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Theo dòng thời sự ?-? Disparition d'un avion Air France, plus de 200 passagers étaient à bord (p.29-

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi Le_Plus_Beau_new, 13/03/2006.

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  1. niklas

    niklas Thành viên mới

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    Trong khi các ứng cử viên cánh tả ra sức dè bỉu, bêu riếu nhau ngay trước thềm cuộc tranh luận đầu tiên trên truyền hình vào tối nay, không khí bên cánh hữu cũng náo nhiệt không kém với các cú bới móc, tỉa tót giữa phe Chirac và phe Sarkozy
    Bernard Accoyer: il faut mettre un "point final" aux "chicailleries" à l''UMP
    http://fr.news.yahoo.com/17102006/5/bernard-accoyer-il-faut-mettre-un-point-final-aux-chicailleries.html
    mardi 17 octobre 2006, 9h01
    PARIS (AP) - Après la polémique suscitée dimanche par les propos de Jean-Louis Debré, le président du groupe UMP à l''Assemblée nationale Bernard Accoyer a estimé mardi qu''il fallait que toutes "ces ''chicailleries'' (sic) cessent".
    "Je pense que ces petites phrases, ces attitudes de division, c''est exactement ce qu''il faut que nous cessions et que nous y mettions un point final" a estimé le député de Haute-Savoie sur RTL, expliquant qu''il avait rencontré lundi des électeurs ainsi que des députés UMP. "Tous ne souhaitent qu''une chose: que toutes ces ''chicaillas'', ces ''chicailleries'' cessent".
    "Nous voulons au contraire nous rassembler (...) mettre un point final à ce genre d''attitude qui est la machine à perdre" a résumé l''élu UMP, appelant à l''unité du parti.
    Estimant que le débat était "nécessaire", comme dans toutes les formations politiques et d''autant plus "dans une grande formation politique", il a cependant jugé: "Je préfère toujours qu''il ait lieu en interne, qu''il soit entre nous plutôt qu''il se déroule par petites phrases polémiques dans la presse auxquelles malheureusement souvent on répond. Et on entre dans un enchaînement qui est mauvais pour l''unité."
    Il a précisé qu''il était aller discuter avec Jean-Louis Debré : "Ca a été un échange franc (...) qui a débouché sur une vision commune : nous ne voulons en aucun cas faire perdre notre camp".
    Dans une interview publiée par "Le Journal du Dimanche", le président de l''Assemblée nationale Jean-Louis Debré avait fortement critiqué Nicolas Sarkozy, l''accusant de multiplier "les provocations et les attaques incessantes contre le gouvernement et le président de la République".
  2. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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    Các đối thủ chính trị trong và ngoài phe hữu tập trung công kích Sarkozy, kẻ "gieo gió, gặt bão"
    A six mois de la présidentielle, les nuages s''accumulent au-dessus de Sarkozy
    http://fr.news.yahoo.com/16102006/202/a-six-mois-de-la-presidentielle-les-nuages-s-accumulent.html
    Par Nadège PULJAK
    lundi 16 octobre 2006, 19h46

