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Theo dòng thời sự ?-? Disparition d'un avion Air France, plus de 200 passagers étaient à bord (p.29-

Chủ đề trong 'Pháp (Club de Francais)' bởi Le_Plus_Beau_new, 13/03/2006.

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  1. matthias

    matthias Thành viên mới

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    6 tháng nay nước Bỉ không có chính phủ rồi...
    Reportage
    Les germanophones, des Belges heureux
    LE MONDE | 21.12.07 | 15h14 ? Mis à jour le 21.12.07 | 20h31
    EUPEN (BELGIQUE) ENVOYÉE SPÉCIALE
    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-992302,0.html?xtor=RSS-3208
    [​IMG]
    Une rue d''Eupen, l''un des deux cantons germanophones de l''est de la Belgique.​
    Il faut placer la loupe sur la carte, comme au début d''un album d''Astérix. Dans l''est de la Belgique, nichés entre l''Allemagne et le Luxembourg, deux tout petits cantons résistent encore et toujours à la crise : celle d''un pays menacé d''éclatement, en proie à une fronde indépendantiste flamande, et dont la nouvelle coalition au pouvoir semble une rustine de secours sur un Etat fédéral titubant, après cinq mois sans gouvernement.
    Là vivent 74 000 Belges de langue allemande, troisième communauté linguistique de Belgique après les néerlandophones et les francophones : la communauté germanophone ("CG"). D''eux, on *** qu''ils sont les plus belges des Belges, les meilleurs Belges, les plus heureux des Belges... ou, commencent à croire les plus pessimistes, les derniers Belges.
    "N''allez pas nous les exciter, pour une fois qu''on en a des calmes !", s''inquiète, à Liège, l''employée de chez Avis, en tendant les clés d''une voiture de location. Vus de la grande ville de Wallonie, à une cinquantaine de kilomètres à peine, ces germanophones de Belgique semblent de sympathiques martiens. "Rien à voir avec nous ! Là-bas, prévient l''employée, tout est propre, nickel, vous ne verrez pas traîner de canettes de bière comme ici. Ils sont toujours ponctuels..."
    Ils ont aussi fermement conservé de vieilles tra***ions germaniques, comme ce carnaval d''avant-mardi gras, où les femmes prennent le contrôle des mairies et coupent les cravates des hommes qu''elles croisent sous l''oeil d''un maître de carnaval coiffé d''un bonnet à hautes plumes.
    Quant au roi, il est accueilli en communauté germanophone avec une ferveur sans pareille en Belgique.
    Ces Belges si parfaits habitent le canton d''Eupen (au nord) et celui de Saint-Vith (au sud), séparés par le point culminant de la Belgique (694 mètres), avec ses deux ou trois pistes de ski "alpin" où se précipitent chaque hiver Belges et Néerlandais affamés de relief. L''allemand est la langue administrative mais les neuf communes de la CG sont "à facilités" (tenues d''accorder des facilités linguistiques aux francophones). Tout le monde parle un français impeccable, certains y ajoutent le néerlandais et les plus anciens, les patois locaux, entre le néerlandais et le luxembourgeois.
    Pas de risque d''"exciter" leur indépendantisme. La Belgique, ils l''aiment. Pour une bonne raison : ils lui doivent tout. Les germanophones de Belgique, pas plus de 0,7 % de la population belge, ont droit à un gouvernement (quatre ministres), un Parlement (25 sièges), deux représentants fédéraux (une députée et un sénateur), et même un député européen.
    Ils bénéficient d''une dotation fédérale supérieure à la répartition que devrait leur valoir superficie et nombre d''habitants. Aucune minorité linguistique en Europe ne peut se prévaloir d''autant d''autonomie.
    Etat dans l''Etat, la petite CG a tiré avantage de deux contingences historiques : son rattachement à la Belgique par le traité de Versailles de 1920, puis la fédéralisation du pays destinée à régler les conflits entre Flamands et Wallons. Par souci d''équité entre les trois communautés linguistiques, les transferts de compétences successifs qui relevaient de l''Etat fédéral ou des régions lui ont bénéficié. Déjà autonome dans des matières comme l''enseignement, la culture, la politique de l''emploi ou le financement des communes, la CG souhaiterait le devenir dans d''autres domaines, tels l''urbanisme ou l''aménagement du territoire. Certains souhaitent l''autonomie fiscale.
    Ce sont des Belges heureux qui ne connaissent pas, comme les Flamands et les francophones de la périphérie de Bruxelles, cette "guerre des langues" si déterminante dans la crise belge. Ils ne sont représentés par aucun parti d''extrême droite, comme le puissant Vlaams Belang en Flandre ou le petit Front national wallon. Ils ignorent totalement les difficultés économiques de la Wallonie, principal motif d''exaspération des Flamands envers l''Etat fédéral solidaire. Peu de chômage en CG (6,7 %, contre 13 % en Belgique), et moins encore dans le canton de Saint-Vith (2,5 % chez les hommes), à cause de l''attrait qu''exercent sur les travailleurs les facilités fiscales du Luxembourg voisin. Le niveau des élèves (classement Pisa 2007) y est supérieur à la moyenne belge.
    Le tissu économique diversifié composé à 86 % de petites et moyennes entreprises rend la CG plus à l''aise dans la globalisation. Sa situation frontalière et le multilinguisme des salariés favorisent la flexibilité sur le marché des pays voisins, comme la mobilité des entreprises et des travailleurs : 10 000 "navetiers" quittent quotidiennement la communauté germanophone pour travailler au-delà des frontières, et à l''inverse 4 000 "navetiers" habitant le reste de la Belgique (essentiellement la Wallonie) sont employés en CG. 45 % de la production des entreprises est vouée à l''exportation.
    Cette situation de plein-emploi est paradoxalement la seule inquiétude qu''expriment les acteurs économiques de la CG : "L''absence de main-d''oeuvre est une gêne pour les investisseurs, explique Volker Klinges, directeur de la chambre de commerce et d''industrie. A plus long terme, cela peut être un frein à la croissance."
    La fin de la Belgique ? En communauté germanophone, on se résigne douloureusement à évoquer d''éventuels scénarios. Les germanophones de Belgique ont beau lire les journaux allemands, regarder la télévision allemande et se sentir plus chez eux à Cologne qu''à Liège, rares sont ceux qui aimeraient se retrouver dans les frontières allemandes, aux confins du pays, confondus dans les faubourgs d''Aix-la-Chapelle (à 15 kilomètres d''Eupen).
    L''hypothèse la moins inconfortable serait celle d''un rattachement de la CG au grand-duché de Luxembourg. "Mais nous sommes partisans incon***ionnels du maintien de l''Etat belge", insiste Karl-Heinz Lambertz, ministre-président du gouvernement de CG. Tout en précisant qu''avec leurs 854 kilomètres carrés, les deux cantons sont tout de même deux fois plus grands que le Liechtenstein.
    Marion Van Renterghem
    Article paru dans l''é***ion du 22.12.07
  2. lahm

