Theo dòng thời sự ?-? Disparition d'un avion Air France, plus de 200 passagers étaient à bord (p.29-

Tương quan lực lượng chính trị tại Pháp sau vòng 1 cuộc bầu cử cấp thành phố chủ nhật vừa qua.

kết quả bầu cử vòng 1 tại nơi em ở
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Un élu privé de second tour pour quelques minutes de retard
Par Jamila Aridj
13:57 | 12/03/2008 Le Point.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-politique/un-elu-prive-de-second-tour-pour-quelques-minutes-de-retard/917/0/228655
Il s''en veut, Jean-Jacques Henry. Arrivé mardi après la clôture du dépôt de candidature pour le second tour, le conseiller général sortant UMP du canton de Vézélise (Meurthe-et-Moselle) est exclu du jeu électoral pour "dix-neuf minutes de retard".
Mardi après-midi, la préfecture s''inquiète de ne pas avoir reçu la candidature de Jean-Jacques Henry et lui passe un coup de téléphone pour le mettre en garde. Persuadé, dans un premier temps, que les inscriptions seraient closes à 18 heures - alors qu''elles l''étaient à 16 heures - , l''élu se lance aussitôt dans une "course folle".
L''élu quitte alors sa petite commune de Gouillères, dont il a été réélu maire le 9 mars, mais il est ralenti par "quatre feux rouges et des embouteillages à l''entrée de Nancy". Il passe les portes de la préfecture vers 16 heures passées de quelques minutes. "Il était près de 16 h 06", estime-t-il. "Le préfet m''avait déjà accordé quelques minutes de retard, mais le temps de trouver le bureau des inscriptions, le délai supplémentaire était déjà dépassé", déplore-t-il. Et d''ajouter avec une pointe de tristesse dans la voix : "Je ne conteste pas la décision du préfet, je ne m''en prends qu''à moi-même." Il regrette toutefois "le manque de souplesse législatif". "Les candidats présents au second tour devraient se passer de cette formalité", ajoute celui qui est arrivé en tête du premier tour des cantonales avec 47, 8 %. La mésaventure de Jean-Pierre Henry profite à son adversaire, Gauthier Brunner (45,7 % de voix au premier tour) qui a été élu dès mardi. Avant l''heure.

Sắp bầu cử vòng 2 roài
L''UMP maintient l''objectif de gagner 10 à 15 villes
vendredi 14 mars 2008 09h00
http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRCHE42860620080314
PARIS (Reuters) - L''UMP maintient son objectif de conquérir une quinzaine de villes à la faveur des élections municipales, a déclaré vendredi son secrétaire général adjoint, Dominique Paillé, qui a démenti l''existence de prévisions internes faisant état de la perte attendue de 34 villes.
Le Figaro, citant une "note de synthèse" de l''UMP écrit que le parti majoritaire, qui a déjà perdu huit villes de plus de 30.000 habitants au premier tour dimanche dernier, redoute d''en perdre 34 autres et ne pense en conquérir que sept.
Interrogé sur Canal+, Dominique Paillé a démenti l''information rapportée par le journal. "Il n''y a pas de note technique de cette nature, il y a des analyses du scrutin, et notamment du premier tour", a-t-il ***.
"Nous espérons prendre entre dix et quinze villes, c''est notre objectif", a-t-il ajouté. Le Figaro cite, pour sa part, un responsable de l''UMP qui juge qu''à Strasbourg "c''est perdu de chez perdu" et que si le parti devait perdre 40 villes ce sera "un rééquilibrage, pas un basculement" car la gauche en avait perdu, elle, 41 en 2001 lors du précédent scrutin municipal.
Gilles Trequesser