    PARIS (AFP) - Violences dans les banlieues, inflexion dans les sondages, attaques du camp chiraquien: à six mois de la présidentielle, les nuages s''accumulent au-dessus de Nicolas Sarkozy, plus que jamais déterminé à être le candidat UMP à l''élection reine de la Ve République.
    Outre les attaques venues des chiraquiens, M. Sarkozy doit faire face aux socialistes qui l''accusent, après les violences du week-end en Seine-Saint-Denis et dans l''Essonne, d''avoir "créé du désordre" dans les banlieues.
    "Il n''y a plus de ministre de l''Intérieur", car M. Sarkozy est "en campagne électorale", a affirmé lundi Julien Dray, porte-parole du PS.
    "On ne peut pas soupçonner le ministre de l''Intérieur de ne pas être totalement mobilisé", a aussitôt répliqué Valérie Pécresse, porte-parole de l''UMP accusant le PS d''avoir "un comportement de pompier pyromane", ajoutant : "Vouloir souffler les bougies des émeutes des banlieues, ça peut conduire à souffler sur les braises".
    Qu''elles viennent de droite ou de gauche, les critiques contre M. Sarkozy sont intervenues alors que celui-ci connaît un léger tassement dans les sondages.
    Selon une enquête TNS Sofres pour le Figaro, RTL et LCI publiée lundi, Nicolas Sarkozy serait ainsi battu au second tour par Ségolène Royal (49% contre 51%). Il reste toutefois largement en tête des candidats de droite possibles au premier tour.
    Ces derniers jours, M. Sarkozy a dû faire face aux critiques des chiraquiens, les plus acerbes provenant, de nouveau, du président de l''Assemblée nationale.
    Dans une interview au Journal du dimanche, Jean-Louis Debré l''a ainsi accusé de mener des "attaques incessantes" contre le gouvernement et Jacques Chirac, et d''avoir une "entreprise de démolition".
    Réaction lundi de l''intéressé: "Les choses ne comptent qu''en vertu de l''importance qu''on leur accorde et je ne leur accorde aucune importance".
    Dans le camp chiraco-villepiniste, on assure que cette attaque de la part de M. Debré n''était "pas télécommandée". "Le fossé entre Nicolas Sarkozy et ses ennemis à l''UMP s''est creusé à 100% en un an", assure une personnalité de ce bord, évoquant "une cinquantaine de députés au centre desquels se situe M. Debré".
    "Les sentiments d''exécration par rapport à la personne de Sarkozy et de détestation par rapport à ses méthodes vont en se durcissant. Le système mis en place par Sarkozy à l''UMP est le plus clanique qu''on ait vu depuis vingt-cinq ans", affirme la même source.
    Des flèches ont également été décochées par le Premier ministre et le ministre de la Défense, qui ont tous deux évoqué une autre candidature que la sienne en 2007.
    Après avoir fait monter ses lieutenants au créneau la semaine dernière, M. Sarkozy a laissé les porte-parole de l''UMP, Valérie Pécresse et Luc Chatel, rappeler "les règles fixées collectivement" le 6 décembre 2005 lors d''un bureau politique -- auquel, rappellent-ils, participaient notamment MM. de Villepin, Debré et Mme Alliot-Marie.
    Selon ces règles, le candidat que "soutiendra" l''UMP doit être désigné par l''ensemble des adhérents et il ne devrait y avoir qu''un seul prétendant issu de ses rangs.
    Le sondage du week-end "doit nous alerter sur un certain nombre de points", a affirmé lundi M. Chatel: que "Nicolas Sarkozy est de loin dans notre famille politique celui qui est le mieux placé" pour 2007. Et que "l''éventualité d''une deuxième candidature à droite et au centre ne permet pas à notre famille politique de ratisser plus large et d''augmenter son score global".
    Conclusion: pour gagner, il faut être "unis". "L''adversaire, c''est la gauche", a affirmé M. Chatel.
  3. philippe