    lahm Thành viên mới

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    Cécilia Sarkozy de nouveau à la Une, avec la publication de trois livres
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080110/tfr-e***ion-sarkozy-cecilia-prev-4019c1e_1.html
    Par Par Nadège PULJAK
    AFP - Jeudi 10 janvier, 14h30
    PARIS (AFP) - L''ex-première dame de France, Cécilia Sarkozy, fait de nouveau la Une de l''actualité, avec la publication de trois livres de journalistes dont l''un lui prête des propos féroces sur le chef de l''Etat, et fait l''objet d''un référé en justice de sa part.
    Sobrement intitulé "Cécilia", l''ouvrage de la journaliste du Point Anna Bitton (Flammarion) qu''elle attaque en justice, offre un portrait intimiste de l''ancienne épouse de Nicolas Sarkozy, que l''on découvre toujours profondément amoureuse du publicitaire Richard Attias, l''homme pour qui elle avait déjà quitté son mari en mai 2005.
    "Richard est la personne que j''ai le plus aimé dans ma vie", confie la lyrique Cécilia à la journaliste politique devenue son amie au fil de leurs conversations.
    Ces conversations, Anna Bitton les a consignées dans de petits carnets dans lesquels elle a puisé la matière de son livre: il en ressort un portrait plein d''empathie pour l''héroïne de l''ouvrage, d''une sensibilité à fleur de peau, souffrant de n''être que "la femme de" quand elle se rêve en "femme politique", à l''image d''une autre qu''elle *** être sa "copine", Ségolène Royal.
    Mais ce sont d''autres passages du livre qui ont fait réagir l''ex-Mme Sarkozy, ceux qui la font dépeindre le chef de l''Etat sous les traits d''un homme fort peu sympathique.
    Après la publication d''extraits du livre dans plusieurs magazines, dont le Nouvel Observateur et Le Point, Cécilia Sarkozy a chargé ses avocats d''un recours en référé, jeudi, pour demander "la suspension" de sa publication, jusqu''à ce que l''affaire soit jugée sur le fond.
    "Je suis très étonnée et je regrette la réaction subite de Mme Cécilia Sarkozy. Le livre se nourrit d''une longue relation entretenue depuis des années dans le cadre de mon travail de journaliste politique", a de son côté affirmé à l''AFP Anna Bitton.
    Ce n''est pas la première fois que Cécilia Sarkozy empêche ou tente d''empêcher la publication d''un livre la concernant: en novembre 2005, elle avait "appelé Nicolas au secours" pour que le ministre de l''Intérieur qu''il était à l''époque bloque la parution d''un ouvrage sur sa vie.
    En février suivant, la journaliste de Gala Valérie Domain, qui affirmait pourtant l''avoir rencontrée plusieurs fois pour écrire cette biographie, s''était résolue à en publier une version romancée.
    L''ex-première dame de France n''a en revanche rien trouvé à redire à deux autres ouvrages la concernant.
    Il est vrai que l''un d''eux, intitulé Ruptures (é***ions du Moment) lui donne le beau rôle dans ce qu''auraient été, selon ses deux auteurs, les journalistes Michaël Darmon (France 2) et Yves Derai (le Nouvel économiste), les con***ions de libération en juillet 2007 des soignants bulgares emprisonnés en Libye.
    Dans un chapitre titré "Commando Cécilia", les deux auteurs, qui affirment détenir leurs informations "de première main", assurent que des gardes du corps français, sur ordre de l''ex-Mme Sarkozy, ont fait "sauter les verrous des cellules" de la prison "avec leurs armes de poing" pour libérer les prisonniers.
    "Ce n''est pas vrai. Les Libyens ont ouvert les cellules eux-mêmes", a affirmé jeudi à l''AFP l''une des infirmières, Nassia Nenova.
    A chaque livre son "scoop": mais celui du troisième ouvrage, "Cécilia, la face cachée de l''ex-première Dame (Pygmalion), concerne... le président. Ses auteurs, Denis Demonpion, également journaliste au Point, et Laurent Léger, révèlent comment Nicolas Sarkozy avait été brièvement hospitalisé le 21 octobre à l''hôpital militaire parisien du Val-de-Grâce pour y subir une "petite intervention" à la gorge. <---- can tội nói lắm (suốt ngày thấy trên TV) nên đau họng
    L''information a été confirmée par l''Elysée.
  3. arnaud