Les enjeux du second tour

Elections Municipales 2008
A quelques voix près
Le deuxième tour de ces municipales s''est souvent joué à un cheveu. Petit tour de France des scrutins les plus serrés.
C.B.
LIBERATION.FR : lundi 17 mars 2008
Le point commun entre Mulhouse, Pau, Périgueux, Villepinte, Carcassonne ou Toulouse? Le deuxième tour des municipales s''y est joué à quelques centaines de voix, quelques dizaines parfois. C''est l''un des traits de ces élections: dans certaines villes, certains arrondissements parisiens, le suspens s''est maintenu jusqu''à la dernière minute. Au total, il s''en est fallu de peu, quelques milliers de voix, pour que la carte des résultats change sensiblement de visage. Revue de détails.
D''abord, les villes ou arrondissements emblématiques, vers lesquels se sont tournés tous les regards dimanche soir. A commencer par Marseille, où Jean-Claude Gaudin (UMP) est finalement reconduit: dans le 1er secteur, qui compte 28.300 votants, le PS Patrick Menucci l''emporte de 405 voix seulement sur l''UMP Jean Roatta.
Même cas de figure à Pau (plus de 35.000 votants), où François Bayrou, comme il n''a d''ailleurs pas manqué de le rappeler à l''issue du scrutin, chute de 342 voix face à Martine Lignières-Cassou (PS), le maire sortant Yves Urieta (Gauche moderne) remportant 7713 suffrages.
A Périgueux, il manquait 116 voix (sur plus de 13.000 votants) au ministre de l''Education Xavier Darcos pour l''emporter sur Michel Moyrand (PS).
A Paris, alors que dans le Ve arrondissement Jean Tibéri (UMP) était d''abord donné perdant, il l''emporte finalement de 225 voix sur la PS Lyne Cohen-Solal (sur plus de 25.000 votants).
Même rapport de force à Mulhouse, où Jean-Marie Bockel (Gauche moderne), maire sortant, l''emporte de justesse avec 168 voix d''avance (sur près de 30.000 votants) face à Pierre Freyburger (PS).
A Toulouse (149.000 votants), Pierre Cohen (PS) l''emporte de 1209 voix sur le maire sortant Jean-Luc Moudenc. Soit un rapport de force de 50,42% contre 49,58%.
Quant à Nathalie Kosciusco-Morizet, secrétaire d''Etat à l''Ecologie, elle l''emporte de 39 voix seulement à Longjumeau, dans l''Essonne (près de 8000 votants).
Mais dans la catégorie «villes moyennes», c''est sans doute Carcassonne qui remporte la palme du coude-à-coude: le maire sortant Gérard Larrat (UMP) l''emporte de 96 voix seulement (sur plus de 22.000 votants) sur le PS Jean-Claude Perez.
La région parisienne ne fait pas exception. Deux exemples parmi de nombreux autres: Villepinte, en Seine-Saint-Denis, où Nelly Roland (PS) l''emporte de justesse avec à peine 60 voix d''avance sur Martine Valleton, maire sortante UMP; et Aulnay-sous-Bois, 24.000 votants, également en Seine-Saint-Denis, où l''écart entre Gérard Ségura, PS, et Gérard Gaudron, maire sortant défait, est de 204 voix.
On pourrait citer aussi Corbeil-Essonnes, Asnières, Noisy-le-Sec, Cergy, Argenteuil, ou encore Goussainville (Val-d''Oise, 8227 votants), où la mairie s''est jouée à... 13 petites voix.
http://www.liberation.fr/actualite/politiques/municipales2008/actu/316095.FR.php
© Libération

Municipales : le président d''un bureau de vote mis en examen à Perpignan
LEMONDE.FR avec AFP | 18.03.08 | 19h14 ? Mis à jour le 18.03.08 | 19h25
http://www.lemonde.fr/municipales-cantonales/article/2008/03/18/municipales-le-president-d-un-bureau-de-vote-mis-en-examen-a-perpignan_1024791_987706.html#ens_id=1024670
Le procureur de la République a demandé, mardi 18 mars, la mise en examen du président d''un bureau de vote de Perpignan, dans le cadre d''une information judiciaire pour "fraude électorale". Claude Garcia, frère de Manuel Garcia, un colistier du maire sortant UMP, Jean-Paul Alduy, a été surpris tentant de se débarrasser de plusieurs bulletins cachés dans ses poches et ses chaussettes.