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    Libé bình luận về chiến lược tranh cử tinh quái của Ségolène Royal
    Politiques
    Ségolène Royal, une lame d''acier
    Par Alain DUHAMEL
    QUOTIDIEN : Mercredi 18 octobre 2006 - 06:00
    http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/211270.FR.php
    Il faudrait être de mauvaise foi pour le contester : dans la bataille pour l''investiture présidentielle, Ségolène Royal se montre depuis des mois d''une cohérence absolue, d''une logique implacable, d''une détermination granitique, d''une confiance en elle inébranlable. Elle ne confirme pas seulement une virtuosité sans égale ­ à gauche ­ dans la promotion de son image personnelle, dans l''art de faire scintiller la lumière et brûler l''encens à ses pieds, comme s''y emploient avec constance le gros de la presse et la quasi-totalité des médias, soudain métamorphosés en cérémoniaires éblouis (sa dernière interview à TF1 relevait même du culte païen). Elle démontre aussi une science du moment, une intuition tactique, voire un véritable sens stratégique que pratiquement personne ­ mea culpa ­ ne lui connaissait jusqu''ici.
    Ségolène Royal est une lame d''acier.
    Elle a compris, mieux que quiconque, que les adhérents du PS n''allaient pas désigner dans quatre semaines un ou une présidente, mais un ou une candidate. Il ne s''agit donc pas de convaincre, mais de plaire, pas d''expliquer, d''exposer, de détailler, mais d''évoquer, d''effleurer, d''éveiller un écho. Ségolène Royal joue logiquement des symboles, des allusions, des sentiments, surtout pas des dossiers, des options, des engagements. C''est une candidature terriblement efficace parce que c''est une candidature méthodiquement allusive qui mobilise la subjectivité, l''implicite, sans jamais se découvrir. Ainsi a-t-elle su réussir une percée éclair au moment où les hiérarques socialistes ­ François Hollande en tête ­ reprenaient leur souffle au lendemain d''un congrès laborieux. Elle qui ne s''est jamais mêlée de la vie interne du PS a donc pu alors apparaître comme une alternative fraîche et neuve, féminine et différente aux pénibles bras de fer qui transformaient les combats de courants en défis de comptoirs. De même avait-elle démontré, auparavant, comment on construit une popularité enviable en préparant soigneusement de rares et brèves interventions, toujours télévisées, tache pastel iné***e au milieu des tristes couleurs masculines. Au lendemain du triomphe socialiste aux élections régionales, on ne remarquait qu''elle sur les photos, image symbolique de la victoire effaçant littéralement la vingtaine de figurants gris sombre, tout aussi valeureux qu''elle, mais désormais destinés à être rejetés dans l''ombre par la bénéficiaire d''un succès collectif qui, en bonne justice, aurait dû, en priorité être attribué au Premier secrétaire. Ségolène Royal est une grande professionnelle de la communication politique.
    Ainsi, ayant pris l''ascendant avant même que s''engage vraiment la bataille de l''investiture, a-t-elle fait le choix de la campagne la plus laconique et la mieux verrouillée. Puisqu''elle a la popularité, qu''elle draine la sympathie, pourquoi diable prendre le risque d''exposer ses intentions, pourquoi courir le péril d''avouer ce qu''elle voudrait faire ? Ségolène Royal a des valeurs et des convictions ­ notamment une foi d''airain en elle-même ­, elle le répète et cela doit suffire. Les malheureux qui, au départ, auraient voulu en savoir plus et s''aventuraient à lui poser des questions aussi brutales que «Quelle décision prendriez-vous sur le Liban ?» (ou l''Irak, ou la Corse, ou les institutions européennes, ou la Turquie bien sûr) se voyaient rembarrés de belle manière. N''y avait-il pas là l''aveu d''une irrépressible misogynie ? S''inquiéter d''une diagonale du flou aussi délibérée, n''était-ce pas lui manquer de respect ? Sur tous sujets, sur tous terrains, elle a depuis maintenu cette ligne infranchissable d''une poigne de fer.
    A Lens, elle a fait le service minimum avec le sourire maximum. Dès qu''il s''est agi de débattre avec ses deux concurrents rescapés, elle s''est récriée. Pourquoi s''affronter, pourquoi s''interpeller, pourquoi s''affaiblir avant le combat décisif contre Nicolas Sarkozy, puisque dans son esprit les jeux sont faits ? Faute d''avoir pu empêcher la confrontation (le bureau du PS a eu la rare intrépi***é de lui tenir tête), elle a exigé de le corseter comme le faisait l''ORTF durant la préhistoire de la télévision. Les questions seront donc connues d''avance, ce qui garantit les réponses les plus convenues et les plus inoffensives. La démocratie de participation, chère à Ségolène Royal, ne risque pas de tourner à l''anarchie.
    Il y a, derrière cette séduction cadenassée et cette popularité barricadée, une tentation de la démagogie qui affleure. Pour choisir le candidat ou, de préférence, la candidate, fiez-vous à sa bonne mine, admirablement photographiée. Pour les détails secondaires, voyez le projet du PS, adopté par tous et qui ne casse pas trois pattes à un canard. Pourquoi s''engager plus avant quand il suffit de proclamer «Mon opinion est celle du peuple français» et de prôner la multiplication de référendums d''initiative populaire ? Ainsi pourrait-on inaugurer une présidence de ratification.
    Evidemment, avec ce schéma, la peine de mort n''aurait jamais été abolie, les réformes ingrates resteraient toutes à faire, et l''on imagine aisément ce que donnerait une consultation sur l''immigration, la justice ou la sécurité. Avec la démocratie d''opinion, avec la République ségolénienne, le chef de l''Etat ne s''engage pas, n''explique pas, n''éclaire pas, n''ouvre pas la voie. Il recueille l''opinion populaire de l''instant (elle varie souvent), il la promeut, il la sacralise. Inutile de prendre le risque de décisions impopulaires quand il suffit d''accrocher le tender présidentiel à la locomotive de l''opinion.
    © Libération
  4. niklas