    arnaud Thành viên mới

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    Đọc bài này thấy funny vật, chị thị trưởng Aubry của Lille (cựu Bộ trưởng Lao động-Xã hội thời Jospin, người khởi thảo luật Aubry về giảm giờ làm xuống còn 35h) quả là không hổ danh khi tiếp anh Sarkozy - người đưa luật 35h của chị vào cõi hư vô
    Martine Aubry (PS) offre un vélo à Nicolas Sarkozy et plaisante sur les 35h
    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080111/tpl-sarkozy-voeux-fonction-publique-part-ee974b3_1.html
    AFP - Vendredi 11 janvier, 13h30
    [​IMG]
    LILLE (AFP) - La maire de Lille Martine Aubry (PS) a offert un vélo à Nicolas Sarkozy, à l''issue des voeux du président aux corps constitués et aux fonctionnaires vendredi matin à Lille, un cadeau qui a donné lieu à une boutade sur les 35 heures.
    "Voilà la bête", a commenté en souriant Mme Aubry, en présentant à Nicolas Sarkozy son cadeau, un vélo de course Décathlon.
    "C''est génial, rien ne peut me faire plus plaisir", a déclaré, ravi, le chef de l''Etat, en déclinant cependant la proposition d''un journaliste de "monter dessus".
    "Vous pourrez roulez 35 heures avec, non?", a plaisanté un autre reporter. "Plus! Pourquoi 35 heures?", lui a répondu le président, tandis que Martine Aubry affirmait: "Non justement, c''est pendant les périodes de RTT qu''on peut utiliser le vélo".
    "On pourra choisir: soit on les monétisera, soit on fera du vélo", s''est exclamé M. Sarkozy. "Soit on va à son travail en vélo", l''a alors coupé Mme Aubry.
    Le président a remercié "infiniment" l''ancienne ministre des Affaires sociales pour ce cadeau, en soulignant que le cyclisme était "(son) sport favori".
    La maire de Lille avait opté pour ce vélo, "plus approprié (que "des gaufres ou un casque de mineur") pour le grand sportif et cycliste" que M. Sarkozy est, selon elle.
    Elle a souligné aussi que ce vélo était un "symbole", car l''entreprise Décathlon allait relocaliser sa production en France, à Lille.
  4. niklas

    niklas Thành viên mới

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    Bling-bling: du hip hop aux marches du Palais de l''Elysée
    (Afp, 12/01/2008, 11h52)
    http://2007.fr.msn.com/ArticleView.aspx?ArticleId=2c6ce73b-83ae-47eb-b1b8-fee8f7cb2573
    "Bling-bling": les médias français raffolent depuis quelques mois de ce mot synonyme de clinquant, issu du vocabulaire hip hop et que certains se plaisent à accoler -souvent avec une nuance péjorative- au style de vie du président Nicolas Sarkozy.