Le procureur a jugé les explications de cet électricien à la retraite de 58 ans "peu convaincantes". L''homme, qui avait été placé en garde à vue dès dimanche soir, a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction de rencontrer les personnes présentes dans le bureau de vote.
M. Garcia a maintenu la version des faits qu''il a donnée aux enquêteurs lors de sa garde à vue. Selon lui, il avait l''intention de "refaire l''appoint après avoir constaté une erreur de comptage dans le nombre des bulletins déposés dans l''urne". Au moment du dépouillement, le président du bureau de vote portait sur lui sept enveloppes contenant cinq bulletins de la candidate PS Jacqueline Amiel-Donat, tête de la liste de gauche et MoDem, deux autres de Jean-Paul Alduy, ainsi que quatre bulletins sans enveloppe de la liste du maire sortant.
RECOURS EN INVALIDATION DE L''ÉLECTION
A la suite de cet incident, la candidate de gauche a dénoncé "le système mafieux de Jean-Paul Alduy" ?" réélu dimanche soir avec 45,48 % des voix, contre 44,11 % à Mme Amiel-Donat et 10,42 % à Louis Aliot (FN) ?" et affirmé qu''il s''agissait d''une fraude généralisée. Dès mardi matin, une équipe de juristes de la liste de Mme Amiel-Donat, elle-même avocate, a décidé d''"éplucher" les listes électorales pour y détecter toutes les infractions possibles, "notamment sur l''utilisation des procurations" dans l''ensemble des soixante-six bureaux de vote de Perpignan. Elle entend déposer d''ici à vendredi, date légale limite, un recours en invalidation devant les tribunaux administratifs pour exiger une nouvelle élection.
Le procureur de la République a par ailleurs demandé une commission rogatoire pour au***ionner d''autres témoins. Quinze personnes ont déjà été entendues dans cette affaire, a-t-il précisé. Selon le code pénal, l''auteur de fraude électorale est passible d''une peine maximale de 5 ans d''emprisonnement et d''une amende de 22 500 euros.

anh Bruno Julliard (cựu chủ tịch UNEF) nay đã nghễu nghện thành Phó Thị trưởng Paris nhỉ. Số mình thế nào đi đong hàng ngoài đường rất hay gặp anh này. Không thì lại đụng nhau trong métro, ngại thật
POLITIQUE
Paris: Delanoë s''entoure d''une équipe renouvelée
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/politique/20080321.FAP3842/paris_delanoe_sentoure_dune_equipe_renouvelee.html
AP | 21.03.2008 | 14:22
Bertrand Delanoë prépare sa succession. Le maire socialiste de Paris, confortablement réélu vendredi pour un deuxième et dernier mandat de six ans, s''est entouré d''une équipe d''adjoints rajeunie et renouvelée. Sur les 36 adjoints élus en même temps que le maire, soit trois de plus qu''en 2001, 23 n''appartenaient pas à l''équipe précédente.
Fort de ses 41,6% au premier tour et de ses 57,7% au second, M. Delanoë a composé un "gouvernement" à sa main. La place de ses turbulents alliés Verts a été limitée. Ils comptent quatre adjoints, contre sept sous la précédente mandature. Leur leader Denis Baupin passe des transports, confiés à la socialiste Annick Lepetit, au développement durable. Les communistes héritent de trois adjoints (contre quatre), le PRG d''un seul tout comme les chevènementistes, représentés par Georges Sarre, chargé de la sécurité.
Anne Hidalgo, un des successeurs potentiels du maire, reste première adjointe, avec une délégation plus importante, l''urbanisme. Les partisans de Ségolène Royal et les autres tendances du PS ont été réduits à la portion congrue: seul le strauss-kahnien Jean-Marie Le Guen a été chargé de la santé.
Parmi les nouvelles têtes de cette équipe "diverse, rajeunie, représentative de la diversité générationnelle", selon le maire, l''ancien leader étudiant Bruno Julliard, 27 ans, s''occupera de la jeunesse. Le sociologue Jean-Louis Missika sera responsable de l''innovation, de la recherche et des universités.

