Theo dòng thời sự ?-? Disparition d'un avion Air France, plus de 200 passagers étaient à bord (p.29-

Quả đấy bị em papparazi nhé
khiếp, các anh chị buôn kinh quá cơ tranh thủ có vụ Clearstream đang HOT nên em nhờ topic này của bác Bô bác nào thích buôn về vụ đấy thì vào đây ah (em chuyển các bài liên quan từ NEWS sang)
Được philippe sửa chữa / chuyển vào 18:32 ngày 10/05/2006

Thủ tướng Pháp bị nghi ngờ có dính líu đến một âm mưu nhằm bôi nhọ thanh danh của Bộ trưởng Nội vụ Sarkozy hòng cản đường ông này ra tranh cử Tổng thống vào năm 2007. Phe đối lập tỏ vẻ hoài nghi và cho rằng Sarkozy tự dựng ra màn kịch này, làm mình làm mẩy để tranh thủ sự cảm thông, và kèm theo đó là phiếu bầu, của dân Pháp.
Clearstream: Villepin et Sarkozy tentent de faire baisser la tension
http://fr.news.yahoo.com/27042006/5/clearstream-villepin-et-sarkozy-tentent-de-faire-baisser-la-tension.html
jeudi 27 avril 2006, 22h28

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PARIS (AP) - L''affaire Clearstream créée un vent de panique à la tête du gouvernement. Tandis que la presse multiplie les révélations sur cette manipulation visant Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin, désireux de faire baisser la tension, s''est expliqué jeudi sur son propre rôle en révélant avoir commandé une enquête en janvier 2004 sur le dossier des frégates de Taïwan, avant que l''affaire n''éclate.
De son côté, Nicolas Sarkozy a déclaré jeudi soir sur TF1 qu''il aurait "aimé être informé" plus tôt de son innocence dans l''affaire. Les deux rivaux se sont expliqués lors d''un déjeuner à l''Hôtel Matignon.
Depuis 2004, Nicolas Sarkozy soupçonne Dominique de Villepin, ministre de l''Intérieur à l''époque, de ne pas lui avoir communiqué immédiatement les résultats d''une enquête de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Cette enquête commandée par le ministre concluait que le listing adressé à la justice la même année par un mystérieux corbeau, et mettant notamment en cause M. Sarkozy pour des comptes occultes détenus à l''étranger via la société luxembourgeoise Clearstream, était un faux.
Cette liste de comptes et de leurs supposés titulaires a été reçue en juin 2004 par le juge Renaud Van Ruymbeke, chargé de l''enquête sur les frégates de Taïwan. Parmi les supposés titulaires sont cités les noms de Dominique Strauss-Kahn, Jean-Pierre Chevènement, Alain Madelin et Nicolas Sarkozy. Un mois plus tôt, le même juge avait reçu une lettre anonyme affirmant que Clearstream blanchissait de l''argent. Depuis, les juges parisiens Jean-Marie d''Huy et Henri Pons, chargés du dossier, tentent d''identifier le mystérieux corbeau.
Cette ténébreuse affaire provoque depuis quelques jours de vives tensions au sein du gouvernement dans le contexte de la pré-campagne présidentielle.
Michèle Alliot-Marie a démenti mercredi les informations de l''hebdomadaire "L''Express" selon lesquelles elle a été informée dès le début de l''année 2004, c''est-à-dire avant les juges, que le listing était une manipulation.
Jeudi, Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, visiblement préoccupés par les conséquences politiques de cette affaire explosive, ont tenté à leur tour de faire baisser la température. Le ministre de l''Intérieur, partie civile dans le dossier, a assuré dans un entretien au "Monde" qu''il ne fera "aucun procès d''intention à quiconque" et qu''il faisait "confiance à la justice".
En écho, le Premier ministre a publié un communiqué pour dénoncer "les rumeurs et les procès d''intention visant l''Etat, les institutions et les services de renseignement" et souhaiter que "toute la lumière soit faite" pour "faire droit aux personnes qui ont été injustement citées et qui se sentent légitimement blessées".
Au passage, Dominique de Villepin a affirmé avoir fait transmettre à la justice "toutes les conclusions portées à sa connaissance en tant que ministre de l''Intérieur". En clair, le résumé du rapport de la DST.
Quelques minutes plus tard, Nicolas Sarkozy arrivait à Matignon pour déjeuner avec le Premier ministre "dans un très bon climat" selon Matignon.
L''affaire Clearstream a bel et bien été au menu, a confirmé Nicolas Sarkozy dans la soirée sur TF1. "Dominique de Villepin, et je lui en suis reconnaissant, m''a indiqué ce qu''il allait dire dans ''Le Figaro'' demain sur ce sujet", a précisé le ministère de l''Intérieur.
Le Premier ministre y révèle avoir été "informé de rumeurs liées aux frégates de Taïwan" lorsqu''il était ministre des Affaires étrangères et avoir demandé en janvier 2004 au général Rondot, chargé de la coordination du renseignement au ministère de la Défense, "de faire procéder aux vérifications nécessaires". Cette enquête a été à l''origine des perquisitions menées récemment par les juges en charge du dossier au ministère, à la DGSE, au siège d''EADS et au domicile du général Rondot.
"Aucune information précise n''a pu être recueillie à l''appui de ces rumeurs. Aucun document d''étape ne m''a été remis et les conclusions m''ont été présentées verbalement à l''automne 2004", poursuit Dominique de Villepin.
Le Premier ministre assure que la mise en cause des personnalités politiques par le mystérieux "corbeau" constitue "un aspect différent" de l''affaire.
Par cette mise au point, Dominique de Villepin espère avoir désamorcé une affaire bien embarrassante pour lui, alors qu''il tente de rebondir après son échec sur le CPE.
Reste que cette affaire pourrait connaître d''autres développements spectaculaires dans les prochains jours. Selon "Le Parisien/Aujourd''hui", le parquet de Paris n''exclut pas une perquisition du bureau du Premier ministre. AP

