d''un sur trois a été rompu avant six mois, selon une enquête, alors même que le Premier ministre défend l''efficacité de ce dispositif dans la lutte contre le chômage.
Rappelant à l''Assemblée les chiffres encourageants de l''emploi ces derniers mois, Dominique de Villepin s''est inscrit en faux contre cette enquête, lançant: "Une étude ne fait pas le printemps, pas plus qu''une hirondelle".
L''enquête menée conjointement par la Dares (ministère de l''Emploi) et l''Acoss (organismes de sécurité sociale), réalisée à la demande du ministère de l''Emploi, répond à nombre d''interrogations soulevées depuis la création par ordonnance, en août 2005, de ce contrat iné***, destiné aux entreprises jusqu''à 20 salariés, qui peut être rompu pendant deux ans sans justification.
Dénoncé par les syndicats comme le grand frère du CPE, il est, a réaffirmé encore mardi le Premier ministre Dominique de Villepin, "un bon outil pour l''emploi et pour la croissance".
L''enquête, révélée mercredi par Les Echos et publiée ce jour sur le site internet de la Dares, fait apparaître, elle, que seulement 10% des CNE, soit environ 44.000, correspondaient fin mars à des créations d''emplois. Le chef du gouvernement avait estimé fin mai qu''un tiers des CNE étaient des nouveaux emplois.
Quelque 70% des CNE conclus se sont substitués, à parts égales, entre des CDD ou CDI classiques, et 20% correspondaient à de simples anticipations de recrutements.
Le CNE "crée des emplois", s''est félicité le ministère, "sans aucun coût pour les finances publiques".
La part des créations d''emplois, parmi quelque 440.000 intentions d''embauches, est conforme aux estimations de l''Insee.
L''Institut de la statistique avait avancé le chiffre de 10.000 à 20.000 créations par trimestre, jugeant ce chiffre "pas négligeable dans une situation où l''emploi marchand progresse lentement".
En 2005, les entreprises ont créé au total 52.300 emplois, selon l''Insee, 140.000 selon l''Acoss, qui couvre un champ plus large.
L''"effet de substitution" entre les CNE et les CDD ou CDI est l''un des arguments avancés par les syndicats contre le nouveau contrat.
Ils condamnent par ailleurs, au nom d''une rupture d''égalité entre salariés, le fait que l''entreprise puisse interrompre le contrat sans avoir à se justifier.
Après six mois d''existence, l''enquête évalue à 30% le nombre de CNE rompus, alors que, selon le Premier ministre, "90%" des CNE signés depuis dix mois sont "toujours en activité".
Les ruptures de contrat cependant résultent d''une décision de l''employeur dans 38% des cas seulement. Dans 45% des cas, c''est le salarié qui a pris la décision, et dans 17% des cas, la rupture résulte d''une décision commune.
Rémi Jouan, secrétaire national de la CFDT, relie le taux élevé de rupture du CNE par le salarié aux "abus" des employeurs embauchant en CNE.
Il s''affirme "conforté" dans sa condamnation du CNE, comme son homologue de FO, Jean-Claude Mailly qui *** "être encouragé, puisque l''outil est réputé inefficace, à multiplier les efforts pour obtenir la peau du CNE".
"Obtenir la peau du CNE": c''est aussi l''objectif de la CGT où Maryse Dumas, secrétaire confédérale, juge que le bilan du CNE constitue une "véritable esbrouffe" en terme de création d''emplois et se réduit à un outil de "pression" sur les salariés.
Selon le Parti socialiste, l''enquête "confirme l''échec" d''un "contrat de travail au rabais" "sans effets réels sur l''emploi".
[nick]
Được philippe sửa chữa / chuyển vào 15:56 ngày 15/06/2006

L''après-CPE: 27 universités perturbées et quatre bloquées
http://fr.news.yahoo.com/11042006/202/l-apres-cpe-27-universites-perturbees-et-quatre-bloquees.html
mardi 11 avril 2006, 19h58
PARIS (AFP) - Vingt-sept universités sur les 62 qui ne sont pas en vacances étaient encore perturbées à des degrés divers mardi, au lendemain de l''abandon du CPE, a annoncé le ministère de l''Education nationale.
Sur ces 27 universités, quatre - Grenoble II et III, Montpellier III et Toulouse II - étaient entièrement bloquées, selon la même source.
Les 62 universités qui ne sont pas en vacances comptent 969.800 étudiants. Les 27 qui connaissent des blocages partiels comptent 513.700 étudiants. Les quatre bloquées comptent 69.600 étudiants. Les 31 fonctionnant comptent 385.500 étudiants. Par ailleurs, 22 universités (Ile-de-France et académie de Bordeaux) sont en vacances. Elles comptent un total de 429.500 étudiants.