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La diversité sera incarnée par cinq représentants: la cinéaste Yamina Benguigui, chargée des droits de l''Homme, Seybah Dagoma (économie sociale et solidaire), Myriam el-Khomri (protection de l''enfance), Fatima Lalem (égalité femme-homme), et Hamou Bouakkaz (démocratie locale).
En communicant averti, Bertrand Delanoë avait gardé la liste secrète jusqu''au dernier moment. Il savait que la composition de son nouvel exécutif était la seule information nouvelle attendue vendredi pour cette première séance du nouveau conseil de Paris.
Le maire sortant, seul candidat, a été réélu par 98 voix, une de plus que sa majorité de 97 élus. Dans son discours, M. Delanoë a rappelé les engagements de son projet, réaffirmant notamment sa volonté de créer "Paris métropole", nouvelle institution à l''échelle de l''agglomération parisienne.
Le maire s''est engagé à travailler avec l''Etat sur ce projet, qui correspond au "Grand Paris" proposé par Nicolas Sarkozy, et a proposé aux élus des différentes collectivités de l''agglomération "au delà de leurs différences politiques" d''engager "rapidement une démarche commune pour définir une méthode et un calendrier".
Dans un signal à l''UMP et à l''unique représentante du MoDem Marielle de Sarnez, il a promis de confier la présidence d''une commission à chaque sensibilité politique du conseil de Paris.
Après sa réélection, M. Delanoë, à qui l''on prête de grandes ambitions pour le Parti socialiste et la présidentielle de 2012, a confirmé que ce mandat serait le dernier. Un sondage CSA publié vendredi par "Le Parisien/Aujourd''hui en France" le place en tête (40%) des candidats au poste de Premier secrétaire du PS, devant Ségolène Royal (36%). "Ce ne sont jamais les sondages qui inspirent ni mes convictions, ni ma démarche politique, encore moins mes décisions", a affirmé le maire.
L''élection s''est déroulée dans une ambiance "assez conviviale", selon M. Delanoë. L''UMP lui avait il est vrai facilité les choses en ne présentant pas de candidat et en votant blanc. "Nous nous manifestons, mais nous ne sanctionnons pas a priori", a expliqué Françoise de Panafieu.
La consigne a été suivie par 62 des 63 élus UMP et Nouveau centre. Mais un conseiller, Pierre Lellouche, absent, n''a pas participé au vote. Un geste de mauvaise humeur après sa défaite dimanche dans le VIIIe arrondissement face au dissident François Lebel.
L''ambiance était cependant à un relatif apaisement dans la droite parisienne, en guerre ouverte cette semaine. Claude Goasguen et Bernard Debré ont renoncé à leur intention de créer un groupe dissident de celui de l''UMP. Le groupe UMP au conseil de Paris élira son président le 29 mars. Jean-François Lamour et Jean-François Legaret sont sur les rangs. AP

19:30 | 19/03/2008 Le Point.fr
Le plus jeune maire de France n''est pas celui qu''on croit
Par Jamila Aridj
http://www.lepoint.fr/actualites-politique/le-plus-jeune-maire-de-france-n-est-pas-celui-qu-on-croit/917/0/230685

Thibault Bazin, 23 ans, et les membres de son Conseil municipal à Rosières-aux-Salines le 15 mars 2008. © Verdenal / MaxPPP.​