Thủ tướng Pháp đối mặt với nguy cơ bị buộc phải từ chức do vụ việc Clearstream
L''affaire Clearstream relance les spéculations sur un départ de Villepin
http://fr.news.yahoo.com/29042006/202/l-affaire-clearstream-relance-les-speculations-sur-un-depart-de.html
samedi 29 avril 2006, 17h04
PARIS (AFP) - Les révélations sur l''affaire Clearstream ont relancé les spéculations sur un possible départ de Matignon de Dominique de Villepin, déjà très affaibli par la crise du CPE.
Le Premier ministre "ne peut pas durer longtemps", avancent de nombreux élus, y compris au sein de l''UMP, vu l''accumulation des difficultés: échec du CPE, majorité divisée, sondages au plus bas et, désormais, l''enquête Clearstream pour "dénonciation calomnieuse" devenue affaire d''Etat.
"Dans cette histoire, Dominique de Villepin a perdu ce qui lui restait de plumes après le CPE", commentait samedi un élu UMP, sous couvert d''anonymat.
Le chef du gouvernement a dû se défendre vendredi d''avoir ordonné en 2004 une enquête sur d''éventuels comptes occultes à l''étranger de son rival Nicolas Sarkozy. Selon le journal Le Monde, le général Philippe Rondot, spécialiste du renseignement à la Défense, l''aurait ainsi mis en cause auprès des juges chargés du dossier. Or le général Rondot lui-même dément dans certains médias cette version des faits, disant se sentir "instrumentalisé" et affirmant que Villepin ne lui a jamais demandé de "prendre pour cible" le président de l''UMP.
Pour autant, de nombreux élus de la majorité font état du "désarroi" de leur électorat, déjà marqué par l''échec du CPE et "horrifié" par cette nouvelle affaire qui ravive et expose les divisions au sein de l''UMP.