    niklas Thành viên mới

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    Còn đây là một đánh giá về chiến lược tranh cử của Sarkozy
    http://fr.news.yahoo.com/18102006/326/des-sondages-quelque-peu-preoccupants-pour-nicolas-sarkozy.html
    [...]Nicolas Sarkozy reste confronté au dilemme qui se pose à la droite néo-gaulliste depuis près de vingt ans : marcher sur les terres frontistes afin de se garantir un bon report de voix lepénistes, ou porter un discours plus modéré pour séduire ce fameux marais centriste qui fait basculer une élection. En développant, depuis la crise du CPE, un discours de plus en plus social-républicain, on peut penser qu''il tente une sorte de syncrétisme dans lequel ces deux franges de l''électorat retrouveraient chacune une part de leurs aspirations, sociales pour les électeurs centristes, autoritaires pour les lepénistes.
    Cette stratégie marchera-t-elle jusqu''au moment de l''élection ? Rien n''est moins sûr. En en faisant toujours un peu trop, ses idées n''excitent plus, ni convainquent, mais finiront par décevoir les uns et agacer les autres. Et le pire, c''est qu''on n''en est qu''au début, de ce feuilleton médiatico-politique...
    Un site utile sur les sondages et les tendances de l''opinion publique au fil de la campagne présidentielle :
    http://www.election-presidentielle.fr/
  5. taminh

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    "Grand oral" de présidentiables socialistes au Zénith

    [​IMG]
    PARIS (Reuters) - A trois semaines du vote des militants, les présidentiables socialistes poursuivent leur exercice de différenciation jeudi soir à Paris, loin des caméras mais sous l''oeil de plus de 5.000 personnes.
    Devant l''engouement suscité par cette primaire iné***e, le deuxième meeting régional après Clermont-Ferrand a été transféré de la salle de La Mutualité, qui peut accueillir 3.000 spectateurs, vers le Zénith, dont la capacité assise atteint 6.000 places.
    Après le meeting auvergnat de la semaine dernière, l''effet comparatif devrait jouer plus nettement entre les trois candidats, Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn et Ségolène Royal, qui sont attendus vers 20h dans le XIXe arrondissement.
    Après d''ultimes négociations, leurs équipes se sont entendues sur le fait qu''ils répondraient aux trois mêmes questions, sur les banlieues, la précarité et l''Europe.
    Si les présidentiables sont d''accord, une question subsidiaire pourrait être ajoutée sur la démocratie et les institutions, a-t-on appris jeudi auprès du PS.
    Le cas échéant, le débat pourrait de nouveau se focaliser sur les "jurys de citoyens" proposés par Ségolène Royal, que ses deux adversaires ont sévèrement critiqués mardi soir, lors du deuxième débat télévisé.
    Selon un sondage CSA pour Le Parisien, 59% des Français sont favorables à l''idée de la présidente de Poitou-Charentes, contre 34% qui la désapprouvent.
    PATTE BLANCHE
    Dans un entretien au quotidien gratuit 20 Minutes, Ségolène Royal persiste. De tels jurys auraient permis à la droite d''éviter la crise du CPE au printemps dernier, souligne-t-elle.
    Au Zénith, les postulants ne pourront toujours pas s''interpeller et occuperont successivement la tribune à partir de 20h30. L''ordre a été déterminé par tirage au sort, Laurent Fabius en premier, puis Ségolène Royal et Dominique Strauss-Kahn.
    Après un rapide "tour de table", caméras et enregistreurs devront à nouveau quitter la salle.
    Au total, les huit fédérations socialistes de la région parisienne comptent 43.000 adhérents, dont près de 20.000 à Paris.
    Pour contenir le flot, la direction du PS a demandé aux militants de se présenter avec leur carte à l''entrée de la salle de concert.
    La consigne semblant difficile à respecter pour les nouveaux adhérents, qui ont rejoint le PS via internet, il leur a été recommandé de se munir d''une copie de l''"Hebdo des socialistes", le magazine interne envoyé à tous les militants, anciens ou nouveaux.
    Les adhérents doivent élire leur candidat à l''Elysée le 16 novembre. Le cas échéant, un deuxième tour est prévu le 23.
    Pendant les trois semaines à venir, il reste un débat télévisé, consacré le 7 novembre aux questions internationales, et un meeting régional, le 9 novembre à Toulouse.
  6. niklas