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Deux groupes d''une centaine d''étudiants opposés à la loi égalité des chances ont bloqué la sortie des bus des deux dépôts toulousains de la régie des transports Tisseo-SMTC pendant près de 4 heures mardi matin. Les deux dépôts, celui d''Atlanta dans l''est de la ville, et de Grande-Bretagne à l''ouest, ont été occupés peu avant 05h30 à l''heure normale de la prise de service. Atlanta a été le premier libéré par les étudiants pour éviter une intervention des forces de l''ordre qui se faisaient pressantes vers 08H45, tandis que le blocus du deuxième dépôt a été levé vers 09H30.
L''organisation des examens universitaires, à la suite de plus de deux mois de contestation du CPE, est "gérable à peu près partout", a par ailleurs estimé mardi Yannick Vallée, premier responsable de la Conférence des présidents d''université, qui a appelé à la reprise des cours dès mercredi.
"Le CPE étant retiré, il est évident que les enseignements doivent reprendre, on appelle à les faire reprendre dès (mercredi), l''organisation des examen est gérable à peu près partout", a déclaré M. Vallée lors d''une conférence de presse.
Après avoir rencontré dans l''après-midi l''Unef, la Fage et la Confédération étudiante, il a expliqué que "les examens doivent être décalés". "Dans les universités où trois à quatre semaines ont été perdues, c''est tout à fait gérable d''organiser les examens fin juin et jusqu''au 14 juillet", a-t-il assuré, estimant que ce sera "plus compliqué" là où les blocages ont été plus longs.
Les "rattrapages de cours" se feront "en tassant le volume horaire pour faire deux semaines en une semaine", a-t-il détaillé, certifiant que "les enseignants et le personnel administratif sont d''accord pour faire le maximum".
Selon le premier vice-président de la CPU, il n''est en revanche "pas envisageable de faire porter les examens sur une partie seulement du programme". "Ce serait déplorable d''avoir un diplôme 2006 qui n''ait pas la même valeur qu''en 2005, voire qui ressemble au bac 68", a-t-il commenté.
M. Vallée a en outre exprimé la "crainte" que les étudiants les plus impliqués pour ou contre les blocages, ou ceux qui ne venaient plus dans des bâtiments paralysés, notamment "les plus fragiles", soient "démobilisés alors qu''un rythme de travail très intensif va leur être imposé".
"On est d''accord sur l''idée d''aménager l''année en l''allongeant pour gagner des heures de cours et en reportant les examens", a expliqué à l''AFP Bruno Julliard, président de l''Unef, syndicat leader du mouvement, à l''issue de sa rencontre avec le CPU.
Il a précisé qu''il était possible de transformer dans certains cas l''évaluation par contrôle continu en examen final, si cette disposition était votée par le conseil d''administration.

Ơ sao lại phải xuống tận miền Nam hoặc sang tận Đức thì hử em ?? Nếu đi thế thì tiền tàu xe ai trả cho mình

CPE: tensions à Rennes 2, levée des barrières près de la Sorbonne
http://fr.news.yahoo.com/13042006/202/cpe-tensions-rennes-2-levee-des-barrieres-pres-de-la.html
jeudi 13 avril 2006, 12h08

RENNES (AFP) - Le président de Rennes 2 a ordonné jeudi matin la fermeture administrative jusqu''à mardi de l''université en raison du climat de tension qui règne entre étudiants pro et anti-blocage tandis que les murs anti-émeutes encerclant la Sorbonne ont été levés.
"Je déclare l''université fermée jusqu''à nouvel ordre", a déclaré Marc Gontard dans un mégaphone face à environ un millier d''étudiants réunis sur le campus, devant des bâtiments dont les portes ont été bloquées par quelque 200 étudiants pro-blocage. Il a ensuite précisé que cette fermeture serait effective jusqu''à mardi.