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Villepin và Sarkozy luôn trong tâm trạng "bằng mặt mà không bằng lòng" vì cả hai đều muốn trở thành Tổng thống Pháp vào năm 2007​

Ainsi, selon un élu sarkozyste, "la messe est ***e" pour Dominique de Villepin. "La crédibilité du Premier ministre est en train de s''effondrer. Je ne vois pas comment il peut rester à Matignon, la situation n''est pas tenable".
"Je ne vois pas comment Villepin peut s''en sortir, mais il ne voudra pas partir", renchérit un autre sarkozyste, tandis que l''un de ses collègues constate: "On est dans une période d''apesanteur".
"Villepin ne bougera pas de lui-même - on a vu qu''il était capable de ne pas bouger sur le CPE - mais de très nombreux élus UMP souhaitent son départ", avance un autre élu UMP, qui ne se réclame d''aucune mouvance.
Plusieurs ministres et sources proches du gouvernement, interrogés par l''AFP, écartaient samedi l''hypothèse d''une démission de M. de Villepin, rapportant cependant que le ministre de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo, "se démenait" pour lui succéder et que "ça faisait marrer à Matignon et à l''Elysée".
Outre l''hypothèse d''une démission, certains mettent en avant l''éventualité d''un remaniement gouvernemental pour permettre au Premier ministre de se remettre en selle. L''Elysée a démenti fermement samedi cette éventualité et M. de Villepin, dans le Figaro de samedi, a répliqué ne pas en "voir la nécessité".

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Từ nhiều năm nay, Chirac và Villepin luôn bàn mưu tính kế để cản đường và hãm hại Sarkozy (ảnh chụp mang tính minh hoạ tại Reims ngày 30/08/2005)​

"Je n''y crois pas", a affirmé samedi à l''AFP Hervé Mariton, un député proche du Premier ministre. Clearstream, c''est d''abord à ses yeux "une affaire militaro-industrielle autour de laquelle l''imagination se déploie", des "supputations de manipulation où l''on ne sait plus qui manipule qui".
"La majorité et le gouvernement doivent rester concentrés sur l''essentiel, ne pas se laisser abattre", a-t-il plaidé, se montrant confiant que "le Premier ministre allait remettre les choses à leur juste dimension".
Le villepiniste Georges Tron a appelé aussi à "prendre de la distance", qualifiant les derniers remous de l''affaire Clearstream d''"extrapolations politiques".
Après deux semaines d''interruption des travaux parlementaires, Dominique de Villepin pourra mesurer mardi, lors de la réunion avec les députés UMP, l''état d''esprit de sa majorité.

Derrière l''affaire Clearstream, la guerre pour le pouvoir entre Villepin et Sarkozy
LE MONDE | 29.04.06 | 13h35
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-766865@51-757039,0.html
Ce jeudi 27 avril, ils sont cinq autour de la table. Dominique de Villepin est venu avec son directeur de cabinet, Pierre Mongin, et son conseiller, Bruno Lemaire. Nicolas Sarkozy, avec son ami politique le plus fidèle, le ministre Brice Hortefeux. C''est l''un de ces étranges déjeuners entre gens qui se fréquentent, se mesurent et parfois se haïssent. Mais "l''atmosphère, assure sans sourciller M. Hortefeux, était détendue et chaleureuse". Depuis une semaine, la compétition acharnée qui oppose Dominique de Villepin à Nicolas Sarkozy a pris un tour violent avec les développements de l''affaire Clearstream. Alors, "détendue et chaleureuse"...