    Au départ, "bling", employé seul ou de façon répétée, est "une onomatopée imitant un bruit métallique, en particulier celui produit par des pièces de monnaie ou des chaînes qui tombent ou s''entrechoquent", souligne Sophie Fournier dans "Onomatopées et interjections" (é***ions Christine Bonneton, 2003).
    Les rappeurs américains s''en sont emparé à la fin des années 1990 pour désigner les bijoux ou accessoires voyants qu''ils affectionnent: pendentifs en or, bagues en diamant ou grosses montres. Il faut que cela fasse du bruit et que cela brille. En 1999, le chanteur de rap BG sort le titre "Bling-bling". Sur le clip, le groupe danse entre grosses cylindrées, bateaux et filles en bikini. L''idée est d''afficher avec ostentation ses signes extérieurs de richesse.
    Passé dans le vocabulaire hip hop, bling-bling fait son entrée dans le très sérieux Oxford English Dictionary en 2003.
    Pour l''instant, les principaux dictionnaires français ne l''ont pas encore accueilli dans leurs pages. Mais certains lexicographes, chargés de repérer les nouveaux mots et de rédiger les dictionnaires, le pistent avec délice.
    Patricia Maire, qui travaille à la rédaction du Petit Larousse, a fait ses premières fiches sur l''adjectif bling-bling au début des années 2000: "les magazines féminins ont commencé à l''utiliser pour désigner des bijoux voyants", explique-t-elle à l''AFP. Le terme s''est mis aussi à caractériser certains vêtements de marque ou encore des personnalités m''as-tu vu.
    "Au cours des dernières semaines, bling-bling a littéralement explosé" dans les médias, souligne Mme Maire. Dans un é***orial, le magazine Elle du 24 décembre, demande à ses lectrices si pour les fêtes, elles ont choisi "le bling-bling ou le durable", le camp des "flambeurs ou celui des recycleurs".
    Bling-bling fait également une percée impressionnante dans les articles des journalistes politiques. Avec une consécration pour cette onomatopée: le 19 décembre, elle fait la une du quotidien Libération qui titre "Président bling-bling".
    L''hebdomadaire Marianne revendique alors la paternité de l''usage de ce mot accolé au style du président: dès le mois de mai, après la victoire de Nicolas Sarkozy fêtée au restaurant Fouquet''s, le journaliste Nicolas Domenach avait parlé de "la droite bling-bling", fascinée par le mythe américain de l''argent roi.
    Sur ce, l''hebdomadaire Le Point a fait valoir qu''avant même l''élection, il avait évoqué cette expression dans un abécédaire de l''anti-sarkozysme.
    Depuis, les bling-bling sont légion dans les médias. Ce qui agace Alain Rey, conseiller é***orial pour Le Robert. "Le mot français clinquant est aussi parlant", déclare-t-il à l''AFP.
    Alain Rey relève que bling-bling a une nuance péjorative. "On ne revendique jamais de l''être. On s''en sert pour parler des autres", souligne-t-il.
    Le président du FN Jean-Marie Le Pen a ainsi ironisé vendredi sur le caractère "bling-bling flon-flon" de la présidence Sarkozy.
    Alors, à quand bling-bling dans un dictionnaire français ? "Quand la discussion viendra sur ce mot au Robert, je serai assez réticent. Cela risque de ne pas durer", considère Alain Rey.
    Chez Larousse aussi, on ne veut pas se précipiter sur un mot qui pourrait ne pas être pérenne. "Il est peu probable qu''il figure dans l''é***ion de 2009", déjà très avancée, indique Patricia Maire.
  5. matthias

    matthias Thành viên mới

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    Vives tensions entre Bernard Accoyer et Nathalie Kosciusko-Morizet
    http://www.lepoint.fr/content/confidentiels/article.html?id=218916
    16/01/2008-17h16 - Rubrique coordonnée par Irène Inchauspé - © Le Point.fr
    Lors du petit-déjeuner de la majorité, le 15 janvier à Matignon, le sujet des OGM a provoqué une vive tension, notamment quand Bernard Accoyer s''en est pris vivement à Nathalie Kosciusko-Morizet. Le président de l''Assemblée nationale voulait que le Premier ministre sanctionne la secrétaire d''État à l''Écologie. Il lui reproche, au-delà de ses prises de position contre les OGM, d''avoir embrassé José Bové quand elle lui a rendu visite pendant sa grève de la faim.
  6. heiner