    niklas Thành viên mới

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    Ségolène Royal khó chịu và bực tức vì bị la ó trong buổi mít tinh với hội viên phe XH tại Paris
    Les militants "sanctionneront" le chahut du Zénith, pré*** Ségolène Royal
    http://fr.news.yahoo.com/27102006/5/les-militants-sanctionneront-le-chahut-du-zenith-pre***-segolene-royal.html
    vendredi 27 octobre 2006, 18h47
    [​IMG]
    PARIS (AP) - Ségolène Royal a estimé vendredi que les militants socialistes "sanctionneront" dans leur vote le comportement de ceux qui l''ont chahutée jeudi soir au Zénith.
    "Les militants n''apprécient pas ce genre de confrontation, ça leur rappelle les congrès ratés du PS. Ils ne veulent pas que la désignation de leur candidate ou de leur candidat ressemble ou soit mélangée à une opération d''appareil ou de congrès", a déclaré la présidentiable socialiste sur RTL. "Je pense qu''ils sanctionneront aussi ce type de comportement".
    La favorite des sondages, qui a été accueillie par des huées d''une partie de la salle au début de ce deuxième débat des présidentiables socialistes devant les militants, a souhaité que l''épisode ne se renouvelle pas, "ne serait-ce que pour l''image du PS".
    Ségolène Royal a cependant minimisé l''incident, estimant qu''il n''était pas organisé. "On me *** que c''est une spécificité parisienne", a-t-elle ***. Elle a espéré qu''il ne laisserait pas de traces dans la campagne. "Je pense qu''à Toulouse (NDLR: dernier débat devant les militants le 9 novembre) ça se passera très bien", a-t-elle pré***.
    "De mon côté, ça ne laissera pas de traces. Depuis le début de cette campagne, je suis la seule à ne pas déformer les propos des autres, à ne pas défendre aux attaques, à ne pas en proférer", a réaffirmé Ségolène Royal, qui prône la "République du respect". "Pour construire une politique du respect, il faut commencer par montrer l''exemple", a-t-elle ajouté.
    Ségolène Royal a jugé que le rassemblement des socialistes ne serait pas plus difficile après cet épisode. "Le moment venu, il y aura non seulement un rassemblement et aussi un formidable élan", a-t-elle pré***.
    "Il faut faire attention dans cette phase interne à ne pas s''abîmer mutuellement. Il va y avoir d''autres étapes devant nous. Compte tenu de cet avertissement et de la désapprobation des militants, les choses doivent maintenant se passer correctement", a néanmoins souligné la candidate à la candidature.
    Interrogée sur le sondage CSA/"Le Bleu de Profession politique" publié vendredi dans lequel sa cote chute de 15 points parmi les sympathisants socialistes, à 57%, Mme Royal a répondu qu''elle n''avait pas d''inquiétude. "Si je suis à 57%, c''est très bien", a-t-elle commenté. AP
  7. matthias