Tout a commencé par un courriel parvenu à la rédaction du point.fr. " Vous annoncez comme plus jeune maire de France M. David Lefèvre qui est né en juin 1984. Or, j''ai été élu maire de Rosières-aux-Salines et je suis né le 27 octobre 1984...", nous écrit Thibault Bazin, vainqueur dans ce village de 2 500 habitants, dès le premier tour des élections municipales. À l''évidence, le jeune homme *** vrai. Contacté, il explique, confus, qu''il ne court pas après la notoriété. "Ce sont les Rosiérois qui m''ont poussé à corriger cette erreur", jure cet étudiant en école de commerce.
Le 9 mars, la liste de Thibault Bazin a remporté les 23 sièges du conseil municipal, mettant ainsi fin au mandat du maire sortant, Jean Roj. "On m''a élu à ma grande surprise", se réjouit cet enfant du pays qui "n''a pas manqué un seul dépouillement depuis l''âge de 8 ans". Il y a deux ans, il décide de monter un projet municipal "pour faire bouger [sa] ville". Il constitue alors une équipe qui mêle les générations et choisit pour adjointe, Anne-Marie Triesslein, âgée de 63 ans. L''un de ses conseillers délégués vient même de fêter ses 77 printemps.

Affaire Eurostar : "La rame n''aurait jamais dằ repartir de Lille"
Par Jamila Aridj (avec agences)
15:57 | 21/04/2008 Le Point.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/affaire-eurostar-la-rame-n-aurait-jamais-du-repartir-de-lille/920/0/239759
Douze heures pour faire Londres-Paris en Eurostar. Les 640 passagers bloquâs dans la nuit de vendredi à samedi doivent leur calvaire "à une panne du systăme informatique mal diagnostiquâe par le conducteur". C''est l''explication avancâe par le prâsident de la SNCF et d''Eurostar, Guillaume Pâpy.
Dans le rapport technique sur les causes de ce retard remis lundi matin au secrâtaire d''?tat aux Transports, Dominique Bussereau, la SNCF explique que "l''âtat de la rame a âtâ sous-estimâ. Elle n''aurait jamais dằ repartir de Lille". Le patron d''Eurostar a reconnu une nouvelle fois la responsabilitâ "pleine et entiăre de la SNCF" dans cet "incident extrêmement spectaculaire", mais "rarissime".
Partis de Londres vendredi à 20 heures (21 heures, heure franĐaise), les voyageurs sont arrivâs samedi à 9 h 13 en gare du Nord à Paris, au lieu de 23 h 26 vendredi soir, au terme d''une nuit de "galăre".
Plusieurs questions restent en suspens
Au dâpart, tout se passe bien, l''Eurostar Londres-Paris franchit sans problăme le tunnel sous la Manche. Pendant ce temps-là, dans un Paris-Londres, un voyant rouge s''allume, interdisant à ce train d''emprunter le tunnel. La SNCF dâcide alors de faire un âchange de trains à Lille. Aprăs un transbordement des passagers, chaque train va faire demi-tour, repartir d''oạ il est venu.
Les voyageurs du Paris-Londres arriveront sans encombre à destination. Mais pour les passagers du Londres-Paris, les ennuis commencent. Leur train tombe en panne, vers 1 heures du matin, prăs d''Ablaincourt, dans la Somme, à 120 km de Paris. La SNCF envoie alors une autre rame depuis Paris - qui n''arrivera qu''à 4 heures sur place - pour râcupârer les voyageurs et remorquer ce train. Mais, nouveau problăme : les attaches des deux rames sont dâfectueuses et imposent au convoi une vitesse râduite, moins de 60 km/heure.
L''enquête a pointâ du doigt des dysfonctionnements dans "le traitement de l''incident." Selon la SNCF "l''utilisation des locomotives de secours aurait dằ être plus rapide et l''accouplement des rames Eurostar est trop peu utilisâ pour garantir un niveau âlevâ de fiabilitâ." Dans tous les cas, la SNCF confirme que la dâcision d''âchanger les deux rames Eurostar Paris-Londres et Londres-Paris à Lille âtait "adaptâe".
Pour prâvenir ce type d''incident, la SNCF prâvoit un "renforcement et un rappel de formation technique intensif pour les procâdures de diagnostic et de dâpannage des trains Eurostar" ainsi qu''un "renforcement de la formation et des procâdures de test des attelages des rames Eurostar".
L''entreprise a confirmâ que tous les clients seraient "intâgralement remboursâs de leur voyage aller et retour et un voyage supplâmentaire aller-retour leur sera offert".