    heiner Thành viên mới

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    Hình như hồi năm ngoái em Anne Fulda (tác giả bài viết dưới đây) này cặp kè với anh Sarkozy thì phải
    Jean-Louis Debré, le subtil romancier du Palais-Royal
    Anne Fulda
    16/01/2008 | Mise à jour : 17:37
    http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/16/01001-20080116ARTFIG00009-jean-louis-debre-le-subtil-romancier-du-palais-royal.php
    Le président du Conseil constitutionnel est aussi écrivain à ses heures. Aujourd''hui, sort en librairie son deuxième livre, Quand les brochets font courir les carpes, une intrigue policière jamais loin des coulisses politiques. On y reconnaît, en creux, nombre de figures de la majorité et de l''actuelle opposition.
    Il y a un temps pour tout. Il y a quelques années encore, Jean-Louis Debré, déjà chatouillé par le démon de l''écriture,ne faisait pas dans la dentelle. Dans son premier roman policier, Le Curieux, paru en 1986, il avait donné à l''un de ses personnages, une prostituée, le nom de Josiane Baladur (avec un seul ?ol?). L''affaire avait provoqué une froide colère de l''ancien premier ministre, ce que l''on peut comprendre. Désormais président du Conseil constitutionnel, huitième personnage de l''État dans l''ordre protocolaire, le gardien des tables de la loi ne peut plus se permettre ce genre de petites facéties.
    Son dernier roman, Quand les brochets font courir les carpes (é***ions Fayard Noir), dédicacé à sa femme Anne-Marie disparue il y a quelques mois, ne recèle pas, en apparence, de bombes à retardement. Mais un lecteur attentif humera, dans ce roman policier qui furète dans les coulisses du pouvoir politique, le doux fumet de la nostalgie d''un monde qui n''est plus. Et aussi une critique douce-amère des m"urs politiques d''aujourd''hui.
    L''ancien président de l''Assemblée nationalene le cache pas. Il ne se sent pas à l''aise avec notre époque. «On a changé de monde, constate-t-il, les idéologies sont mortes. Aujourd''hui, tout va vite, très vite. Il s''agit de conquérir le pouvoir et d''y rester.» Est-ce vraiment bien nouveau ? Debré hausse les épaules. Il regrette que «la politique soit devenue un métier du spectacle» . «C''est comme ça, c''estle système actuel, mais ce n''est pas le mien», déplore-t-il. Ne vise-t-il pas, plutôt qu''un système, Nicolas Sarkozy ? Il assure que non, la main sur le c"ur. Mais à lire certains passages de son livre on peut se poser la question. Page 33, il évoque «un nouveau chef de l''État connaissant à merveille les patrons de presse». Page 71, l''un de ses personnages évoque une ministre qui est un «gadget gauchiste du président qui préfère ses adversaires à ses amis». Avant de s''écrier : «Ce sont l''ouverture et la rupture les deux mamelles de la majorité présidentielle !» Page 214, encore, son héroïne, Claire Brégançon (sic), est décrite comme «grisée par la notoriété que lui confèrent ses passages à la télévision ou à la radio, par la meute des courtisans qui peuple les couloirsde la politique, elle s''est laissée enfermer dans un univers aussi réel et éphémère qu''enivrant».
    Jean-Louis Debré n''a jamais, lui, connu l''ivresse du pouvoir. Tout simplement parce qu''il est né dans cet univers. Il n''a jamais, non plus, vraiment cherché à se pousser du col. Au contraire même. Quitte à être des années durant l''une des cibles préférées des moqueurs. Quitte à passer pour un butor borné, un simple porte-flingues de Jacques Chirac et à endosserle rôle du «moins intelligent de la famille», par rapport à son frère jumeau, Bernard, chirurgien devenu ministre d''Édouard Balladur en 1994, et «si brillant», lui.
    Jean-Louis n''a pas cette réputation. C''est vrai. C''est un piètre orateur, au verbe court. Son ton est souvent exagérément solennel. Mais l''homme a cependant à son actif une haute opinion de la fonction politique. Et un véritable sens du service de l''État. Question de gènes, bien sûr. Être le fils de Michel Debré, ce n''est pas rien. Cela laisse des souvenirs d''enfance maintes et maintes fois racontés. De simples souvenirs pour lui, mais des fragments d''histoire du XXe siècle pour d''autres. Rares sont les enfants qui ont usé leurs culottes sur la rampe de l''escalier de Matignon et croisé Khrouchtchev, Adenauer ou Kennedy. Rares sont ceux qui ont vraiment appelé la femme du général de Gaulle «Tante Yvonne», partagé des dîners dominicaux avec les Pompidou ou qui se sont fait aider par André Malraux pour rédiger une dissertation. Cela laisse des traces évidemment. Cela donne une certaine armature morale. Qui s''est surtout révélée lorsque l''ancien député qui a refusé d''être décoré par Jacques Chirac fut élu à la présidence de l''Assemblée nationale. Contrela volonté de Jacques Chirac qui craignait que son protégé ne fut battu par Édouard Balladur. Et, là, du haut de son perchoir, Debré a réussi une mue étonnante. Il est parvenu à faire oublier le chiracôlatre incon***ionnel et borné, l''apparatchik aux idées courtes, prêt à tout pour protéger «son» Chirac. Acquérant une imagede grand commis de l''État, il est parvenu à faire oublier le ministre de l''Intérieur de Jacques Chirac qui s''était «tout tapé», entre 1995 et 1997 : les attentats, bien sûr, l''expulsion de l''église Saint-Bernard, mais aussi les charters de sans-papiers («Moi, je m''en suis coltiné 47 et Pasqua, qui a lancé l''idée, un seul !»). Bref, il a gommé une image épouvantable.
    Cette fonction a-t-il ***, en présidant sa dernière séance, face à un Hémicycle qui s''est levé comme un seul homme de droite à gauche fut «l''honneur de sa vie». L''occasion pour lui de prendre sa mesure. Et d''être, enfin, respecté et reconnu pour avoir restauré le prestige de cette vieille institution tout en préservant les droits de l''opposition. Aujourd''hui président du Conseil constitutionnel, et bien décidé à faire bouger cette honorable maison, Jean-Louis Debré goûte encore son plaisir d''avoir su changer de réputation. Il n''est pas peu fier d''avoir reçu une cinquantaine de cartes de v"ux de députés de gauche, avec ce texte : «Nous n''avons rien à te souhaiter si ce n''est ce qui est inscrit sur cette feuille du Journal officiel (compte rendu d''une séance à l''Assemblée) : ?oRendez-nous Debré !?.»
    Il sourit avec cet air triste, presque désolé, qui est sa marque de fabrique. Il le sait, ces années-là lui ont permis, enfin, de s''émanciper. De montrer qu''il n''était pas que l''obligé de Chirac.
    Les relations entre les deux hommes sont d''ailleurs plus complexes qu''elles en ont l''air. Elles sont faites de petites fâcheries et de grands services. D''affection réelle et d''échanges téléphoniques banals «Qu''est-ce que tu fais ?», «Où es-tu ?» , forgés à l''époque épique de la campagne présidentielle de 1995.
    Le président du Conseil constitutionnel est devenu au fil des ans à la fois le confident, le psychothérapeute et la nounou de l''ancien président. Mais l''ancien maire d''Évreux, à qui Chirac a confié, un jour de 1994, au creuxde la vague, «je te considère comme mon fils», n''est pas dupe.
    Il connaît «son» Chirac sur le bout des doigts.Il sait qu''il a toujours mêlé affectivité et relations professionnelles. Il sait qu''il a désigné d''autres fils adoptifs dans sa longue carrière. Fils d''un jour, fils répudiés ou adulés, il y a eu de la concurrence. Et, même si Debré est l''un des seuls à avoir tenu sur la distance, il a dû avaler pas mal de couleuvres. Il n''a jamais eu ce ministère de la Défense dont il rêvait tant. Il adû défendre le quinquennat, lui le fils de Michel Debré. Il a dû accepter la disparition du RPR.
    Qu''importe alors que Chirac se retrouve à nouveau seul, il est toujours là, à ses côtés.Et a toujours à l''esprit cette anecdote qu''il aime souvent relater. C''est ce souvenir d''enfant qui se réjouissait de voir arriver, lorsque son père était premier ministre, des boîtes de chocolats par dizaines. Puis qui constata, son père parti de Matignon, qu''il n''y avait plus de cadeaux. Plusde chocolats, ni de bonbons, si ce n''est ce paquet de calissons d''Aix envoyé, chaque année, et jusqu''à la fin de sa vie, par un fidèle admirateur du père de la Ve République. Debré se targue un peu d''être le paquet de calissons d''Aix de Chirac.
  7. philippe