    matthias Thành viên mới

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    22/07/2006
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    Trái với không khí tẻ nhạt và giả tạo của hai cuộc tranh luận trên truyền hình cũng như trong cuộc gặp hội viên phe XH tại Clermont Ferrand mới đây, cuộc gặp tại Paris giữa 3 ứng viên cho ghế ứng viên phe XH vào ghế Tổng thống trong kỳ bầu cử sắp tới đã diễn ra trong bầu không khí căng thẳng và náo nhiệt, đôi khi quá mức cần thiết. Nhân vật luôn dẫn đầu trong các cuộc thăm dò dư luận liên tục bị huýt sáo, la ó phản đối. Điều này cũng dễ hiểu vì phe XH ở Paris vốn dĩ không ưa Royal là người theo họ đã buộc cựu Thủ tướng Jospin phải rút lui khỏi cuộc đua. Họ cũng không ưa Fabius là người đã từng hô hào bỏ phiếu chống dự thảo Hiến pháp châu Âu. Chỉ có DSK là hài lòng. Tuy nhiên, kinh nghiệm cho thấy, Paris bao giờ cũng bỏ phiếu ngược với xu hướng chung của cả nước. Lần này liệu kịch bản có lặp lại hay không ?
    Les militants brisent la quiétude du débat socialiste
    http://fr.news.yahoo.com/27102006/290/les-militants-brisent-la-quietude-du-debat-socialiste.html
    vendredi 27 octobre 2006, 9h41
    PARIS (Reuters) - Les militants parisiens ont mis plus d''ambiance au Zénith que lors des concerts organisés habituellement dans la salle parisienne.
    A trois semaines du vote, les camps des partisans de Laurent Fabius, Ségolène Royal et Dominique Strauss-Kahn se sont affrontés avant même le début du "débat régional", loin du silence respectueux qui les avaient accueillis une semaine auparavant à Clermont-Ferrand.
    20h45: plus de 5.500 personnes attendent les vedettes socialistes en retard lorsque des cris "Ségolène présidente" s''élèvent des gradins, donnant le coup d''envoi d''un match de plus de deux heures.
    Aussitôt, les sifflets des partisans de Dominique Strauss-Kahn et de Laurent Fabius montrent que la favorite des sondages n''a pas partie gagnée.
    Visiblement les plus nombreux, les supporters de Dominique Strauss-Kahn distribuent les mauvais points tout au long du "débat" dans un Zénith baignant dans une lumière rose pourtant apaisante.
    A la sortie du Zénith, de nombreux militants avaient l''air de supporters à la sortie d''un stade.
    "Ségolène a été la plus chahutée mais comme ses groupies sont les plus bruyantes, ça équilibre", estime Jérôme, adhérent socialiste depuis un an et demi.
    "TRES TRES CHAUD"
    "C''était très très chaud", reconnaît Franck, un militant âgé de 34 ans, "mais ça fait aussi partie de la démocratie, ça fait émerger des idées".
    "Je n''ai hué aucun des candidats et je n''apprécie pas du tout ça car l''un d''eux sera notre candidat et c''est ça qui est important", a-t-il ajouté.
    "J''hésitais encore beaucoup, c''est pour ça que je suis venu, il y a des choses qu''on sent dans les meetings et pas ailleurs" ajoute le jeune homme qui a finalement choisi Laurent Fabius "plus précis et plus sincère".
    Damien, étudiant de 23 ans, estime de son côté que si "Strauss-Kahn a été le plus applaudi c''est parce qu''il conforte les électeurs parisiens qui veulent entendre qu''ils vont rester l''élite qui délivrera la bonne parole au reste de la France".
    "Je suis conforté dans mon choix de Ségolène car il est indispensable que cette élection se joue avec tous les Français et pas seulement les militants de cette salle qui ont tous bac plus cinq ou six", a-t-il ajouté.
    Malgré l''ambiance chaude, voire violente, plusieurs militants ont néanmoins affiché leur confiance dans le futur rassemblement des socialistes.
    "En 1981, le combat entre mitterrandistes et rocardiens était d''une violence bien pire", explique Jean, un militant âgé de 54 ans. "On s''était rassemblés sans problème et là ce sera pareil il n''y aura plus de souci dès le lendemain de la désignation".
    "Mais je n''ai plus aucune hésitation vu la façon dont Ségolène Royal a été huée quand elle a *** qu''il ne fallait pas avoir peur du peuple. Je ne savais pas que chez les socialistes parler du peuple c''était vulgaire", a-t-il ajouté.
    Au Zénith, le peuple des militants a en tout cas montré qu''avant de s''unir il voulait se faire entendre.
    [​IMG]
    Les commentaires des présidentiables socialistes
    http://fr.news.yahoo.com/27102006/202/les-commentaires-des-presidentiables-socialistes.html
    vendredi 27 octobre 2006, 10h07