En tout cas, Clearstream est au menu. Depuis qu''il a appris, à l''été 2004, qu''un "corbeau" l''avait placé sur une liste de personnalités supposées détenir des comptes occultes à l''étranger, envoyée aux juges, Nicolas Sarkozy cherche tout haut "trois choses" : 1) Est-ce un coup monté ? 2) D''où vient-il ? 3) Est-ce une manipulation politique ? Depuis, il a quasiment répondu à ces questions en accusant Dominique de Villepin d''avoir, au minimum, cherché à exploiter l''affaire pour le déstabiliser, lui, le candidat à la présidentielle que la Chiraquie voudrait éviter. Lors du déjeuner, les cinq hommes ne parlent que de "ça". M. de Villepin jure qu''il n''est pour rien dans l''histoire, que l''enquête sur les listings du corbeau a d''abord été menée par Michèle Alliot-Marie. La veille, justement, avant le conseil des ministres, M. Sarkozy s''est durement expliqué avec la ministre de la défense. Sarkozy met en garde Villepin : mieux vaut faire toute la lumière entre nous et espérer que l''affaire s''arrête effectivement au ministère de la défense, comme l''assure le premier ministre.
"Atmosphère détendue et chaleureuse"... Depuis des mois, il est clair pour toute la droite que la bataille entre les deux hommes se déroulera jusqu''au dernier sang. Clearstream en est la démonstration la plus spectaculaire, mais elle n''est pas le seul motif. Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin se battent pour la conquête de la présidence de la République en 2007, mais aussi la vengeance d''un passé qui, depuis l''affrontement fratricide Chirac-Balladur, douze ans plus tôt, les a déjà opposés dans leurs rôles de stratèges respectifs des deux candidats.
Depuis 2002, et plus encore depuis que Dominique de Villepin croit pouvoir être le dauphin de Jacques Chirac, les deux hommes cherchent à s''éliminer. "Villepin aime Sarkozy faible, Sarkozy ne peut supporter un Villepin fort", résume un ministre. Déjà, lors de la guerre Chirac-Balladur, ils se sont aiguisé les dents l''un contre l''autre. Villepin, alors directeur de cabinet du ministre des affaires étrangères Alain Juppé, observait Sarkozy de son bureau du Quai d''Orsay, bien décidé à faire mordre la poussière à celui qu''il appelait "le roquet". M. Sarkozy, lui, a sans doute longtemps sous-estimé les ambitions et la dangerosité politique de M. de Villepin. Mais les deux hommes ont ensuite choisi de mettre leur mouchoir sur cette bataille. Et c''est Villepin qui a réintroduit Sarkozy dans le cercle élyséen en 1999.
La lune de miel aura été de courte durée. Dès la réélection de Chirac en 2002, M. de Villepin conçoit l''ambition d''être bientôt premier ministre et, sans doute, de tenter sa chance à l''Elysée. En attendant, il obtient de M. Chirac de remplacer Nicolas Sarkozy au ministère de l''intérieur, en 2004, et déclenche la vraie guerre. Leur bataille porte sur tout : les arbitrages budgétaires, les choix politiques, la stratégie "vendue" régulièrement au président de la République. Au lendemain des élections régionales de 2004, alors que Dominique de Villepin fait mine de plaider pour une éventuelle nomination de Nicolas Sarkozy à Matignon, celui-ci grince devant ses conseillers : "C''est pour mieux me griller."
"?A Y EST ! ON LE TIENT !"
Quand l''affaire Clearstream commence, avec la publication d''un article dans Le Point, en juillet 2004, Sarkozy, qui n''a rompu avec aucun de ses réseaux dans la police et le renseignement, soupçonne Villepin de le faire surveiller. M. de Villepin, lui, exulte devant le premier ministre, Jean-Pierre Raffarin : "?a y est ! On le tient !", ***-il de Sarkozy. Le 15 octobre 2004, les deux rivaux ont une explication sur Clearstream dans le bureau de Villepin, place Beauvau, en présence du directeur de la DST, Pierre Bousquet de Florian. Dominique de Villepin en sort en pensant "avoir dissipé tout malentendu". Sarkozy, lui, reste convaincu que des choses restent cachées, et que le directeur de cabinet de Villepin, Pierre Mongin, l''a fait écouter sur sa vie privée.
Un an plus tard, lorsque Nicolas Sarkozy revient au ministère de l''intérieur, en juin 2005, il explique : "Je serai mieux protégé au ministère de l''intérieur que par les permanents de l''UMP." Quelques semaines plus tard, lorsque sa femme Cécilia le quitte, on lui rapporte chaque jour que Villepin se réjouit devant ses interlocuteurs de ses malheurs conjugaux. Pendant l''été 2005, Sarkozy, qui ne pense plus qu''à Clearstream, dira - selon Franz-Olivier Giesbert dans La Tentation du président (Grasset) : "Un jour, je finirai par retrouver le salopard qui a monté cette affaire et il finira sur un crochet de boucher !" La nomination de Villepin à Matignon va encore exacerber la bataille. Ni la crise dans les banlieues ni les manifestations contre le CPE ne peuvent détourner les deux hommes de leur compétition. Nicolas Sarkozy a prévenu ses proches : "Entre lui et moi, ce sera une lutte jusqu''à ce que mort s''ensuive."
Raphaëlle Bacqué et Philippe Ridet