    philippe Thành viên rất tích cực

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    Đôi này như phường tuồng í, càng ngày mình càng thấy ghét
    Controverse
    Christine Ockrent sous la tutelle de Bernard Kouchner ?
    16/01/2008-11h14 - Emmanuel Berretta - © Le Point.fr
    http://www.lepoint.fr/content/medias/article.html?id=218730
    Les syndicats dénoncent le "mélange des genres", elle riposte en s''estimant victime de "préjugés ***istes". Une controverse qui rebon*** à l''heure où Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner s''opposent sur l''avenir francophone de la chaîne France 24...
    [​IMG]
    © Sipa / Sichov et Baltel - Christine Okrent et Bernard Kouchner.​
    Christine Ockrent n''est pas seulement l''animatrice de Duel sur la 3 et la compagne souvent critiquée de Bernard Kouchner. Depuis le 1er mars, elle "pige", une fois par semaine, sur France 24, la chaîne d''info internationale, qui lui a passé commande d''un billet en français et en anglais. Une très belle collaboration pour 120 000 euros par an, selon nos informations.
    Problème : France 24, actuellement placée sous la tutelle de Matignon, passera-t-elle demain sous la tutelle du Quai d''Orsay à l''occasion du rapprochement de France 24 et de TV5 ? Ce qui conduirait Bernard Kouchner, devenu ministre des Affaires étrangères, à exercer une autorité sur la chaîne qui emploie sa compagne... L''affaire en prend le chemin, mais la question n''est pas tranchée à l''Élysée.
    Une pige à 120 000 euros
    Et l''affaire vient encore de se compliquer la semaine dernière. Lors de sa conférence de presse du 8 janvier, Nicolas Sarkozy a annoncé, à la stupéfaction générale, que France 24 ne devrait parler, à l''avenir, qu''une seule langue : le français, l''idiome des contribuables de notre bon vieux pays. C''est donc la pige de Christine Ockrent qui se verrait, dans ses con***ions, coupée en deux !
    Bernard Kouchner a immédiatement fait savoir son désaccord sur le fond avec Nicolas Sarkozy, et entend plaider, auprès du Président, la cause d''une France 24 multilingue (la chaîne émet déjà en français, en anglais, en espagnol et en arabe). Pas de mesquinerie : ce n''est pas la pige de sa compagne qu''il entend défendre, mais bien le rayonnement du point de vue français dans le monde.
    Une polémique sur des vacances en Égypte
    N''empêche, le chef de la diplomatie et sa compagne sont régulièrement la cible des syndicats de France 3. Ainsi, à Noël, Christine Ockrent rejoint Bernard Kouchner pour quelques jours de repos à Charm-el-Cheikh, en Égypte, là même où Nicolas Sarkozy séjournait.
    Vacances anodines au soleil ? Aux yeux du syndicat SNJ-CGT de France 3, cet escapade dans les pas de Nicolas Sarkozy participe d''un "mélange des genres" que les téléspectateurs "comprennent de moins en moins". Si bien que Bernard Kouchner a dû se fendre, en toute hâte, d''un communiqué pour expliquer que sa compagne rejoindrait bien vite la France...
    Un ménage au Medef
    Même Paul Nahon, le patron de l''information de France 3, a dû sortir l''extincteur pour calmer ses troupes, obligé d''assurer que Christine Ockrent ne prend aucune part, "ni de près, ni de loin", à la visite du chef de l''État en Égypte.
    L''attitude de Christine Ockrent fit également l''objet de commentaires gênés à la suite des universités d''été du Medef, le 29 août dernier. La "reine Christine" accepte un "ménage" et anime la conférence devant l''assemblée des patrons. Au bout de 18 minutes, elle passe la parole à Renaud Muselier, l''ancien secrétaire d''État aux affaires étrangères. Elle risque une plaisanterie : "Je précise que vous êtes médecin, comme s''il y avait une sorte de prédisposition chez les médecins à s''occuper des affaires étrangères..." Rires complices parmi l''au***oire.
    Duel sur la Trois
    Mais rire jaune chez ses collègues de France 3, que son statut de femme de ministre agace prodigieusement. Sous le feu de ces attaques, Christine Ockrent a coutume de répondre qu''elle fait l''objet de préjugés "***istes, misogynes et totalement insultants". "J''attends qu''on demande à Bernard de démissionner", ironisa-t-elle en présentant, à la rentrée, Duel sur la 3 , sa nouvelle émission.
    Le 14 juillet dernier, Christine Ockrent a été promue au grade d''officier de la Légion d''honneur, sous chapitre des affaires étrangères et européennes... Sans commentaire.
  8. lahm