    PARIS (AFP) - Ségolène Royal considère que "la meilleure façon de recoller les morceaux" après la séance houleuse du Zénith, est "que les militants viennent massivement voter" le 16 novembre, parce que "c''est par cette réponse militante forte que nous pourrons oublier cet incident".
    Interrogée vendredi sur France Info, elle a estimé que "c''est mieux d''être élu au premier tour, quelles que soient les élections".
    "Rien ne doit être fait qui affaiblisse notre candidat ou notre candidate pour le combat principal qui est celui contre la droite, projet contre projet", a-t-elle ***. Mme Royal considère qu''il faut "renouer avec le pays profond" et qu''il "va falloir remettre le peuple français au coeur du projet des socialistes".
    "Je veux que cette campagne soit participative au sens où le projet des socialistes sera mis en débat parmi les citoyens qui vont venir voter. Il n''y a pas que les socialistes qui viennent voter à une élection présidentielle, et en même temps les militants socialistes doivent être des phares", a-t-elle ajouté.
    Selon elle, il faut qu''"au premier tour" de l''élection présidentielle, "il y ait beaucoup moins de candidats que ce ne fut le cas en 2002". "Donc il va falloir ouvrir le projet des socialistes vers les autres forces de gauche pour les rassembler le plus possible dès le premier tour, et ensuite au second tour", a déclaré Mme Royal.
    A l''issue du débat, au cours duquel Ségolène Royal a été plusieurs fois sifflé, Dominique Strauss-Kahn a déclaré jeudi soir: je n''ai qu''un regret c''est que vous (les journalistes) n''ayez pas été avec vos caméras dans la salle, peut-être que pour le troisième à Toulouse vous y serez. Je me suis senti un peu chez moi, parce qu''on est en Ile-de-France. C''est un débat de qualité qui a fait apparaître des personnalités différentes. Finalement ce débat dont certains craignaient qu''il nous divise ne nous divise pas. C''était courtois, et c''était utile. (Les sifflets ?) : Je n''ai pas tellement entendu de sifflets, ou alors c''était au moment ou j''étais assis peut-être, on a l''habitude des congrès au parti socialiste, les congrès sont autrement plus vivants. Là c''est gentil. On ne peut pas dire que la salle ait été à l''égard de quiconque agressive. La salle était sympathique pour tout le monde.
    Quant à Laurent Fabius, il a déclaré: "(sur les sifflets) ce n''est pas comme dans une église, si vous mettez 6.000 militants ensemble vous ne pouvez pas vous attendre à ce qu''ils ne montrent pas leurs réactions. Mais je pense qu''il est très important de se respecter les uns les autres et de se rassembler. Les militants qui étaient là ont vu qu''il y avait des différences d''accent sur un certain nombre de points entre les uns et les autres. Je suis très très favorable à ce qu''il y ait des débats maîtrisés. Ce qui est important c''est que les militants soient libres de leurs votes. On voit toute une série de sondages qui n''ont aucune signification. Ce ne sont pas les sondeurs qui doivent dicter les votes, c''est chaque militant dans sa consicence qui doit prendre sa position.
  8. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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    Đọc được bài này hay² nên post đại vào đây
    Cử tri ủng hộ ứng viên cực hữu Le Pen phần lớn là công nhân viên và tầng lớp nghèo trong xã hội
    Radiographie de l''électorat du Front national
    LE MONDE | 04.11.06 | 13h37 ? Mis à jour le 04.11.06 | 13h46
    Article paru dans l''é***ion du 05.11.06
    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-830740@51-823442,0.html
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    Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, s''exprime lors d''une conférence de presse, le 23 avril 2006 à Vendin-le-Vieil, avant un meeting (AFP/FRANCOIS LO PRESTI).​
    Plus que jamais, les ouvriers, les employés, les retraités, autrement *** ceux qui ont le plus de difficulté à joindre les deux bouts, constituent aujourd''hui l''essentiel du vivier du Front national (FN). C''est ce que montre une étude de l''Ifop sur les sympathisants frontistes réalisée à partir de 28 enquêtes menées en 2006, soit un échantillon cumulé de 27 338 personnes dont 1 312 se déclarent "proches" du parti d''extrême droite. De quoi faire réfléchir la gauche et notamment le Parti communiste, qui, depuis 1995, ne cesse de voir filer cet électorat qui lui était en grande proportion acquis.
    La catégorie la mieux représentée chez les sympathisants du FN est celle des ouvriers (qui représente 25 % de l''électorat FN contre 14 % des Français). Viennent ensuite les employés (22 % contre 18 %) et les retraités, même si la proportion de ces derniers est un peu moindre que dans la population totale (23 % contre 25 %).
