Theo dòng thời sự ?-? Disparition d'un avion Air France, plus de 200 passagers étaient à bord (p.29-

Hình ảnh khu vực xung quanh ĐH Sorbonne sau khi rào chắn chống bạo động đã được hoàn toàn dỡ bỏ. Theo dự kiến, trường sẽ bắt đầu mở cửa dần trở lại bắt đầu từ sau kỳ nghỉ xuân (24/4).

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Après-CPE : les cours reprennent, rattrapage et examens s''organisent
http://fr.news.yahoo.com/18042006/202/apres-cpe-les-cours-reprennent-rattrapage-et-examens-s-organisent.html
mardi 18 avril 2006, 15h26

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PARIS (AFP) - Les cours ont repris normalement mardi dans les universités qui ne sont pas en vacances, soit un tiers des établissements, où s''organisent en outre le ménage des locaux, le rattrapage des enseignements et le report des examens.
"Les cours ont repris partout", a assuré mardi sur France 3 Yannick Vallée, premier responsable de la conférence des présidents d''université (CPU), en répétant que "l''essentiel des examens auront lieu fin juin-début juillet" et seront "rarement reportés à septembre".
Selon lui, seules certaines universités, bloquées neuf semaines, comme Rennes II ou Toulouse II, pourraient envisager d''organiser la tenue de leurs examens en septembre.
Parallèlement à la diffusion de calendriers de cours et d''examens plus ou moins modifiés, les présidents d''universités ont aussi commencé à chiffrer le coût des éventuelles "dégradations" provoquées par les blocages et occupations.
Le ministre de l''Economie et des Finances Thierry Breton a évoqué "quelques centaines de milliers de dégâts par université", comme c''est le cas à Grenoble III (300.000 euros) ou Rennes II (100.000 euros).
Le ministre a déjà été démenti par les cas de Nantes (40 à 50.000 euros selon le président) ou de Lille III où aucune dégradation n''a eu lieu pendant les sept semaines de blocage, selon l''université.
Les dernières résistances ont été vaincues à Nantes, qui a repris les cours normalement mardi. Rennes II, autre bastion de la contestation, a repris le chemin des amphis dans une atmosphère tendue.
"Il reste un groupe d''irréductibles, une vingtaine ou une trentaine d''étudiants" et d''"anarchistes de l''ultra-gauche" qui continuent de perturber l''université, a regretté son président Marc Gonthard.
D''autres universités très impliquées dans le combat anti-CPE comme Montpellier III ou Lille III ont également raccroché les banderoles mardi.
La situation reste floue à Toulouse II et III, où des AG étaient en cours pour déterminer la poursuite ou non du blocage mardi à midi. Le déblocage de la maison de la Recherche a été approuvé dans la matinée.
Parallèlement, une journée d''actions contre la loi sur l''Egalité des chances, le CNE et le projet de loi sur l''immigration, à l''appel de ce qu''il reste de la coordination nationale étudiante après la victoire du CPE, n''a attiré que 2 à 300 personnes à Rennes et entre 150 et 200 à Brest. Des manifestations étaient également prévues à Paris et Toulouse.
Vacances ou pas, l''atmosphère est plutôt au ménage, à la remise en état des locaux, et au départ de la course de fond des enseignements jusqu''aux examens.
Lyon II a par exemple mis en place un planning de rattrapage et de permanence pendant les vacances, des enseignants de Paris-X-Nanterre ont transmis des cours par Internet, Lille II a déjà prévu des cours le samedi...
Pour effacer les traces de la bataille contre le CPE, les universités touchées ont déjà presque toutes annoncé le report des examens d''une à deux semaines (Lille II et III, Paris VI, Paris X-Nanterre, Dijon, Bordeaux II...), à l''exception de Lyon II qui maintient ses dates.
Certaines ont aussi déjà prévu d''organiser leur session de rattrapage en septembre et non en juin comme habituellement.

Vers un retour à la normale dans les universités françaises
http://fr.news.yahoo.com/18042006/290/vers-un-retour-a-la-normale-dans-les-universites-francaises.html
mardi 18 avril 2006, 20h39

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PARIS (Reuters) - Les blocus ont été levés dans les trois derniers bastions universitaires anti-CPE, Rennes, Nantes et Toulouse, créant pour la première fois depuis deux mois les con***ions d''un retour à la normale dans les 84 universités françaises.
Les cours ont repris normalement mardi matin dans 31 universités, à l''exception de deux sites à Toulouse et des 51 universités actuellement en vacances, a-t-on souligné au ministère de l''Education nationale.
A Toulouse 2 où la levée du blocus a été votée mardi après-midi, les cours reprendront mercredi matin, après le ménage des locaux, a-t-on ajouté de même source.
A Toulouse 3, de "légères perturbations subsistent" mais "les choses sont en bonne voie", a-t-on ajouté de même source.
Malgré le retrait des principaux syndicats d''étudiants du mouvement de blocage, la Coordination nationale des étudiants a maintenu ses appels à la poursuite du mouvement.
Elle a appelé à trois journées d''actions, notamment ce mardi avec un rassemblement dans l''après-midi à Paris où 150 personnes, selon la police, ont défilé de la Place d''Italie au boulevard Montparnasse.
Les manifestants se sont ensuite rendus dans les locaux du journal La Tribune qu''ils ont occupés pendant trois heures.
La Coordination a en outre appelé à des actions le 25 avril et le 1er mai, pour demander le retrait du contrat nouvelles embauches (CNE), de l''intégralité de la loi sur l''égalité des chances et pour dénoncer le projet de loi sur l''immigration.
Mardi, les cours ont repris normalement à Rennes 2 où une cinquantaine d''étudiants et de personnes extérieures avaient tenté en vain de bloquer les accès.
A Nantes, les cours ont pu reprendre après l''évacuation par des vigiles, dans la nuit de lundi à mardi, d''une vingtaine d''irréductibles qui s''étaient livrés à des dégradations durant le week-end.
Un bâtiment qui a subi d''importants dégâts devra cependant être remis en état avant sa réouverture.
Le ministre des Finances Thierry Breton a chiffré mardi à "quelques centaines de milliers d''euros par université" les dégâts commis lors des occupations.
"Les universités seront obligées de prendre ça sur leurs projets d''investissements", a-t-il *** sur France Inter.
A Nantes, les dégâts sont évalués de 40.000 à 50.000 euros et à Rennes 2 à environ 100.000 euros, ont pour leur part estimé les présidences des deux universités.
Côté examens, Yannick Vallée, responsable de la Conférence des présidents d''universités, n''exclut pas un décalage de trois à quatre semaines dans la plupart des universités. Il considère que l''essentiel des cours pourra être rattrapé grâce à des aménagements et que "tout sera terminé d''ici le 14 juillet".
Dans les universités qui ont été fortement perturbées, certains examens pourraient être repoussés à septembre, a pour sa part déclaré dimanche le ministre délégué à l''Enseignement supérieur, François Goulard.