    lahm Thành viên mới

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    La commission Attali retient vingt propositions pour "libérer" la croissance
    LEMONDE.FR avec Reuters et AFP | 18.01.08 | 17h17 ? Mis à jour le 18.01.08 | 17h55
    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-1001210@51-882765,0.html
    Trois cents décisions pour changer la France" : c''est sous ce titre que la commission Attali a regroupé ses propositions pour "la libération de la croissance française". Alors que son président, l''ancien conseiller de François Mitterrand, Jacques Attali, doit remettre ses conclusions mercredi 23 janvier au président de la République, le site Internet des Echos a publié, vendredi 18 janvier, ce qui serait une version quasi définitive du rapport, avant de la retirer.
    La quarantaine de membres de la Commission pour la libération de la croissance française demande ainsi de conduire la réforme "tambour battant", dès avril 2008, pour parvenir à ses objectifs en 2012 : croissance relevée d''un point, un taux de chômage ramené à 5 %, plus de deux millions de logements nouveaux construits et autant rénovés, plus de 10 000 entreprises créées dans les quartiers sensibles et les banlieues...
    RETOUR DE LA TVA SOCIALE
    Pour y parvenir, la commission, mise en place fin août par Nicolas Sarkozy, a retenu vingt "décisions fondamentales". Certaines d''entre elles, comme la suppression des départements ou encore la relance de l''immigration, ont déjà fuité dans la presse. Parmi les nouveautés figurent l''implantation de "dix grands pôles d''enseignement supérieur", et l''ambition de redonner à la France "une place de premier rang dans les secteurs de l''avenir : numérique, santé, écologie...".
    Dans le domaine social, la commission propose de renvoyer l''essentiel des décisions sociales à la négociation entre syndicats et patronat, ou encore de "sécuriser" la rupture amiable du contrat de travail. Elle reprend également à son compte l''idée d''une "TVA sociale" en proposant de réduire le coût du travail par un transfert des cotisations sociales vers la contribution sociale généralisée (CSG) et la TVA.
    Les membres de la commission se sont également prononcés pour l''ouverture à la concurrence des professions réglementées (pharmaciens, taxis, vétérinaires, coiffeurs, notaires, etc.). Ils recommandent aussi une liberté totale des prix et d''installation de tous les secteurs de la distribution, de l''hôtellerie et du cinéma, tout en aidant les commerçants et fournisseurs indépendants à "prendre part efficacement à la concurrence", et plaident pour une réduction à dix jours des délais de paiement aux PME.
    POLÉMIQUE SUR LA SUPPRESSION DES DÉPARTEMENTS
    La commission estime enfin nécessaire de renforcer la mobilité géographique des Français, en facilitant l''accession au logement social, et la mobilité internationale, par une politique de délivrance des visas plus souple pour les étudiants, artistes, chercheurs et scientifiques, en particulier dans les secteurs en manque de main-d''"uvre.
    Le rapport Attali doit inspirer une prochaine loi de modernisation de l''économie française et donner le coup d''envoi d''une deuxième vague de réformes du quinquennat. Ses conclusions, qui se veulent apolitiques, risquent cependant de provoquer des froncements de sourcils, à l''image de la polémique déclenchée par la proposition sur la suppression des départements. L''ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin l''a qualifiée de "loufoque" et la ministre de l''intérieur, Michèle Alliot-Marie, s''est également prononcée contre. Le ministre de l''immigration et de l''identité nationale, Brice Hortefeux, a en revanche assuré que les propositions sur la "mobilité internationale" allaient dans le sens de sa politique de "rééquilibrage" entre immigration familiale et immigration économique.
  9. philippe