    Par ailleurs, la légère surreprésentation des agriculteurs par rapport à la moyenne nationale (1,5 % contre 1 %) confirme la percée du FN notée à la présidentielle de 2002 dans cette population.
    Les professions libérales, les cadres supérieurs comme les professions intermédiaires résistent mieux aux sirènes frontistes (2,5 % et 8 % contre 7 et 14 %).
    Le portrait esquissé par l''étude montre que le sympathisant du FN est plus souvent un homme (52 %) âgé de 35 à 49 ans (32 % alors que ce créneau d''âge ne réunit que 28 % de Français) ou de 50 à 64 ans (23 contre 21 %).
    Les plus de 65 ans comme les 18-24 ans sont moins représentés que dans l''ensemble de la population (17 % et 9 % contre 21 % et 11 %). Il habite plus fréquemment une agglomération de province (60 %) ou une commune rurale où de plus en plus d''anciens urbains viennent s''établir (30 % contre 25 % pour la moyenne nationale) et se fait plus rare dans la région parisienne (10 % contre 16 %).
    Plus souvent que les autres Français, ce sympathisant FN déclare avoir "peu ou pas du tout" d''"intérêt pour la politique" (67 % contre 56 %). En revanche, il participe plus souvent aux élections (52 % contre 50 %). S''il participe moins fréquemment que le reste de la population aux manifestations (47 contre 50 %), le noyau de ceux qui manifestent régulièrement est plus important que celui de l''ensemble des Français (28 % contre 25 %).
    Cette tendance protestataire peut trouver sa source dans le fait que 68 % des personnes se déclarant "proches" du Front national déclarent "vivre difficilement" avec les revenus du foyer alors qu''ils sont 54 % à le dire dans l''ensemble de la population. De même, 81 % contre 76 % pensent que les jeunes ont moins de chances de réussir que leurs parents.
    L''HOMO***UALITÉ ACCEPTÉE
    L''immigration est le premier thème mobilisateur chez ces sympathisants du FN. Un sujet qu''ils lient, comme Jean-Marie Le Pen, à celui de l''insécurité. 86 % d''entre eux estiment, selon l''Ifop, qu''il y a trop d''immigrés en France soit 33 points de plus que la moyenne nationale. 54 % contre 40 % pour l''ensemble des Français pensent qu''"on ne se sent en sécurité nulle part".
    Spécialité frontiste, ils sont 78 % à réclamer le rétablissement de la peine de mort : "Aucun autre électorat souhaite majoritairement ce rétablissement", souligne Jérôme Fourquet, le directeur adjoint du département opinion publique de l''Ifop.
    Quand 63 % des Français estiment que "tous les étrangers résidant en France devraient avoir le droit de vote aux élections municipales", seuls 36 % des sympathisants frontistes partagent leur avis.
    Sur le plan économique et social, 72 % de ces derniers disent qu''il "faut que l''Etat donne plus de libertés aux entreprises" et autant que "les chômeurs pourraient trouver du travail s''ils le voulaient vraiment". Mais les sympathisants de l''UMP répondent à 82 % "oui" à la première question et à 71 % "oui" à la seconde.
    Plus surprenant : l''adhésion de 71 % de proches du FN à l''idée que "l''homo***ualité est une manière acceptable de vivre sa ***ualité", un chiffre de 6 point inférieur à la moyenne nationale. Il est vrai que la question porte sur la pratique ***uelle, ce qui est du "domaine privé", même pour M. Le Pen, et n''aborde pas le mariage ou l''adoption par des couples homo***uels qui touchent la sphère publique et rencontrent beaucoup d''hostilité chez les frontistes.
    Abordant le potentiel électoral de Jean-Marie Le Pen, l''étude montre que les plus grandes possibilités de progression du président du Front national se trouvent parmi les femmes, les plus de 50 ans, les ouvriers ou retraités et dans les communes rurales.
    Christiane Chombeau
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    M. Novelli (UMP) : l''absence de Le Pen en 2007 serait "un séisme"
    Dominique de Villepin a déclaré au Nouvel Observateur (2 novembre) que Jean-Marie Le Pen "n''aura pas" les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l''élection présidentielle de 2007. Un cas de figure qui, selon Hervé Novelli, le chef de file des parlementaires libéraux de l''UMP, provoquerait "un véritable séisme". "Si Jean-Marie Le Pen réunit 20 % comme les sondages le cré***ent, il faut qu''il puisse s''exprimer au premier tour de l''élection présidentielle", a-t-il déclaré sur La Chaîne parlementaire vendredi 3 novembre. Si le président du FN "ne pouvait pas se présenter, cela montrerait que notre démocratie est bien malade", a-t-il ajouté. En 2002, Jean-Marie Le Pen avait failli ne pas pouvoir se présenter par manque de signatures. Il y était parvenu grâce à une mobilisation de l''appareil du parti les derniers jours.
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  9. lahm

    lahm Thành viên mới

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  10. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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