Mặc dù Phủ Tổng thống Pháp liên tục bác bỏ những lời đồn đại, chính giới Pháp vẫn đang rỉ tai nhau về việc Villepin sẽ sớm phải rời khỏi Điện Matignon
Malgré les démentis, la succession de Villepin au coeur des rumeurs
http://fr.news.yahoo.com/10052006/202/malgre-les-dementis-la-succession-de-villepin-au-coeur-des.html
mercredi 10 mai 2006, 17h01

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PARIS (AFP) - L''Elysée et Matignon ont beau répéter que le départ de Dominique de Villepin n''est pas d''actualité, les noms de successeurs potentiels ne cessent de circuler ces derniers jours, à la faveur du scandale Clearstream.
Dans une déclaration solennelle, et inhabituelle, à l''issue du Conseil des ministres, Jacques Chirac a dénoncé mercredi, sans citer l''affaire Clearstream, "la dictature de la rumeur" et surtout tenu à endiguer les spéculations sur le remplacement du Premier ministre.
Il l''a assuré de sa "confiance" pour "conduire la mission" confiée voilà 11 mois, lui demandant même "d''accélérer son action".
"Villepin ne peut pas tenir plus que quelques semaines", affirme pourtant un responsable de l''exécutif.
"Chirac a voulu siffler la fin de la récré. Ca peut tenir un peu, mais ça n''évacue pas la question du départ de Villepin à l''horizon de quelques semaines", décrypte une source gouvernementale.
L''ambiance de règlements de comptes au sein du gouvernement fait qu''une "cohabitation des numéros un, deux et trois" (Villepin, Sarkozy et Alliot-Marie) ne pourra pas, selon cette source, durer "indéfiniment".
Et si, bien entendu, aucun prétendant à Matignon ne s''est déclaré, plusieurs noms circulent dans la presse et le microcosme politique, à commencer par celui de Nicolas Sarkozy lui-même. Outre que l''on ne connaît pas la position réelle de l''intéressé sur cette éventualité, sa nomination sonnerait le glas du règne chiraquien.
Le centriste Jacques Barrot a été fréquemment évoqué. Mais le commissaire européen assure ne "pas se poser la question" car, ***-il, il n''a "pas l''habitude d''abandonner le travail qu''on lui a donné".
Antoine Rufenacht, directeur de campagne de M. Chirac en 2002, pourrait aussi faire un Premier ministre "de compromis", selon un élu UMP. "Un peu court", tranche un autre.
Pour Jean-Louis Borloo, Matignon serait une consécration. Mais, malgré sa fibre sociale, il ne fait pas partie de la famille chiraquienne et son côté "électron libre" ne semble pas faire l''unanimité. "Je ne rêve de rien", a-t-il martelé mercredi à des journalistes.
Coiffée sur le poteau en mai 2005, Mme Alliot-Marie est très populaire dans son camp. Mais l''ancienne présidente du RPR ne serait plus une alternative crédible, affaiblie par le fiasco du Clemenceau et l''affaire Clearstream.
La nomination de Jean-Louis Debré sonnerait, elle, comme une déclaration de guerre contre les sarkozystes tant les prises de position anti-Sarkozy du président de l''Assemblée rendent un compromis impossible avec le président de l''UMP.
Reste aussi la carte de la jeune garde, avec François Baroin (40 ans) ou Jean-François Copé (42 ans), dépourvus toutefois de poids politique.
Toutes ces rumeurs font désormais sourire à Matignon. "On n''est plus du tout dans l''hypothèse" du départ de Villepin, affirmaient mercredi ses proches, reconnaissant implicitement que la question s''est donc bien posée. A Matignon, on veut croire que la tempête Clearstream est passée.
Après être monté au front contre "une campagne de calomnie", M. de Villepin a changé de tactique et fait fi du "tumulte" de l''affaire Clearstream, se projetant délibérément dans l''avenir avec un agenda bien rempli.
Et si le PS défend mardi une motion de censure, François Hollande ne semble plus croire à un limogeage, du moins immédiat, de M. de Villepin, regrettant que le chef de l''Etat ait "confirmé" le Premier ministre.