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    POLITIQUE ECONOMIQUE
    Les 20 "décisions fondamentales" du rapport Attali
    [ 18/01/08 - 13H01 - actualisé à 18:29:00 ]
    http://www.lesechos.fr/info/france/300235019.htm
    Education, recherche, ville, PME, travail, retraite, concurrence... Les Echos se sont procurés les 20 "décisions fondementales" du rapport Attali. Du côté de la commission, on assure qu''il s''agit d''un document non définitif.
    1/ Se donner les moyens pour que tout élève maîtrise avant la fin de la sixième le français, la lecture, l''écriture, le calcul, le travail de groupe, l''anglais et l''informatique.
    2/ Constituer 10 grands pôles d''enseignement supérieur et de recherche autour de 10 campus, réels et virtuels, fixant les con***ions d''excellence de l''ensemble du système de formation supérieur et de recherche.
    3/ Redonner à la France tous les moyens -dont ceux de la recherche- pour prendre une place de premier rang dans les secteurs de l''avenir : numérique, santé, écologie, tourisme, etc.
    4/ Mettre en chantier dix Ecopolis, villes et quartiers d''au moins 50.000 habitants intégrant technologies vertes et technologies de communication.
    5/ Entreprendre dès maintenant la mise en place du très haut débit pour tous, à domicile, dans l''espace numérique et dans l''administration.
    6/ Mettre en place les infrastructures nécessaires (ports, aéroports et place financière) et accroître l''offre et la qualité du logement social.
    7/ Réduire les délais de paiement des PME par l''Etat et par les grandes entreprises à un mois à compter de la livraison et à dix jours pour la TVA.
    8/ Créer par redéploiement une agence guidant les TPE / PME de moins de 20 salariés dans leurs démarches administratives, en leur adressant des réponses engageant l''ensemble des administrations.
    9/ Renvoyer l''essentiel des décisions sociales à la négociation en modernisant les règles de représentativité et de financement des organisations syndicales et patronales.
    10/ Mobiliser tous les acteurs pour l''emploi des jeunes et imposer à toutes les entreprises et collectivités publiques de présenter chacun année un bilan de la diversité par âge, par ***e et par origine.
    11/ Réduire le coût du travail pour toutes le entreprises en transférant une partie des cotisations sociales vers la CSG et la TVA.
    12/ Laisser à tout salarié le libre choix de poursuivre une activité sans aucune limite d''âge en bénéficiant, à compter de 65 ans, d''une augmentation proportionnelle de sa retraite et en levant les obstacles aux cumuls emploi-retraite, et tous les dispositifs de pré-retraite.
    13/ Aider les commerçants et les fournisseurs indépendants à prendre part à la concurrence tout en restaurant la liberté des prix et d''installation de tous les acteurs de la distribution, de l''hôtellerie et du cinéma.
    14/ Ouvrir très largement les professions réglementées à la concurrence sans nuire à la qualité des services rendus.
    15/ Encourager la mobilité géographique et la mobilité internationale (par une procédure plus souple de délivrance de visas aux étudiants, aux chercheurs, aux artistes, etc).
    16/ Considérer la formation de tous les chercheurs d''emploi comme une activité nécessitant rémunération sous forme d''un " contrat d''évolution ".
    17/ Sécuriser la rupture amiable du contrat de travail.
    18/ Créer des agences pour les principaux services au public, et faire évaluer tout service public par des organismes indépendants.
    19/ Renforcer les régions et les intercommunalités en faisant disparaître en 10 ans l''échelon départemental.
    20/ Réduire dès 2008 la part des dépenses publiques dans le PIB. Cette réduction devra atteindre 1% du PIB à partir de 2009, soit 20 milliards d''euros de réduction par rapport à la tendance, par an pendant 5 ans.
  10. matthias

    matthias Thành viên mới

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    La Société générale frappée par une gigantesque fraude et la crise des subprimes
    LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 24.01.08 | 08h36 ? Mis à jour le 24.01.08 | 10h52
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2008/01/24/la-societe-generale-frappee-par-une-gigantesque-fraude-et-la-crise-des-subprimes_1002896_3234.html#ens_id=975400
    [​IMG]
    La Société générale a révélé, jeudi matin 24 janvier, avoir été victime d''une fraude au sein de son activité de courtage, qui se monte à 4,9 milliards d''euros auxquels s''ajoutent 2 milliards de dépréciations liées à la crise des cré***s hypothécaires à risque, les subprimes, aux Etats-Unis, soit un total de 6,9 milliards, selon un communiqué. La cotation du titre a en conséquence été différée à l''ouverture de la Bourse de Paris où l''indice CAC-40 a cependant ouvert en forte hausse de 4,50 %.
    La banque française a indiqué avoir mis au jour cette fraude le 19 janvier. Un trader opérant à Paris, dans une sous-division de ses activités de marché, a profité de "sa connaissance approfondie des procédures de contrôle", acquise lors de ses précédentes fonctions au sein du back-office du groupe, pour "dissimuler ses positions grâce à un montage élaboré de transactions fictives", a expliqué la banque.

    RÉSULTATS DÉFINITIFS PUBLIÉS LE 21 FÉVRIER
    La Société générale a liquidé depuis ces positions mais compte tenu de leur taille et "des con***ions de marché particulièrement défavorables", cette fraude a un impact négatif de 4,9 milliards d''euros sur son résultat net. L''employé, qui a reconnu les faits, a été relevé de ses fonctions et une procédure de licenciement a été engagée tandis que les responsables de sa supervision quitteront le groupe, précise la Société générale. Le conseil d''administration, réuni le 23 janvier, a rejeté la proposition de son président Daniel Bouton de démissionner de ses fonctions et lui a renouvelé toute sa confiance ainsi qu''à l''équipe de direction, précise le communiqué.
    En outre, la banque va passer des dépréciations complémentaires au quatrième trimestre de 2 milliards d''euros, après 230 millions au troisième trimestre, en raison de son exposition aux cré***s structurés "subprimes".
    Malgré ces pertes colossales, la banque, qui publiera ses résultats définitifs le 21 février, a annoncé que son bénéfice net sera positif en 2007, estimé entre 600 et 800 millions d''euros. Mais la chute est spectaculaire par rapport au résultat net de 2006, qui s''élevait à 5,221 milliards. Pour faire face à cette situation, la Société générale a indiqué qu''elle allait procéder dans les semaines qui viennent à une augmentation de capital de 5,5 milliards d''euros.

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