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Les étudiants qui souhaitaient suivre les cours, qui avaient repris mercredi matin, exprimaient vivement leur dépit de ne pas pouvoir pénétrer dans les salles d''amphi. "Grévistes, cassez-vous!" et "Libérez la fac!" ont ainsi scandé plusieurs centaines d''entre eux vers 09H00.
De leur côté, les pro-blocage ont affirmé leur détermination "à aller jusqu''au bout, c''est-à-dire le retrait de l''ensemble de la loi sur l''Egalité des chances et du CNE", a expliqué Xavier, 19 ans, étudiant en géographie.
Les étudiants de Rennes 2 avaient voté lundi soir pour la levée du blocage, qui paralysait l''université des Lettres et Sciences humaines depuis le 7 février. Mais une nouvelle assemblée générale, à laquelle participaient plus de 5.000 étudiants, s''est terminée mercredi soir dans la confusion. Les étudiants grévistes ont organisé un vote à main levée et affirmé qu''il appelait à la reprise du blocage. Le président Gontard a déclaré ce vote illégitime et exigé soit un vote à bulletin secret, soit la reconnaissance du vote organisé lundi. A Paris, les murs anti-émeutes encerclant la Sorbonne depuis quatre semaines ont été levés dans la nuit de mercredi à jeudi et l''accès à la place conduisant à l''université était libre jeudi matin.
L''université elle-même ne rouvrira ses portes que le 24 avril, à la fin des vacances scolaires de printemps, a précisé le rectorat.
Le quartier historique et touristique proche du boulevard Saint-Michel avait été transformé en véritable bunker, bouclé par des policiers et ceinturé de barricades métalliques de plus de 2 mètres de haut, après l''occupation de la Sorbonne par des manifestants anti-CPE les 10 et 11 mars.
L''université symbole de mai 68 avait été "prise" le 10 mars dans l''après-midi par quelques centaines d''étudiants alors qu''elle avait été fermée par le recteur. Le 11 mars à 04H00, elle avait été évacuée par la police.

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Les manifestants anti-CPE, particulièrement des étudiants de la Sorbonne, s''arrêtaient régulièrement devant les barrières pour demander "la libération" de leur université. Les barricades metalliques avaient été placées le 17 mars au lendemain d''affrontements violents entre manifestants et policiers.
De nombreux slogans avaient été tagués sur les barricades policières notamment "Police partout, justice nulle part".
Les commerçants et les habitants se plaignaient régulièrement du bouclage du quartier.
La place de la Sorbonne avait pratiquement retrouvé, jeudi matin, son aspect habituel. Aux deux angles de la place, des murs provisoires faits de moellon et des plaques de contreplaqué, installés pour remplacer les portes d''accès et les vitrines d''un magasin de vêtements et d''une ancienne librairie, étaient les seules traces visibles des affrontements, souvent violents, entre forces de police et manifestants contre le CPE.

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Rue de la Sorbonne, stationnent quatre véhicules de gendarmes mobiles. Devant la seule entrée ouverte de l''université, des vigiles filtrent les entrées.
Au pied de la Sorbonne, le "Select Hôtel Rive Gauche" peut désormais accueillir ses clients sans le filtrage policier. Une des responsables de l''hôtel relève "le manque des réservations et les annulations, provoquées par les images de télévision" montrant les affrontements sur la place. Cette responsable ajoute qu''il "faudra attendre quelque temps pour chiffrer précisément le bilan des pertes".
Au bas de la place, le patron du "Tabac de la Sorbonne", dont une partie des vitres est remplacée par du contreplaqué, arrose le pavé devant son établissement pour enlever les derniers débris de bouteilles de verre restant des affrontements.
"C''est bien, on va pouvoir maintenant travailler", assure la patron de l''établissement en chiffrant à 70% le montant de ses pertes subies durant cet isolement forcé.

tại giáo cụ trực quan của bọn em nằm hết ở miền Nam ; đến hè lại bị di dời sang Đức chị ah hị hị em nói điêu đấy, chị đừng hỏi nữa nhá