Cho em hỏi 1 câu với, thế nếu M. Sarkozy mà lên làm Tổng thống thì đối với người VN mình, đặc biệt là SV VN sẽ có lợi, có hại ở những điểm nào ?
Merci các bác
Được khanhfrance sửa chữa / chuyển vào 22:58 ngày 11/05/2006

Sarko nó mới làm bộ trưởng BNV thôi mà chúng em đã vỡ mặt vì giấy tờ rồi Lên tiếp thì chúng em đứt Lợi chả biết ở đâu răng riếc chúng e rụng hết cả rồi
tsb sarko, tsb vi lơ, tsb chirac
Được taminh sửa chữa / chuyển vào 23:46 ngày 11/05/2006

Hix, thế thì mệt rồi, càng ngày càng khó. Thế nhưng cái knăng này có nhiều ko ah ?
Em spam 1 tí, có j bác philippe mâu sau nhé.
Được khanhfrance sửa chữa / chuyển vào 00:44 ngày 12/05/2006

theo em thì dù Sarko lên hay ko thì chính sách nhập cư cũng sẽ ngày càng chặt chẽ hơn ; cũng phải thông cảm thôi vì bây h Pháp nó loạn quá rồi. Tuần trước QH Pháp vừa thông qua Luật Sarko về kiểm soát nhập cư đấy ; tinh thần là chỉ khuyến khích nhân lực tay nghề, trình độ cao : sinh viên từ master trở lên thì được ưu đãi và carte de séjour có thể dùng để đi làm luôn. Còn việc đoàn tụ gia đình và nhất là ở lại sinh sống lập nghiệp lâu dài thì nghe chừng là hơi khó. Không biết là bao giờ sẽ áp dụng luật mới.

vàng 2 : có spam hay lạc đề j` đâu mà phải mâu đi chỗ khác ah em chuyển cái này vào đây để mọi người bàn luận về những tin tức thời sự nóng hổi thôi mà (giật gân càng tốt)
vàng 1 : trước vụ Clearstream thì nhiều, bây h thì in ít đi 1 tí. Nói chung là chính trường ngổn ngang, các phe cánh đáng giết nhau hỗn loạn, kinh tế đi xuống, xã hội ảm đạm, thất nghiệp tràn lan, xung đột, bạo lực gia tăng thì chỉ có lợi cho các đảng cực tả và cực hữu, nhất là FN . UMP và PS mà cứ như bordel cả thế này thì chả mấy chốc Le Pen lên làm Tổng thống